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DIGITAL

Mettre en place une stratégie de communication efficace demande du temps, une certaine expertise et un coût financier non négligeable pour les annonceurs. Beaucoup de dirigeants de TPE et PME rencontrent ces obstacles et ne parviennent pas à se démarquer de la concurrence. Chaque étape est importante pour parvenir à augmenter votre notoriété, transformer vos prospects en clients fidèles et rester présent dans leur esprit. De la mise en œuvre des outils digitaux à l’organisation d’un événement, découvrez ci-dessous des conseils pour élaborer une stratégie de communication pertinente et booster vos ventes.

Par Walaa Slaoui – Fondatrice de RUBIKOM

Les réseaux sociaux pour gagner en visibilité

L’activité de l’entreprise sur les réseaux est le fondement de son e-réputation. Pour améliorer votre image tout en mettant en avant vos expertises, il est nécessaire d’élaborer une stratégie digitale créative. Inutile d’être visible sur tous les réseaux sociaux, ce qui est essentiel c’est d’être actif sur ceux qui sont le plus adaptés à votre activité et à votre cible.

Le développement de votre stratégie social media passe par l’élaboration d’une stratégie de Community Management. Que ce soit sur Facebook, Instagram ou Twitter, il est primordial de créer un planning éditorial et de définir une fréquence de publication. Pour créer de l’engagement auprès des communautés, il est vivement conseillé de créer du contenu pertinent afin d’être crédible en apportant des conseils et de l’actualité à votre communauté.

Un blog pour asseoir votre expertise

La création d’un blog et la rédaction d’articles pour l’alimenter, permettent à l’entreprise de se placer comme un expert dans son domaine. De plus, un blog est une source de notoriété pour l’entreprise car cela lui permet de gagner en visibilité. En effet, les articles qui bénéficient d’un référencement naturel optimisé, grâce à une sélection de mots-clés, permettront d’améliorer le référencement SEO de l’entreprise. Il faut tout de même prendre en compte que l’animation d’un blog demande un certain investissement en matière de temps. Effectivement, la fréquence de diffusion des articles doit être régulière. Il est également très important de faire un suivi des performances et d’analyser les statistiques pour définir les sujets les plus pertinents pour vos clients. Tous les articles doivent être relayés sur les réseaux sociaux pour générer un maximum de visites sur le site internet. Petite astuce, offrez aux lecteurs la possibilité de commenter l’article pour engager une discussion et créer un lien avec les prospects.

Des vidéos pour créer de l’engagement

La vidéo est un outil incontournable pour générer de l’engagement. Attractive et divertissante, la vidéo est très appréciée des internautes. D’ailleurs, 37% du trafic mondial sur mobile se fait sur YouTube. La vidéo s’utilise de différentes manières : pour mettre en avant un témoignage, mettre en scène son savoir-faire, mettre en valeur un évènement, mettre en lumière votre marque employer ou encore pour faire une interview. Quel que soit la forme que prend votre vidéo, la créativité doit être au cœur de vos réalisations pour susciter de l’intérêt auprès de votre cible et ainsi booster vos ventes.

Des newsletters pour apporter de la valeur

La newsletter apporte de la valeur ajoutée à l’entreprise et à son site e-commerce. En communiquant régulièrement, votre clientèle s’attachera à votre marque. Cet outil permet d’apporter des conseils à vos clients et prospects, de les tenir informés de l’actualité de l’entreprise et de présenter les nouveaux produits et services. Accompagnée d’une création graphique pertinente, votre newsletter obtiendra un taux de conversion élevé. Pour augmenter votre base de données de prospects, il suffit d’ajouter la possibilité de s’inscrire à la newsletter sur votre site internet.

Les évènements pour créer un lien de confiance

La mise en place d’événements est indispensable pour faire du relationnel avec les prospects et la clientèle. De l’organisation à la communication, il y a plusieurs étapes à respecter pour qu’une action événementielle se déroule comme souhaité. La réservation de la salle, la création d’invitations, la gestion des réservations, les publications pré et post évènementielles, la diffusion d’une vidéo de l’événement, et la mise en œuvre et l’organisation le jour J, sont des étapes primordiales pour que votre événement soit un réel succès qui contribuera à booster vos ventes.

Les supports papier pour se distinguer de la concurrence

Les supports de communication print ne sont pas à négliger, ils sont toujours utiles pour se démarquer de la concurrence. Ils se déclinent en de multiples formes, de la carte de visite originale, au catalogue pour faire découvrir vos produits, en passant par la plaquette qui présente votre offre. N’oubliez pas, lors d’une participation à un salon, il est essentiel de prévoir la création et l’impression d’un kakémono et/ou d’un roll-up pour présenter votre entreprise. Le petit plus, pensez à offrir des blocs-notes personnalisés à vos clients, un goodies toujours pratique pour garder votre marque en tête !

Vous avez désormais toutes les clés en main pour booster vos ventes et développer votre chiffre d’affaires. Comme vous l’avez constaté, le digital n’est pas la seule option, bien qu’il soit très important. Pour vous aider à mettre en place ces différents outils de communication, vous pouvez profiter de conseils en communication en collaborant avec notre agence de communication. Rubikom vous offre l’expertise d’une agence au prix d’un freelance ! Les packs de communication prposes par www.rubikom.fr vous permettent d’activer ces divers leviers de communication au meilleur moment et en fonction de votre besoin.

GOLDEN PORTAGE est un acteur à forte croissance dans le domaine du portage salarial spécialisé IT et nouvelles technologies qui offre aux consultants les avantages d’un statut de salarié tout en préservant leur indépendance et leur liberté.
Pour les entreprises, c’est la garantie d’un dispositif réglementé et sécurisé qui assure une optimisation des coûts d’embauche.
Arnaud Ribon, fondateur de GOLDEN PORTAGE nous explique le mécanisme et l’organisation d’un système tripartite dans lequel toutes les parties sont gagnantes.

La journée Additiv médical France, consacrée aux applications de l’impression 3D et au secteur du médical est organisée par 3Dnatives, le média digital spécialisé sur l’impression 3D et Bpifrance. L’évènement, qui est gratuit pour tous (exposants et participants) aura lieu en ligne le 26 janvier pour permettre aux membres de la communauté professionnelle de la fabrication additive de rencontrer les professionnels de Santé. 

Favoriser les échanges entre les PME et ETI de la fabrication additive et les professionnels de santé est essentiel en cette période de crise sanitaire qui a contraint nos industries à suspendre les évènements en presentiel et les échanges lors des salons dédiés. Additiv médical France devient la nouvelle solution pour échanger sur des cas d’applications concrêts et pour comprendre comment l’impression 3D va transformer le quotidien des médecins, laboratoires et instituts de recherche.

Additiv médical France : conférences, ateliers et sessions de networking 

Pendant le salon virtuel Additiv médical France, les participants pourront circuler sur différents étages où se tiendont les stands virtuels des exposants. La journée sera animée par des sessions de networking virtuelles, des tables rondes de 40 minutes et des ateliers de 20 minutes. Cette configuration favorisera l’échange de connaissances et les discussions commerciales, notamment avec des tables rondes qui seront là pour permettre aux participants de comprendre comment les professionnels de santé utilisent aujourd’hui les technologies 3D, quelques soient leurs spécialités. Les ateliers offriront de leur côté la possibilité de suivre une démonstration concrète d’un outil, d’une machine ou encore d’étudier un cas d’application concret de l’impression 3D médicale. 

Infos pratiques

Date : 26 janvier, de 11h30 à 21h30

Événement en ligne et gratuit pour tous les participants et exposants. 3Dnatives utilise une plate-forme virtuelle qui permettra d’accueillir la communauté de la fabrication additive. Grâce à son interface simple et intuitive, les participants pourront se balader d’un stand à un autre mais aussi profiter de tables privées pour des rencontres individuelles.

Vous voulez en savoir plus ? Cliquez ici

Si vous êtes dirigeant ou cadre d’une startup, d’une PME ou d’une ETI developpant des solutions innovantes pouvant être présentées à des décisionnaires de grands groupes à l’international et que l’Amérique du nord vous intéresse, alors n’hésitez pas à participer à cette conférence webinaire sur l’implantation au Canada le jeudi 28 janvier 2021 de 15h00 à 16h30 (inscription au bas de la page).

Les relations économiques franco-canadiennes représentent un fort potentiel de croissance. Ces deux pays, qui appartiennent respectivement à l’Accord Canada-Etats-Unis-Mexique et à l’Union européenne, représentent des portes d’accès à ces deux grands marchés régionaux. Le Canada a entériné avec l’Union européenne un accord économique historique, l’Accord économique et commercial global (AECG), en application provisoire depuis septembre 2017. Cet accord tend à supprimer les tarifs douaniers afin de réduire les coûts des marchandises, d’accroître la mobilité des personnes et d’intensifier les échanges de biens et services.

La présence économique française au Canada se renforce en permanence et comprend aujourd’hui environ 1 300 filiales canadiennes d’entreprises françaises qui sont implantées au Canada et qui génèrent près de 122 000 emplois (Source : Eurostat).

Cette présence économique française est établie essentiellement au Québec et en Ontario, et progressent sur l’ensemble du territoire canadien. Elle est composée des grands comptes français multinationaux de l’industrie et des services mais aussi de plus en plus de PME et ETI. En 2019, la France était le onzième investisseur étranger dans ce pays, avec un stock d’investissements directs estimé à 14,8 milliards de dollars.

Le Canada offre de nombreuses opportunités aux PME et ETI françaises proposant des technologies innovantes dans des secteurs tels que :

  • l’intelligence artificielle,
  • l’industrie 4.0
  • la gestion des ressources humaines.
  • les infrastructures
  • la santé

La CCIFC (Chambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada) vous permettra de profiter, lors de cette conférence webinaire sur l’implantation au Canada, de l’expertise d’entrepreneurs français qui “sont déjà passés par là et qui ont réussi”.

Programme de la conférence webinaire sur l’implantation au Canada

  • Entrepreneurs Français : pourquoi choisir le Canada ?
  • Comment s’implanter au Canada avec des témoignages d’experts
  • Découvrez l’évènement Accélérez ensemble du 17 février 2021, qui propose des rendez-vous préqualifiés entre grands groupes et solutions innovantes (PME/Startups)
  • Questions & Réponses

Conférence animée par :

  • Liliane ACARD
    Chef de projets internationaux, CCI PARIS ILE-DE-FRANCE
  • Ambre-Oceane Lavesque
    Responsable des Opérations et Recrutement chez Cooptalis
  • Cécile Fouché
    Directrice du Service Appui aux Entreprises, Chambre de Commerce et d’industrie Francaise au Canada

INFORMATIONS PRATIQUES

JEUDI 28 JANVIER 2021 de 15H00 à 16H30 

 Inscription 100% gratuite avec Alertes email avant le webinar

 Zone de chat pour poser vos questions

Rediffusion jusqu’au 31/12/2021 

INSCRIVEZ-VOUS !

La Semaine de l’Optimisme a lieu en ce moment à travers plusieurs évènements 100% digital crées pour capter les énergies positives et inspirer les actions constructives. Organisée par Morning en partenariat avec d’autres acteurs majeurs du changement, la Semaine de l’Optimisme s’annonce riche en contenus.

L’année 2020, avec ses bouleversements, représente un véritable défi pour les individus et les organisations qui doivent montrer leur aptitude en matière de résilience, de créativité et d’audace pour s’adapter et sortir grandis de cette crise. Du 23 au 26 novembre, Morning met à votre disposition une série de conférences et d’échanges autour d’invités de marque : Les Napoléons, Usbek & Rica, PayFit et So Good qui interviendront pour ouvrir les perspectives.

le programme de la Semaine de l’Optimisme : 4 jours & 4 conférences

Le lundi 23 novembre à 14h – Talk d’ouverture avec les Napoléons – « Le pessimisme est d’humeur, l’optimisme est de volonté. » Ces célèbres mots d’Alain dans ses « Propos sur le bonheur » (1928) vont trouver un echo certain lors de cet échange entre Marjolaine Grondin, CEO de Jam et Thierry Sausset fondateur du Printemps de l’Optimisme. Ces Deux profils atypiques et différents expliqueront leur vision de l’optimisme.

Le mardi 24 novembre à 14h – Bio-inspiration : le grand retour vers le futur avec L’institut des futurs souhaitables et Usbek & Rica, en présence de Tarik Chekchak qui est ingénieur biologiste et spécialiste en biomimétisme. Il évoquera les potentiels du vivant comme source d’inspiration pour les organisations. Sa prise de parole sera suivie d’un échange animé par Florie Debailleux d’Usbek et Rica.

Le mercredi 25 novembre à 14h – La transformation des organisations s’accélère (et c’est bien) animé par Marie Barbier DRH de Morning et Caroline Leroy, Chief People and Fulfilment Officer Payfit et Isaac Getz auteur de livres d’entreprise à succès, conférencier et professeur à l’ESCP Business School. Culture des organisations, qualité de vie au travail, mise en responsabilités accrues de tous, employeurs comme employés… Tous ces défis de demain qui se jouent aujourd’hui. Ce débat aura lieu également avec Marie Barbier, DRH de Morning.

Le 26 novembre à 14h – Place à l’ère des Good News ! avec So Good. Stéphanie Ampart, responsable du réseau d’activistes du magazine So good, animera un echange entre optimistes, qui réunira Valérie Zoydo, Anne-Sophie Novel et Caroline de Chanterac. Le talk sera précédé d’une capsule vitaminée 100% inspirante, 1000% feel good présentée par un guest surprise.

S’INSCRIRE

Cybersécurité et Covid-19 ne font pas forcément bon ménage. En effet, la crise sanitaire que nous vivons a amené les PME et ETI à adopter de nouveaux modèles de travail pour s’adapter aux nouvelles réalités et permettre ainsi la continuité de leur activité. Le recours massif au télétravail, la réduction ou l’absence de compétences en cybersécurité ainsi que la multiplication des consignes à destination des collaborateurs, sont autant de facteurs à risques qui ont augmenté l’exposition des entreprises à ces menaces (usurpation d’identité d’entreprise, attaque  « ransomware » et fraude financière …).

La multiplication de ces attaques oblige les chefs d’entreprise et les collaborateurs à une sensibilisation aux bonnes pratiques et une vigilance accrue. Le Jeudi 15 octobre, de 10h à 11h, venez participer gratuitement au webinar organisé par la CCI Paris Ile-de-France, le Medef et lesdigiteurs et découvrez les conseils d’experts en cybersécurité pour limiter les risques face au Covid-19.

Au programme de ce webinar :

Entreprises et experts témoigneront et apporteront des conseils pour limiter les risques.

  • Aymeric Harmand, Vice-Président, Développement de produits et Innovation, Europe de l’Ouest, Mastercard
  • Pierre-Arnaud Moreau-Portejoie, Chef de projets Etudes, CCI Paris IDF
  • Jimmy Odouha, Chef de produits, Devices et Security services, Orange
  • Gilles Souris, Conseiller numérique, CCI Paris IDF
  • Débat animé par Maxime Garreta, Coordinateur Régional du Numérique, CCI Paris IDF
Intervenants du webinar :
Maxime GARRETA

Maxime GARRETA

Gilles Souris

Gilles Souris

Jimmy Odouha

Jimmy Odouha


Organisé par :

JE M’INSCRIS

France Relance va consacrer 7 milliards d’euros au numérique et aux start-up alloués directement par le biais de participation aux levées de fonds, d’aide à la transformation digitale des entreprises et des services de l’Etat ainsi que par la formation aux métiers du numérique. Le gouvernement, à travers ces subventions, aimerait dénicher quelques perles de la French Tech, notamment dans le domaine des technologies de rupture.

Par Franck Boccara

Le plan de relance de l’économie de 100 milliards d’euros, baptisé par le gouvernement « France Relance », a pour objectif de rendre à la France en 2022 son niveau d’activité d’avant la crise du Covid-19 et ainsi amorcer une baisse du chômage. Le numérique et les start-up vont bénéficier d’environ 7 milliards d’euros entre 2020 et 2022. Cédric O, secrétaire d’Etat chargé de la Transition numérique et des Communications électroniques, est intervenu à plusieurs reprises ces derniers jours pour détailler le volet numérique du plan « France Relance », présenté comme un élément central de ce plan de relance avec trois principaux axes « développer notre écosystème FrenchTech », « Fibrer toute la France et lutter contre l’illectronisme », « Numérisation de l’État, des territoires et des entreprises ».

Dans le détail, le gouvernement va débourser 3,7 milliards d’euros pour les start-up et la souveraineté technologique, dont 2,4 milliards d’euros pour les technologies de rupture. « Les technologies de rupture font partie des technologies critiques qu’on estime devoir maîtriser pour des raisons de souveraineté », explique Cédric O en précisant que « s’agissant des technologies de rupture, il y a d’abord le sujet de la compétitivité. Il est nécessaire d’investir pour qu’en termes de performance et rapport qualité prix, les start-up françaises soient au même niveau que les start-up à l’international ».

500 millions d’euros doivent être directement dédiés aux start-up, notamment pour soutenir les levées de fonds les plus importantes. Ce soutien est censé faire émerger des leaders européens et mondiaux, comme le voulait Emmanuel Macron lorsqu’il annoncait en septembre 2019 qu’il souhaitait voir émerger 25 licornes françaises en 2025. 
Bpifrance, de son côté, va investir près de 400 millions d’euros en 2021, contre 250 millions aujourd’hui et augmenter ainsi le volume global de ses investissements pour aider à l’émergence des pépites françaises sur la scène internationale. Enfin, le PIA (Plan d’Investissement d’Avenir) va augmenter de 60% les aides dédiées à l’innovation pour un total de 800 millions d’euros dont bénéficiera la French Tech pour poursuivre sa mission de fédération d’un écosystème reconnu à l’international.

De plus, 2,3 milliards d’euros sont prévus pour la transformation numérique de l’Etat et des entreprises dont 1,7 milliard d’euros à la transformation numérique de l’État et des territoires. Le gouvernement explique, dans un communiqué, le besoin de « financer le déploiement d’une identité numérique de niveau élevé, la modernisation et la sécurisation des infrastructures numériques de l’État, et l’utilisation de technologies numériques de pointe par les administrations« . Sur ces 2,3 milliards, 385 millions d’euros sont également consacrés à l’accompagnement dans la transformation numérique des TPE, PME et ETI qui est d’autant plus indispensable que « les entreprises françaises sont en retard sur ce sujet », selon Cédric O. Enfin, 200 millions d’euros iront directement aux filières automobile et aéronautique.

La formation n’a pas été oubliée avec 300 millions d’euros dédiés à la formation au digital pour venir en aide aux travailleurs dont les métiers sont affectés par la crise et leur offrir une possible reconversion dans les métiers du numérique. Pour terminer, 800 millions d’euros vont être investis dans la numérique du quotidien pour accélérer la généralisation de la couverture fibrée sur l’ensemble du territoire et pallier de cette facon à la fracture numérique et l’illectronisme.

Le Digital Starter Program de la CCI Paris Île-de-France s’adresse aux entreprises dont l’activité est traditionnellement éloignée du digital mais qui veulent booster leur visibilité et leur prospection grâce au numérique. Ces 2 jours de formation action vont permettre aux participants d’amorcer leur présence sur le web.

Cette formation aura comme mission d’accompagner les dirigeants, porteurs de projets et salariés (ex: responsables marketing, communication, commercial) sur les sentiers du numérique notamment grâce à la création d’un site web vitrine, au développement d’une présence sur les principaux réseaux sociaux et la mise en place de techniques efficaces de prospections digitales.

La capacité maximum d’une session de formation est de 10 stagiaires.
Ceux-ci (de niveau débutant à Intermédiaire) pourront disposer à l’issue de la formation d’un kit outils afin de créer, développer et gérer les bases d’une présence en ligne, de communiquer, de prospecter via les réseaux sociaux et d’utiliser des outils webmarketing adaptés.

Les participants viendront équipés des éléments de présentation de leur activité (logo, description de l’entreprise et de son offre) qui serviront de support pour la formation ainsi que d’un ordinateur portable.

Le Digital Starter Program se tiendra sur deux jours consécutifs en présentiel de 9h30 à 13h, puis de 14h à 17h30.

AU PROGRAMME

JOUR 1 – Présence en ligne*

  • Création d’une page professionnelle sur Facebook et Linkedin.
  • Référencement de son activité sur « Google My Business ».
  • Mise en place d’une veille sur l’e-réputation de son entreprise et son secteur d’activité.
  • Accompagnement à la création d’un site web vitrine (3 pages principales) via la plateforme WIX.

JOUR 2 – Prospection digitale*

Prospection de votre cœur de cible grâce à Facebook & Instagram Ads.
Ciblage des prospects B2B sur le réseau Linkedin. Programmation d’une campagne d’e-mailing pour votre entreprise.

*Sur le premier niveau de gratuité des outils utilisés.

Les participants bénéficieront d’un suivi et d’une évaluation comprenant un support de formation en ligne et un suivi post formation via l’offre d’accompagnement de la CCI qui permettra un suivi individuel.

La formation « Digital Starter Program » est éligible au CPF (compte personnel de formation).
Le tarif de ces 2 jours de formation action est de 790 € HT  
Inscrivez-vous directement sur « moncompteformation » au plus proche de chez vous en Ile-de-France  : 

La prise en charge par un organisme financeur (par exemple un OPCO) se fait uniquement sur devis préalable. Merci de contacter la CCI Paris Île-de-France. L’inscription est définitive après acceptation de la prise en charge.

La sous-traitance est protéiforme : sous-traitants pour certains, prestataires IT ou de service, ressources externes ou encore freelances pour d’autres. La superficie de l’entreprise étendue ne cesse donc de croître et l’entreprise a, par conséquent, besoin d’outils collaboratifs pour être connectée à son écosystème.

Julien Pérona Co-fondateur de la plateforme SaaS – ADDWORKING

Ce dernier est composé bien sûr de ses salariés, de ses clients mais aussi de ses sous-traitants ou ressources externes. La sous-traitance prend donc une place de plus en plus importante dans son écosystème. Face à cela, l’entreprise est souvent confrontée à l’absence d’outil pour bien gérer cette population.

Bien sûr que la majorité des Directions financières est dotée d’ERP pour gérer les flux financiers Clients. Toutefois, le sous-traitant est très souvent isolé de tout système d’information. Les emails et les tableaux excels sont souvent de mise alors que les opérationnels auraient un grand besoin d’outils connectés pour consulter en temps réel leur panel de sous-traitants avec, entre autres, l’assurance d’une parfaite conformité juridique, un suivi contractuel et enfin un dashboard permettant en quelques clics de valider les factures Sous-traitants pour faciliter l’input à la Comptabilité.

L’entreprise doit absolument gagner en agilité pour animer facilement et simplement sa sous-traitance afin que ses opérationnels ne se consacrent qu’à des tâches stratégiques à haute valeur ajoutée.

L’entreprise prend souvent des risques juridiques sévères face à des alertes de non-conformités hors « workflow ».

Il existe beaucoup de systèmes de contrôle de la conformité des sous-traitants permettant à l’entreprise de s’en affranchir. Toutefois, ces solutions sont majoritairement en dehors du workflow de l’entreprise.

Cela n’empêche donc pas l’opérationnel de poursuivre sa relation contractuelle avec son sous-traitant. Le donneur d’ordre peut alors continuer à honorer, par exemple, les factures de ses sous-traitants malgré ces non-conformités sévères étant donnée l’absence d’alertes au sein même de son workflow… L’intégration de tout le processus au sein d’un même outil est indispensable, en lien avec un ERP éventuellement déjà en place.

L’entreprise doit plus que jamais fidéliser ses meilleurs partenaires pour assurer son exploitation, le délai de paiement étant assez souvent au coeur des frictions.

Tarder à payer son sous-traitant n’est pas forcément le reflet d’une entreprise donneur d’ordre faisant de la rétention de trésorerie. Il y a des mauvais payeurs mais ce n’est pas la majorité. Nous observons au contraire que l’entreprise est souvent en difficulté dans une phase critique : la réconciliation comptable.

Le montant de la facture du sous-traitant est-il correct ? La prestation correspond-t-elle aux attentes des opérationnels ? Le livrable est-il convenable ? Bref, autant de sujets qui mettent en attente la validation de la facture du sous-traitant.

D’autre part, le workflow, s’il existe, est souvent inversé : la facture arrive à la Comptabilité puis, elle est soumise à l’opérationnel afin qu’il valide, et enfin la Comptabilité doit mettre en paiement une fois la validation effectuée par l’opérationnel. Le digital permet la simplification des flux et il met l’humain à la bonne place dans la chaîne de décision.

Dans ce dernier exemple, imaginez que l’opérationnel soit notifié sur son smartphone de la fin de la prestation de sous-traitance. Il peut ainsi valider/refuser en temps réel le montant de ladite prestation, qui se transforme en facture « bon à payer » accessible par la Comptabilité.

Certes, le délai de paiement d’un donneur d’ordre reste ce qu’il est, toutefois la phase amont, à savoir la bonne prise en charge de la facture du sous-traitant, le contrôle de son IBAN (lutte contre la fraude aux sous-traitants/fournisseurs) et la validation du montant, sont autant de tâches qui retardent le paiement.

Pour conclure, le digital est une parfaite réponse aux besoins d’instantanéité et de simplicité de gestion pour les 2 parties. L’implémentation des solutions en mode Saas (Full web) est simple et peu onéreuse. Tout le monde gagne du temps et le processus est alors ultra efficace.

StreamMind est une deeptech qui repousse les frontières technologiques pour permettre aux entreprises d’accéder à une maîtrise optimale de leur flux bancaires.
Grâce à sa solution Moneyroad, StreamMind s’attaque avec succès à un enjeu majeur pour les PME et ETI ; les délais de paiement.
Nicolas Muhadri, fondateur de StreamMind, nous parle d’une innovation de rupture qui changera définitivement vos habitudes.


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