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Bien-être au travail : quelques solutions et on se sent déjà mieux !

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Le bien-être au travail est devenu une notion fondamentale dans le monde des ressources humaines… et pour cause, nous passons en moyenne 39 heures chaque semaine dans nos bureaux ou usines, c’est à dire environ 12% de notre vie. Il devient évident de tout faire pour rendre ce quotidien agréable et supportable. Alors que le phénomène de « burn out » est de plus en plus fréquent, voyons comment l’éviter en conjugant bonheur et emploi dans nos PME et ETI.

Selon une étude récente réalisée par RegionsJob, 3 Français sur 4 seraient disposés à accepter un emploi près de chez eux, même si cela entrainait une baisse de revenu. Pourquoi ? Tout simplement pour trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle afin de mieux s’épanouir au quotidien.

Concernant le temps de transport entre le lieu d’habitation et le travail, les salariés français sont prêts à faire entre 15 et 45 minutes de route si le poste répond à leurs attentes. Selon eux, ce trajet permet de relâcher la pression avant d’arriver chez soi et c’est l’occasion d’écouter la radio ou la musique, d’ouvrir un livre ou un journal pour se changer les idées. Finalement, le bien-être au travail influence nos journées même après avoir débauché !

La sieste sur le lieu de travail pour plus d’efficacité

Contrairement à ce qu’on pourrait croire , la sieste n’est pas seulement réservée aux enfants en bas âge, aux vacanciers ou aux personnes âgées. Plusieurs études ont prouvé qu’une sieste de 15 à 20 minutes à la pause du midi aurait des effets bénéfique pour les salariés et leur corps.

Au niveau planétaire, un quart des habitants fait la sieste sur son lieu de travail. Qu’attend la France pour se reposer ? Et si nous instaurions la sieste collective comme à l’école maternelle ? Inutile de trouver l’excuse du lit et de la couette, il suffit d’un coin de table et d’une chaise confortable pour se laisser aller quelques instants. Que vous soyez peintre, soudeur, comptable ou conducteur de travaux, rien ne vous empêche de vous arrêter quelques instants, il suffit de vous organiser ! N’oubliez pas que le bien-être au travail n’est atteignable que si vous êtes en pleine forme. A tout âge, la sieste a des effets très positifs sur le corps et l’esprit ; clairvoyance, perspicacité, bonne humeur, calme, curiosité, concentration et facilité d’apprentisseage sont autant de bénéfices générés par quelques minutes de repos.

Le stress au travail, un défi de taille pour les dirigeants

D’après une récente étude réalisée par l’ADP, 20% des salariés français souffrent de stress lié à leur emploi et un tiers d’entre eux se questionnent sur un potentiel changement de société pour pallier ce mal-être. Plus inquiétant encore, 34% des personnes interrogées estiment que leurs employeurs ne portent pas assez d’intérêt à leur bien-être au travail.

Si les angoisses professionnelles ne sont pas une maladie et permettent parfois de faire de grandes choses, il ne faut pas qu’elles deviennent incontrôlables, précise le président de l’ADP. De nombreux métiers à responsabilités ou à risques sont source d’angoisses, de frustration, d’un manque de concentration et de motivation. Par conséquent, on observe rapidement une baisse de productivité et une hausse de l’absentéisme qui impactent les performances d’une entreprise.

Le mot « burn out » est au cœur de nombreux débats : s’agit-il oui ou non d’une maladie professionnelle ? A ce jour, les projets de loi allant dans ce sens ont été refusés mais cela ne veut pas dire qu’il n’existe aucune solution pour ressentir du bien-être au travail. C’est aux entreprises de mettre en place des mesures concrètes de bien-être au travail. Formations, moments d’échanges, ateliers de détente sont autant de réponses faciles et peu coûteuses à instaurer.

Etre heureux au travail grâce à un management efficace et dynamique

Les salariés ont de plus en plus besoin de se sentir utiles dans ce qu’ils font au quotidien. Un bon manager doit alors être reconnaissant auprès de ses équipes, parce qu’elles sont avant tout constituées d’êtres humains qui ont un cœur, une estime de soi et s’investissent dans des projets communs. D’ailleurs, féliciter un salarié n’a jamais fait de mal, bien au contraire. Alors, chers managers, pensez à remercier vos collègues pour leur engagement !

Sachez qu’un mauvais management impacte considérablement la productivité et la motivation des employés. Et si, finalement, il suffisait de se dire les choses pour trouver des solutions pérennes ? En France, la hiérarchie est encore un frein aux échanges, même si les choses commencent à changer petit à petit avec l’apparition des start up par exemple. Que vous soyez responsable d’équipe, chef de chantier ou encore ingénieur informatique, vous managez des équipes et devez prêter attention à leur bien-être au travail.

Il est parfois difficile pour certains salariés de parler à son manager des difficultés rencontrées, notamment parce que cela peut être perçu comme un aveu de faiblesse. Prenez le temps de formuler vos besoins et vos préoccupations pour que votre manager vous aide à trouver des solutions.

Régler le problème des inégalités salariales entre hommes et femmes

Le Gouvernement d’Emmanuel Macron s’intéresse de près à l’égalité des salaires entre les femmes et les hommes. Si ce constat est loin d’être nouveau, il est certain que notre société a encore de gros efforts à fournir ! En moyenne, les travailleurs masculins touchent 9% de plus que leurs collègues féminines. L’objectif est donc de proposer le même salaire lorsque deux salariés de sexes différents occupent le même poste et ont les mêmes compétences professionnelles. Reste à savoir comment cela sera appliqué aux entreprises de façon à ce qu’elles soient obligées de jouer le jeu de la transparence et de l’égalité.

Proposer des perspectives d’évolution concrètes et atteignables au cours de sa carrière

Dès le plus jeune âge, on ne cesse de nous répéter « tu verras, on se forme tout au long de sa vie ». Oui, si les entreprises proposent des formation prfessionnelles répondant aux besoins de leurs salariés ! Misez sur l’épanouissement des équipes pour s’assurer qu’ils resteront longtemps à leur poste. Il est fréquent que le manque de perspectives d’évolutions internes soit très souvent un élément déclenchant une recherche active d’emploi. Pour éviter cela, les managers et dirigeants d’entreprises doivent ouvrir le dialogue afin d’analyser quelles sont les problématiques et quelles solutions peuvent être trouvées.

Le bien-être au travail réside-t-il dans l’aménagement des horaires ?

La question du bien-être au travail est de plus en plus liée au temps passé en entreprise. Du lundi au vendredi, le week-end voire les jours fériés, difficile de trouver un équilibre en vie professionnelle et vie personnelle. Face à ce constat qui impacte considérablement la motivation et l’investissement des salariés et intérimaires, le télétravail est au cœur des réflexions de nombreuses sociétés en France. Quelles sont ses conséquences sur le développement de l’entreprise ? Qui peut en faire la demande ? Pour faciliter les démarches des salariés, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a créé un « droit au télétravail ». Tous les salariés ont désormais la possibilité de demander à bénéficier de ce dispositif. En cas de refus, l’employeur a l’obligation de justifier son choix auprès du salarié et cette raison doit être suffisamment valable pour être recevable.

Si ce sujet soulève de nombreuses interrogations auprès des dirigeants et managers, notamment au sujet de la protection des données, l’aménagement des horaires peut être une alternative intéressante. Finis les horaires fixes et le pointage, les salariés doivent simplement respecter des heures de présence et s’organisent à leur convenance tout en s’assurant que les missions confiées sont réalisées dans les délais.

Les « responsables du bonheur » sont-ils l’avenir de l’épanouissement au travail ?

Depuis deux ans, on entend parler de « chief happiness officer », de « responsable de l’expérience salarié », ou encore de « feel good managers ». Mais concrètement, en quoi consiste ce nouvel emploi et quelles sont ses missions ? Ces responsables du bonheur en entreprise ne convainquent pas uniquement les start up. Par exemple, le groupe pharmaceutique Boiron est le premier à avoir recruté un collaborateur chargé de s’assurer du bien-être des salariés. Au total, 200 personnes occuperaient officiellement ce poste à plein temps en France et la majorité d’entre elles seraient devenues CHO grâce à une évolution interne, parce qu’elles connaissent parfaitement leur société.

Les missions confiées à ces « feel good managers » varient en fonction des domaines d’activité et des besoins exprimés. Les cours de yoga et de sport, la distribution de fruits, l’ouverture d’une crèche interne ou encore l’organisation de petits déjeuners conviviaux sont autant d’actions mises en place pour améliorer les conditions de travail des employés.

Les CHO jouent également un rôle important dans les décisions prises concernant les espaces de travail, l’organisation de challenges internes et d’ateliers thématiques pour donner la parole aux collaborateurs. Après avoir fait la liste des améliorations possibles, toute la difficulté réside dans l’acceptation des propositions auprès des dirigeants. Montrer l’utilité et les impacts positifs des changements souhaités reste une épreuve pendant laquelle pédagogie et conviction seront essentielles.

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Gestion du postes clients pour les PME et ETI

Le Redesign-To-Cost (ou reconception à coût objectif), permet d’améliorer la compétitivité d’un produit ou d’une gamme de produits en réduisant ses coûts ou en augmentant sa valeur. Souvent, les deux leviers sont activés en même temps afin de compenser les surcoûts liés à une relocalisation. Atol, Seb, veloscoot …sont autant d’entreprises qui ont mené cette démarche dans le passé, avec le succès qu’on leur connaît.

Par Jean-Baptiste Guillaume – Associé IAC Partners

Dans le cadre d’une relocalisation, un critère de choix essentiel est le produit et son positionnement sur le marché local. Alors comment conjuguer valeur perçue par l’utilisateur et optimisation des coûts ? C’est à cette question que répond le Redesign-To-Cost en s’intéressant aux rapports entre les performances du produit et l’allocation du coût et de la valeur. Certes, l’approche diffère en fonction de l’étape de développement du produit à partir de laquelle on applique la démarche. Mais que l’on débute le développement ou que l’industrialisation soit déjà en cours, il est indispensable d’évaluer les inducteurs de coûts liés aux fonctions ou au process. Ainsi, le Redesign-To-Cost peut faire gagner 5% sur les coûts au lancement commercial du produit mais peut monter jusqu’à 30% dans le cadre de la mise en place d’une conception modulaire.

Au cours d’un développement, le ReDesign-to-Cost va repenser les fonctions du produit pour répondre au juste besoin du marché. Focaliser les coûts du produit sur les fonctions qui apportent de la valeur au produit, c’est tout l’enjeu de la démarche. Chaque fonction ou sous-ensemble se voit attribué un coût en fonction des performances attendues. Il s’agit d’un processus itératif et collaboratif où tous les acteurs du développement (marketing, R&D, achats, etc.) convergent sur des idées challengeant le contenu du produit avec des gains ou des coûts associés. Ces idées peuvent remettre en cause le processus de production (platforming, approche de différenciation retardée, etc.) ou encore le business model afin de mieux répondre aux habitudes des consommateurs locaux (par exemple, plutôt que de vendre une poussette à un prix élevé, on la proposera en location longue durée).

Si l’industrialisation du produit a déjà démarré, le Redesign-To-Cost s’attardera plutôt sur un accroissement de la marge en réduisant les coûts de production. On s’attachera alors à ressourcer localement, à trouver des schémas alternatifs de supply-chain et à réduire l’impact de la main d’œuvre sur le coût total du produit. En général, c’est ce dernier point qui rend les relocalisations coûteuses. On privilégiera la main d’œuvre sur les opérations à forte valeur ajoutée et acceptera l’automatisation des autres tâches. C’est également un excellent moyen de réduire les coûts cachés associés à la production dans les pays low-cost : les non-qualités sont traitées immédiatement et durablement, la supply-chain est optimisée, les délais sont réduits et la collaboration avec les fournisseurs est renforcée. A l’approche d’un démarrage de production, on se limitera aux scénarios à faible effort et fort ROI, liés aux achats et à la supply-chain.

Enfin, si la relocalisation implique de nouveaux investissements, la méthode permet d’améliorer le Total-Cost-of-Ownership, en dimensionnant au juste besoin un appareil de production flexible et évolutif. Dans ce cadre, l’utilisation du revamping est également une option, de même que la transformation digitale en réalisant une usine 4.0 afin de tirer parti des avantages technologiques français.

Les méthodologies de ReDesign-To-Cost utilisées depuis plus de 30 ans par IAC Partners ont aidé de nombreux clients à conserver leurs sites de production en France ou à relocaliser certaines gammes de produits. De la construction d’une stratégie de relocalisation cohérente en fonction des enjeux économique à l’accompagnement dans la réalisation des projets de conception et de mise en production, IAC Partners réalise les audits des pratiques opérationnelles, la mise en place de méthodes pragmatiques et la recherche des solutions adaptées avec vous.

Afin de favoriser le financement des entreprises, la loi Pacte supprime la condition de détention du capital imposée aux associés des sociétés civiles, SARL et Sociétés par Actions afin de permettre de souscrire à un compte courant d’associés. Cependant, il y a quelques principes à comprendre pour maitriser ces dispositifs.

Par Nathalie SAINTE ROSE MERIL – Avocate fiscaliste

Un compte courant d’associés retranscrit les relations pécuniaires entre les associés et leur société, mais par principe cette relation est unilatérale, c’est à l’associé qu’il appartient de prêter de l’argent à son entreprise. En revanche, un associé personne physique ne peut se voir consentir un prêt par sa société, c’est une obligation de rigueur. Outre les conséquences sur le plan du droit des sociétés et du droit pénal, des sanctions fiscales sont également prévues. Ainsi suivant l’article 111-a du code général des impôts (CGI), les sommes mises à la disposition de l’associé sont considérés comme des distributions.

La conséquence qui en découle est la mise en application du dispositif de la distribution dite « officieuse » (non application de l’abattement de 40%, non application de la flat taxe de30%) qui va donc entrainer une imposition supplémentaire de 25% au barème progressif de l’impôt sur le revenu des personnes physiques.

Exemple : votre société vous prête 70 000€ en 2019 et il reste à rembourser 50 000€ au 31 décembre 2020.
L’Administration fiscale pourrait imposer la somme de 50 000€ au titre des revenus distribués avec une majoration de 12 500€ (50 000 x 25%) sur la base imposable sans compter les prélèvements sociaux, soit une base imposable à l’IR de 62 500€ + les prélèvements sociaux sur la base de 50 000€ .

De même, l’administration fiscale pourrait considérer que cette mise à disposition est un revenu distribué et un acte anormal de gestion pour défaut de constatation d’un intérêt. Pour autant, en pratique il ne peut être considéré que cette mise à disposition soit à la fois un revenu distribué et un prêt donnant lieu à la constatation d’un intérêt, l’Administration devra donc choisir sous quel angle elle voudra vous imposer.

Alors que faire lorsque vous constatez que votre compte courant d’associés est débiteur ? Pas de panique : il peut s’agir de frais que la société doit vous rembourser ou d’une avance sur des dividendes à verser par l’entreprise, ce qui importe c’est que le solde de votre compte courant d’associés ne soit pas débiteur en fin d’exercice social.

Attention néanmoins : lorsque votre entreprise met à votre disposition des sommes et qu’en fin d’année vous n’avez pas remboursé ces sommes (le solde du compte courant d’associés est donc débiteur), il vous faudra prévoir une convention que vous aurez préalablement enregistrée pour lui donner une date certaine et prévoir aussi un taux d’intérêt correspondant a minima à la moyenne des taux effectifs moyens pratiqués par les établissements de crédit pour des prêts à taux variable aux entreprises, d’une durée initiale supérieure à deux ans.

En cas de contrôle fiscal, suivant les dispositions des articles 49bis à 49 sexies de l’annexe III au CGI, vous pouvez néanmoins demander la restitution des impositions si vous avez opéré le remboursement des montants laissés à votre disposition et préalablement payé les impositions résultant du contrôle fiscal.

Et il faudra conservez la même vigilance lorsque vous prêtez de l’argent à votre entreprise en vous assurant au préalable de pouvoir justifier des sommes mises à la disposition de votre société car il s’agit bien d’une dette dont il faut pouvoir justifier de l’inscription au passif du bilan de votre entreprise, alors même que cette dette a été portée en comptabilité au cours d’un exercice prescrit (CE 20.01.1992 n°67764 8e et 9e s/s Passot RJF 3.92 n°383 ).

Paiements internationaux : ces PME & ETI qui ont sauvé leurs marges avec iBanFirst
« La bascule est discrète, mais massive chez les PME. Ces 3 derniers mois, c’est à nouveau plus de 1 000 PME & ETI qui ont décidé de travailler avec iBanFirst. Optimiser ses paiements internationaux pour sauver ses marges n’est plus réservé aux seuls grands groupes ». Pierre-Antoine Dusoulier, CEO d’iBanFirst, est bien placé pour le savoir. Il a créé le nouveau leader des paiements internationaux après avoir expérimenté les carences du système.  Avant, les petites entreprises qui faisaient de l’import, de l’export ou avaient des filiales n’avaient pas le choix : elles subissaient à la fois les variations monétaires et le manque de transparence des banques. Résultat : des marges qui s’érodent au moment de payer la facture ou de rapatrier son argent. Pourtant, depuis deux ans, avec un dollar qui a perdu 11% de sa valeur en 12 mois ou les monnaies asiatiques qui s’affaiblissent, les digues ont sauté. Les patrons de PME comme les directeurs financiers ont décidé de faire jouer la concurrence pour protéger leurs marges. Paiements internationaux : ces PME & ETI qui ont sauvé leurs marges grâce à iBanFirstLe nouveau leader du paiement international affiche une croissance à deux chiffres. iBanFirst compte ainsi plus de 10 000 PME et ETI comme clientes, et gère plus de 2,5 milliards d’euros de paiements par mois. Pourquoi un tel engouement ? Parce que les clients veulent reprendre la main. Chez iBanFirst, chaque PME ou ETI dispose :   – de tarifs les plus compétitifs du marché avec une garantie de transparence – de son « Global Account » dédié, afin de piloter ses comptes et toutes ses transactions. – de son expert dédié pour guider les décisions stratégiques et savoir comment se couvrir ; « Ce n’est que le début d’une bascule pour les PME exposées à l’international, explique Pierre-Antoine Dusoulier, d’iBanFirst. Celles qui ont franchi le cap gagnent des parts de marché par rapport à leurs concurrents. Les variations euro/dollar, l’instabilité géopolitique… tout cela a accéléré la prise de conscience ». Après une année folle sur le front des monnaies, 2026 s’annonce encore plus complexe. Une incertitude qui pousse chaque jour plus de PME et ETI à protéger ce qui peut l’être.

Protégez vos marges avec iBanFirst

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