Fort d’un réseau de plus de 40 spécialistes, COSMA Experts propose aux entreprises des solutions sur mesure pour rationaliser leurs coûts indirects et ainsi booster leur performance financière.
Par Gérald Le Teurs – Directeur Associé COSMA Experts
Depuis près de 15 ans, les spécialistes de notre cabinet de conseil en optimisations interviennent auprès de nos clients sur leurs 45 catégories d’achats indirects (logistique, frais généraux, production, finance…).
Notre crédo : mettre en place les améliorations de processus et de rationalisation de leurs coûts sur l’ensemble des dépenses opérationnelles afin de leur permettre de dépenser mieux. En outre, l’expérience récente démontre qu’une mission menée par COSMA Experts permet aussi de maintenir leur marge.
Pourquoi ? Alors que de nombreuses entreprises ne peuvent que subir la hausse significative des prix des matières premières, nos clients quant à eux disposent encore de marges de manœuvre suite à la mise en place de nos solutions.

Gérald Le Teurs – Directeur Associé COSMA Experts
Le contexte actuel inflationniste révèle les limites du modèle de la mondialisation, et nous anticipons des impacts sur d’autres maillons de la chaîne de valeur. Nous appelons cela « l’effet cliquet », chaque perturbation va engendrer un « serrage » en réaction, comme actuellement sur le prix des matières premières.
Chez COSMA Experts, une opération d’optimisation vise à améliorer la structure du coût. C’est-à-dire que nous travaillons non seulement sur le prix mais aussi sur ses composantes : organisation, positionnement, processus.
Cette analyse menée sous l’angle de l’optimisation entraîne une économie de vos achats indirects (réduction des surcoûts) et permet également de neutraliser en partie les coûts cachés.
Nos missions en cours révèlent que nos clients, malgré les hausses actuelles, préservent tout ou partie de leur marge sur les catégories de coûts optimisées grâce entre autres à notre régulation tarifaire.
Leurs grilles tarifaires restent compétitives face à la concurrence, ce qui se révèle précieux en cette période. Un angle de réflexion intéressant face à ce fameux « effet cliquet ».
Nous répondrons dans un prochain article à la question souvent posée : Pour cette sortie de crise dois-je privilégier une stratégie de réduction ou d’optimisation ?
Nous contacter : www.cosma-experts.fr ou par téléphone : +33 (0)1 85 08 45 80
C’est le cas de Anza, startup ayant développé une solution de production d’énergie sur des sites isolés, venu collecter des informations pour savoir comment exporter sa solution en Afrique. “Je viens de discuter avec des experts de la fiscalité pour savoir comment créer une entité française en Afrique et connaitre les impacts financiers de mon projet. J’ai rencontré aussi BPIFrance sur le volet financement, notamment sur les FASEP et les équipes de la Team France Export pour la recherche d’études de marché sur mon secteur” confie Jean-Claude TUYISHIME, fondateur de Anza. De son côté, Micadan, entreprise familiale de prêt à porter masculin qui ne réalise actuellement que 5% de son chiffre d’affaires à l’export, souhaite booster ses ventes à l’étranger. “Nous souhaitons tout d’abord cibler les marchés européens tels que l’Espagne et la Suisse, et ensuite partir sur des pays comme la Pologne. Je suis venue m’informer sur la manière de déposer un dossier de prospection, découvrir aussi le dispositif VIE.” précise Marie-Odile KEHR, commerciale export de Micadan.
Didier BOULOGNE, Directeur général délégué de Business France explique que la Team France Export propose un maximun de solutions en fonction des problématiques des entreprises et de leurs secteurs. “Nous avons affaire à deux types d’entreprises : Les startups qui savent dès leur genèse qu’elles doivent aller à l’international. Mais il y a aussi les entreprises plus traditionnelles qu’il faut convaincre que l’export est toujours une bonne solution, c’est un moyen de grandir, c’est un pari toujours gagnant !” Alain BENTÉJAC, Président de la Fabrique de l’Exportation déplore que le commerce extérieur ne soit plus vraiment une priorité comme par le passé : “On essaye avec nos partenaires de trouver les moyens pour que la France se projete mieux à l’international. Je pense qu’on a un système plus organisé en France qu’il y a 15 ans pour accompagner à l’export avec la création de la Team France Export. Mais on met beaucoup moins de moyens en France pour accompagner sur les salons internationaux qu’en Italie ou en Espagne.” Géraldine LEMBLÉ, Directrice générale adjointe du MEDEF International insiste sur l’importance du collectif dans l’accompagnement des entreprises à l’export : “Nous organisons 40 missions collectives à l’étranger par an. 95% de nos adhérents sont des PME et ETI. Mais nos membres grands comptes ont aussi besoin du collectif, notamment sur des marchés plus complexes”.
La soirée s’est conclue par un cocktail, l’occasion pour les entreprises participantes de poursuivre les échanges initiés lors des rencontres experts.
Pourtant, quand on sait que 93% des personnes qui se sont engagées sur le sujet souhaitent poursuivre leurs actions car elles donnent du sens à leur travail, cela fait réfléchir (






