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Syndrome de l’expert : Comment l’éviter ?

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mutualisation des ressources : une solution pour les PME face aux défis de la durabilité

C’est quoi au juste ce syndrome ? Le syndrome de l’expert est l’état d’esprit du sachant qui veut tout gérer selon son point de vue au risque de ne jamais atteindre l’objectif collectif souhaité. C’est grave Docteur, comment faire pour y échapper ? Travailler sous forme d’ateliers, co-construire avec plus d’agilité, créer un état d’esprit démultipliant l’intelligence collective et la capacité à passer à l’action ensemble, vous permettra d’éviter ce syndrome. Découvrez dans cet article quelques bonnes pratiques pour réussir un atelier de co-construction.

Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay

Co-construire avec des profils variés : Qui solliciter pour participer à cet atelier ?

Prenons l’exemple d’une équipe recrutement qui voudrait revoir ses pratiques d’acquisition de candidats. Le syndrome de l’expert serait, pour cette équipe, d’essayer de trouver des solutions seule.

Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay

En créant un atelier de co-construction et en y invitant des collaborateurs ayant le même profil que les candidats recherchés ainsi que des membres d’autres équipes comme ceux de la communication, ou de services support, les participants pourront identifier ensemble de nouvelles manières de poser le problème à résoudre et ainsi faire émerger des solutions différentes voire innovantes.

La variété des profils et leur multidisciplinarité permettront l’émulation et l’innovation et seront une richesse pour vous démarquer de la concurrence.

Quel est le temps nécessaire pour mener à bien cet atelier ?

Bien entendu, tout dépend de l’objectif à atteindre. Il peut être nécessaire de scinder l’objectif en plusieurs problématiques, ainsi un atelier d’une journée peut correspondre à 3 ou 4 activités de réflexion ou d’idéation. Il existe de nombreuses techniques favorisant la créativité et l’émergence de solutions inédites. A vous de choisir les plus appropriées en fonction de vos objectifs.

Comment réussir à créer une énergie positive entre participants ?

Pour réussir cette émulation et créer une énergie positive il va falloir « embarquer » tout le monde dès les premières minutes, y compris les plus introvertis. Utiliser un « icebreaker » aura pour effet de mettre en confiance les participants. Au travers de cette activité ludique et assez courte, vous pourrez initier le dialogue entre les participants et les inviter à lâcher prise.

Ce moteur de conversation puissant les conduira à stimuler une nouvelle manière de penser et les amènera à trouver des solutions collectives au problème donné lors de l’atelier qui suivra.

Un atelier d’accord, et concrètement comment le construire ? 

Prenons l’exemple de l’atelier : « Comment faire pour attirer différemment mes candidats ? »

Les objectifs de cet atelier seront de :

  • Définir les persona (mes candidats) et leurs caractéristiques
  • Identifier les leviers les plus efficaces pour les attirer
  • Rendre votre marque employeur plus attractive

Pour être efficace, le passage à l’action doit se trouver au cœur de votre atelier. Prévoyez des activités simples et dynamiques permettant une réflexion autour de ces objectifs. Faites cogiter les participants individuellement, laissez-les poser leurs idées sur papier ou post-it. La seule règle à formuler : oser s’exprimer, démultiplier les idées, ne pas chercher à juger ses idées. Ce moment de divergence doit les amener à une liberté absolue.

Amenez-les ensuite à converger avec le groupe de travail, en se référant aux objectifs de départ, en améliorant les idées trouvées individuellement et en cherchant l’inédit. Cette étape de convergence doit amener le groupe à faire des choix judicieux.

Favorisez l’émergence de visions différentes grâce à la multidisciplinarité des participants car le télescopage des points de vue est propice à la création. Tous les échanges qui auront lieu au sein de votre atelier seront donc générateur de nouvelles approches.

Soyez un facilitateur et ne vous positionnez pas en expert qui fait les questions et les réponses. Le but de l’atelier est d’arriver à un résultat différent de vos pratiques habituelles grâce à l’intelligence collective. Soyez donc capable de fédérer le groupe de travail et d’accompagner le processus de réflexion sans prendre part aux solutions.

Vous l’aurez compris : Favoriser des moments de divergence et de convergence est générateur d’innovation. A vous de constituer des groupes de travail hétéroclites et des activités incitant les participants à s’exprimer et à partager toutes leurs idées afin de solutionner ce fameux syndrome de l’expert.

📞 Si cet article vous a donné des idées pour animer un atelier de co-construction mais que tout reste encore un peu flou… Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay

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BIG 2025 : Le rendez-vous incontournable des entrepreneurs à l’Accor Arena
Le mardi 23 septembre 2025, l’Accor Arena de Paris accueillera la 11ᵉ édition de Bpifrance Inno Génération (BIG 2025), le plus grand rassemblement business d’Europe. Organisé par Bpifrance, cet événement annuel est devenu un rendez-vous incontournable pour les créateurs, dirigeants de PME et ETI, chercheurs, investisseurs et acteurs de l’innovation. Cette édition 2025, placée sous le thème de « la vérité », promet une journée riche en échanges, découvertes et opportunités.

Un programme dense et inspirant

BIG 2025 proposera plus de 400 ateliers, conférences et masterclass couvrant des thématiques variées telles que la création d’entreprise, le développement durable, la transformation digitale, l’intelligence artificielle, la deeptech, l’industrie 4.0, l’internationalisation, le financement de la croissance, la santé et le management. La scène principale, baptisée « BANG », accueillera 70 intervenants de renom tout au long de la journée. Parmi eux :
  • Agnès Buzyn, ancienne ministre des Solidarités et de la Santé et présidente du think tank Evidences.
  • Isabelle Ryl, vice-présidente IA de l’Université PSL et directrice du cluster IA PR[AI]RIE-PSAI.
  • Hubert Védrine, ancien ministre.
  • Alexia Laroche-Joubert, CEO de Banijay France
D’autres personnalités issues de divers horizons partageront également leurs expériences et visions, offrant ainsi une diversité de perspectives aux participants.

Des espaces dédiés pour tous les profils

BIG 2025 mettra en place plusieurs espaces thématiques pour répondre aux besoins spécifiques des participants : – Cap Créa : Un espace dédié aux créateurs et repreneurs d’entreprise, où ils pourront rencontrer les experts de Bpifrance Création et les 26 réseaux d’accompagnement partenaires pour tester, héberger, développer et financer leurs projets. – La Bulle Coq Créa : Un lieu d’échanges stimulants entre créateurs et partenaires de l’accompagnement, favorisant le partage d’expériences et de conseils pratiques. – La Bulle French Fab : Un espace entièrement dédié à l’industrie, avec des conférences et tables rondes animées autour de sujets clés tels que la résilience industrielle, les bonnes pratiques pour réussir un projet de startup industrielle, la reprise d’entreprise industrielle et la transition vers une économie circulaire.

Une journée pour réseauter et s’inspirer

Au-delà des conférences et ateliers, BIG 2025 offrira un vaste espace de networking, permettant aux participants de développer leur réseau, d’échanger avec des experts et de découvrir de nouvelles opportunités d’affaires. Des sessions de pitch, des démonstrations de solutions innovantes et des rencontres avec des investisseurs seront également au programme. Informations pratiques – Date : Mardi 23 septembre 2025 – Lieu : Accor Arena, 8 boulevard de Bercy, 75012 Paris

INSCRIVEZ-VOUS !

BIG 2025 s’annonce comme une journée exceptionnelle pour tous les acteurs de l’innovation et de l’entrepreneuriat. Que vous soyez créateur, dirigeant, investisseur ou simplement curieux des tendances économiques et technologiques, cet événement est une occasion unique de s’informer, de s’inspirer et de se connecter avec l’écosystème entrepreneurial français et européen. Ne manquez pas cette opportunité de participer au plus grand rassemblement business d’Europe. Inscrivez-vous dès maintenant et préparez-vous à vivre une journée riche en découvertes et en rencontres.
Directive européenne sur la transparence des rémunérations : un bouleversement à venir pour les PME et ETI françaises
Le 7 juin 2026, une nouvelle ère s’ouvrira pour les entreprises européennes. C’est à cette date qu’entrera en vigueur la directive européenne sur la transparence des rémunérations, un texte adopté par le Parlement européen en 2023, avec pour ambition de lutter contre les inégalités salariales entre les femmes et les hommes. Si l’objectif est clair et légitime, cette directive soulève de nombreuses interrogations, en particulier pour les PME et ETI françaises, qui devront s’adapter à des obligations inédites en matière de communication interne et externe. Bien plus qu’un simple ajustement réglementaire, il s’agit d’un potentiel tournant culturel, organisationnel et stratégique. Par Franck Boccara

Transparence salariale : vers la fin d’un tabou ?

La directive européenne sur la transparence des rémunérations impose aux entreprises de plus de 100 salariés — puis à celles de plus de 50 à moyen terme — de publier des informations détaillées sur les niveaux de rémunération par genre. Elle introduit également le droit pour chaque salarié de demander à connaître la rémunération moyenne, par sexe, pour les postes équivalents. Autrement dit, les entreprises ne pourront plus garder secrètes les différences de salaires, même si elles résultent d’éléments structurels ou historiques. Dans la culture managériale française, cette transparence reste jusqu’à présent largement taboue. Beaucoup de dirigeants, en particulier dans les PME et ETI, ont fondé leur politique salariale sur la flexibilité et la confiance, avec des marges d’ajustement laissées à l’appréciation du dirigeant. Le passage à une logique de transparence généralisée remet en question cette approche intuitive, au profit d’une gestion plus normée, plus formalisée, et potentiellement perçue comme plus rigide.

Risques de tensions internes et de démotivation

Le premier impact direct, et peut-être le plus délicat à gérer, sera humain. Rendre visible ce qui, jusqu’ici, ne l’était pas, risque de faire émerger des tensions au sein des équipes. Même si des écarts de salaires sont parfois justifiés par des différences de parcours, de responsabilités ou d’ancienneté, leur mise en lumière brutale pourrait générer incompréhensions, frustrations et remise en question du management. Pour les PME et ETI, où les équipes sont souvent réduites et les rapports humains plus directs, ces tensions peuvent avoir un effet disproportionné. Une perte de motivation, voire un départ de collaborateurs clés, peut très vite déséquilibrer une organisation à taille humaine. À cela s’ajoute la difficulté, pour les dirigeants, d’anticiper les réactions et de se préparer à justifier des situations qu’ils n’ont parfois jamais formalisées noir sur blanc.

Un facteur aggravant pour la concurrence entre entreprises

Autre enjeu de taille : la compétitivité. En imposant une transparence accrue, la directive européenne sur la transparence des rémunérations pourrait accentuer la concurrence salariale, tant au niveau national qu’international. Aujourd’hui, un dirigeant de PME peut composer avec son marché local, ses contraintes budgétaires et ses priorités internes. Demain, les niveaux de rémunération deviendront comparables, lisibles et donc comparés – par les salariés eux-mêmes, mais aussi par les recruteurs de grandes entreprises. Les PME et ETI, dont les marges de manœuvre financières sont souvent plus réduites, pourraient se retrouver sous pression pour aligner leurs grilles salariales sur celles de groupes plus puissants. Cela pourrait notamment nuire à leur attractivité sur certains profils techniques ou pénuriques, qui privilégieront les structures capables d’afficher des rémunérations plus généreuses, et désormais visibles.

Des réorganisations RH à anticiper

L’application de cette directive implique aussi un véritable chantier administratif et stratégique. Pour nombre de PME et ETI, cela signifiera d’abord se doter d’outils de pilotage et de reporting RH plus complets, voire de recruter des compétences spécifiques en la matière. Il faudra classer, comparer, expliquer, documenter… et surtout justifier. Les systèmes de classification des postes, rarement formalisés dans les structures de taille intermédiaire, deviendront une nécessité pour pouvoir répondre aux exigences légales et dialoguer avec les représentants du personnel. Il s’agira aussi de construire un discours cohérent et rassurant, à destination des salariés comme des partenaires sociaux. La pédagogie deviendra un outil managérial à part entière : expliquer les critères d’évolution, les logiques d’augmentation, les systèmes de bonus… autant d’éléments qui devront être structurés pour être compris et acceptés.

Une opportunité… à condition d’être bien préparé

Malgré les craintes légitimes, cette directive peut aussi être perçue comme une chance pour les PME et ETI qui sauront s’y adapter de manière proactive. Elle offre l’opportunité de moderniser les pratiques RH, de professionnaliser les outils de gestion des compétences, de renforcer la confiance interne par la clarté des règles du jeu. Elle permet aussi de se positionner comme un employeur engagé sur les sujets d’égalité professionnelle, ce qui peut devenir un levier d’attractivité pour les nouvelles générations, plus sensibles à la transparence et à l’équité. Mais pour transformer cette contrainte en levier, il faudra anticiper. Attendre la dernière minute reviendrait à subir l’obligation sans pouvoir la maîtriser. Il s’agit dès à présent de faire un état des lieux, de se former, de consulter ses instances, de communiquer progressivement pour habituer les équipes à cette évolution. Et surtout, d’ajuster les pratiques existantes avant que la transparence ne les mette crûment en lumière.

Une directive à ne pas sous-estimer

En apparence technique, cette directive européenne sur la transparence salariale porte en réalité une transformation profonde de la culture managériale en entreprise. Pour les PME et ETI françaises, elle soulève des enjeux sensibles : maintien de la cohésion interne, équilibre économique, attractivité RH, conformité juridique. À l’heure où ces entreprises sont déjà confrontées à des défis multiples – transition écologique, numérisation, inflation des coûts – cette nouvelle exigence pourrait apparaître comme une charge de plus. Mais elle peut aussi devenir un révélateur de maturité organisationnelle. Les dirigeants qui choisiront de s’en emparer dès maintenant pourront non seulement éviter les risques, mais surtout renforcer leur légitimité, leur image et leur performance sociale. À condition, bien sûr, de ne pas attendre 2026 pour agir.
Aides et subventions en France
En France, les aides et subventions sont des leviers importants pour le financement de projets dans divers domaines tels que l’innovation, l’environnement ou le développement économique. Une subvention est une aide financière, directe ou indirecte, accordée par un organisme public (État, collectivités locales, Union Européenne) pour soutenir un projet spécifique. Voici dans cet article un tour d’horizon précis des différents dispositifs et de leurs sources. Par Pierre-Thomas Liger-Belair – Co-fondateur – expert en recherche et obtention de subventions chez ERiiC Ces aides répondent à des objectifs d’intérêt général et peuvent prendre plusieurs formes
  • Subventions directes : Apport financier sans contrepartie.
  • Subventions indirectes : Allégements fiscaux, exonérations de charges sociales.
  • Prêts à taux réduit ou garanties de prêts.
Les subventions publiques jouent un rôle central pour stimuler l’innovation, favoriser la transition écologique et soutenir les entreprises, surtout les PME. Cet article explore les principaux acteurs des subventions en France ainsi que les mécanismes d’attribution.

Les principaux acteurs des subventions en France

Les aides et subventions en France sont distribuées par divers acteurs, chacun ayant ses propres critères et objectifs. Voici les principaux intervenants dans ce domaine. 1 . L’État : L’État est un acteur clé des subventions en France. Plusieurs ministères offrent des programmes de financement, avec des agences telles que Bpifrance qui soutient l’innovation et la compétitivité des PME. Le ministère de la Transition écologique, par l’intermédiaire de l’ADEME (Agence de la transition écologique), octroie des aides aux entreprises et collectivités engagées dans des projets de réduction des émissions de CO2 ou d’efficacité énergétique. Ces aides visent à répondre aux défis économiques, environnementaux et sociaux. Les subventions étatiques sont souvent accessibles via des appels à projets nationaux ou régionaux. 2 . Les collectivités locales : Les régions, départements et communes proposent aussi des subventions pour soutenir le développement économique local. Les Conseils régionaux offrent des subventions pour encourager l’innovation, la transition énergétique et le développement durable des entreprises locales. Par exemple, la région Île-de-France propose des aides spécifiques pour les entreprises qui adoptent des pratiques éco-responsables. Ces subventions régionales sont souvent associées à des fonds européens. 3 . L’Union Européenne : L’Union Européenne joue un rôle prépondérant dans le financement des projets à grande échelle à travers des programmes comme Horizon Europe ou le Fonds Européen de Développement Régional (FEDER). Ces programmes ciblent principalement l’innovation, la recherche scientifique, et les infrastructures. Les subventions européennes sont souvent octroyées sur la base de projets transnationaux impliquant plusieurs partenaires issus de différents pays membres de l’UE. 4 . Autres acteurs : Les fondations privées ou associations apportent aussi des subventions pour des projets spécifiques, notamment dans les domaines culturel, social, ou écologique. Bien que moins fréquentes que les subventions publiques, elles peuvent être une source de financement complémentaire pour certains projets à impact local ou communautaire.

Les mécanismes d’attribution des subventions

Le processus d’attribution des subventions en France est bien structuré et repose sur plusieurs mécanismes qui visent à garantir une distribution équitable et efficace des fonds. 1 . Critères d’éligibilité : Les subventions publiques en France sont soumises à des critères d’éligibilité précis. Ces critères incluent généralement :
  • Le type de bénéficiaire : entreprises, associations, collectivités.
  • Le secteur d’activité : innovation, agriculture, transition écologique.
  • La localisation géographique : certaines subventions sont destinées à des régions en reconversion économique ou à des territoires spécifiques comme les zones rurales.
  • La taille de l’entreprise : Les PME, par exemple, sont souvent ciblées par les aides de l’État et de l’UE.
2 . Appels à projets : Les appels à projets (AAP) sont un moyen fréquent d’attribuer des subventions. Ils permettent aux candidats de soumettre des propositions détaillées en réponse à des objectifs précis. Par exemple, les AAP de l’ADEME concernent souvent des projets de réduction des émissions de gaz à effet de serre ou d’amélioration de l’efficacité énergétique. 3 . Processus d’évaluation : Les projets soumis dans le cadre des appels à projets sont évalués par des comités d’experts qui analysent leur faisabilité, leur impact potentiel, et leur adéquation aux objectifs des subventions. Les critères d’évaluation incluent la qualité du projet, la solidité financière, et la capacité du porteur de projet à le mener à bien. 4 . Subventions remboursables et non remboursables : Les subventions peuvent être non remboursables (lorsqu’elles ne nécessitent aucun remboursement) ou remboursables (souvent sous forme de prêts à taux avantageux). Les subventions remboursables sont plus fréquentes pour les projets à fort potentiel économique, comme les startups technologiques.

Exemples concrets de subventions et aides en France

  • Bpifrance :
Bpifrance est l’un des principaux acteurs des aides publiques en France pour les entreprises. Elle propose des subventions pour l’innovation, des prêts à taux zéro, et des garanties bancaires pour faciliter l’accès au financement. Par exemple, le dispositif « Innovation et développement » offre un soutien financier aux entreprises innovantes.
  • ADEME :
L’ADEME octroie des subventions pour les projets de transition énergétique et écologique. Ces subventions s’adressent aux entreprises, collectivités, et associations qui œuvrent à la réduction des émissions de CO2 ou à l’amélioration de l’efficacité énergétique.
  • Politique Agricole Commune (PAC) :
La PAC, via des subventions européennes, soutient les agriculteurs français en leur offrant des aides directes pour développer des pratiques plus durables et moderniser leurs exploitations. Conclusion Les aides et subventions en France sont des instruments essentiels pour stimuler l’innovation, la transition écologique, et le développement économique. Chaque acteur, qu’il s’agisse de l’État, des collectivités locales ou de l’Union Européenne, joue un rôle spécifique dans l’attribution de ces fonds. Pour maximiser les chances d’obtenir une aide, il est crucial de bien comprendre les critères d’éligibilité et de suivre les procédures d’appels à projets avec rigueur.
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