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AIDA : Une méthode à connaitre si vos offres d’emploi n’attirent pas les bons candidats

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Vous connaissez AIDA ? Non pas ce fameux opéra de Verdi, ni cette voisine du 3ème. AIDA, la méthode marketing pour rédiger des mails de prospection efficaces. Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ?

Par Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay

Avant de vous lancer dans la rédaction d’une offre d’emploi, assurez-vous de savoir qui vous cherchez vraiment et pour quoi faire.

Vous pouvez aussi échanger avec vos collaborateurs ayant le même profil, pour être certains d’avoir un maximum d’informations et de mots clés pertinents, d’avoir le bon vocabulaire et d’utiliser le ton adapté.

Une fois que vous avez votre persona, le portrait-robot du candidat que vous cherchez et une fiche de poste détaillée, il est temps de passer à l’écriture proprement dite de votre offre d’emploi.

Céline Cherqui – Fondatrice de OneWay

C’est à ce moment précis qu’intervient AIDA.

Petit rappel de cette méthode issue du marketing :

Son acronyme AIDA signifie Attention, Intérêt, Désir et Action.

Son but, retracer le chemin psychologique d’un prospect pour le convertir en client. Initialement utilisée dans la publicité, elle est l’une des plus anciennes méthodes de marketing. Il s’agit d’un modèle qui permet d’organiser la rédaction d’un contenu de manière à capter l’attention d’une cible pour la mener à un objectif précis. Cette méthode est aujourd’hui largement reconnue pour son utilité dans toute démarche de vente ou de communication.

Et si vous vous en serviez pour rédiger des offres d’emploi attractives ?

Quelques astuces pour :

  • – Capter l’attention des candidats
  • – Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs
  • – Attiser le désir de votre cible
  • – Inciter votre candidat à passer à l’action
  1. Capter l’attention des candidats

Vous n’avez que quelques secondes pour attirer l’attention de votre candidat. Vous devez donc vous démarquer nettement. Pour cela, votre première attention doit se porter sur le titre de votre offre d’emploi.

Choisissiez-le accrocheur, car c’est lui qui vous permettra de sortir du lot de la longue liste des offres en ligne.  Optez pour les bons mots clés, car ce sont eux qui vous rendront visibles. Mettez-vous dans la peau de votre candidat et demandez-vous ce qui ferait la différence et ce qu’il serait susceptible de chercher.

Attention à ne pas vous enfermer dans une nomenclature interne.

  1. Susciter l’intérêt de vos futurs collaborateurs

Une fois que votre candidat s’est arrêté sur votre offre d’emploi, il est primordial qu’il s’y attarde. Pour cela, il doit se sentir concerné.

Donnez-lui l’impression que vous vous adressez à lui personnellement en adaptant votre contenu à ses attentes. Il est donc indispensable de bien le connaître, de comprendre ses besoins, ses attentes et ses interrogations. Il faut l’amener à se reconnaître dans le message qui est délivré.

Attention, ce n’est pas encore le moment de vendre votre entreprise.

  1. Attiser le désir de votre cible 

Maintenant que vous avez gagné l’attention et l’intérêt de votre candidat, à vous d’exposer vos meilleurs arguments, susceptibles de provoquer un sentiment de « désir ».

À ce stade, il sait pourquoi il doit continuer à vous écouter, mais il n’a pas encore LA bonne raison d’aller plus loin. C’est donc le moment d’expliquer en quoi votre marque employeur est différente, répond à ses attentes et comment elle peut changer son quotidien. Il faut faire preuve d’empathie pour mettre en avant les bons arguments. Vous pouvez également influencer sa décision en utilisant la « preuve sociale », cette tendance à être guidés par le comportement des autres.

En partageant l’avis de vos collaborateurs qui lui ressemblent, vous insufflerez en lui une perception positive vis-à-vis de votre marque employeur. Leurs témoignages, anecdotes ou retours d’expérience prendront donc toute leur importance.

  1. Inciter votre candidat à passer à l’action

Donnez-lui la possibilité d’aller au bout de sa prise de décision, facilement et immédiatement. Persuadez-le qu’il doit passer à l’acte maintenant et postuler à votre offre d’emploi.

Grâce à cette méthode et une excellente connaissance de ce qui intéresse votre candidat idéal, vous serez en mesure d’écrire une offre d’emploi efficace, qui l’attire et qui résonne véritablement chez lui.

📞  Si cet article vous a donné des idées pour rédiger une offre d’emploi attractive mais que tout reste encore un peu flou, …

Pas de panique, je vous accompagne pas à pas sur toutes les problématiques recrutement que vous pourrez rencontrer. Céline Cherqui – Directrice Recrutement – OneWay

 

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Israël-Iran : quelles conséquences pour les échanges internationaux et les PME-ETI françaises ?
Le conflit Israël-Iran, longtemps cantonné à une guerre de l’ombre par proxis interposés, a franchi un seuil critique ces derniers jours. Cette escalade militaire ouverte, suscite de profondes inquiétudes à l’échelle mondiale, notamment en ce qui concerne la stabilité des flux commerciaux et énergétiques. Si les grandes puissances surveillent de près les implications géopolitiques globales, les PME et ETI françaises, elles, devront également composer avec un environnement international plus incertain. Par Serge de Cluny

Une région stratégique pour les échanges mondiaux

Le Moyen-Orient, et en particulier la zone autour du détroit d’Ormuz et de la Méditerranée orientale, demeure un carrefour stratégique pour le commerce mondial. Une détérioration durable du contexte sécuritaire entre Israël et l’Iran pourrait provoquer des perturbations sur plusieurs axes clés : les transports maritimes, les chaînes d’approvisionnement énergétique, et les routes commerciales vers l’Asie. Israël, acteur économique majeur dans le secteur des technologies, de la cybersécurité, de la santé ou encore des énergies renouvelables, entretient des liens solides avec l’Europe. L’Iran, de son côté, bien que sous sanctions, reste un pays à fort potentiel, notamment pour ses ressources énergétiques et son positionnement géographique entre l’Occident et l’Asie. Toute tension entre ces deux puissances provoque des effets de ricochet bien au-delà de leurs frontières.

Les marchés de l’énergie en première ligne

Les premières répercussions tangibles pour les entreprises françaises concernent l’énergie. Une flambée des prix du pétrole et du gaz pourrait résulter de nouvelles tensions, notamment si les installations pétrolières dans le Golfe ou les routes de transport étaient touchées. Pour les PME et ETI déjà sous pression énergétique, une augmentation durable des coûts de production serait un coup dur, notamment dans les secteurs industriels, de la logistique ou encore de l’agroalimentaire. Même si la France a diversifié ses sources d’approvisionnement depuis la guerre en Ukraine, une perturbation d’ampleur au Moyen-Orient aurait un effet domino sur les marchés, et donc sur la compétitivité de nombreuses entreprises. Ces dernières, souvent moins armées que les grands groupes pour absorber les hausses de coûts ou renégocier leurs contrats, pourraient voir leurs marges sérieusement érodées. Guerre Israël-Iran: les capacités du Mossad à mener des actions à grande échelle

La logistique et les chaînes d’approvisionnement sous pression

Un autre enjeu critique concerne la logistique. Si le conflit venait à affecter les grandes voies maritimes, telles que le canal de Suez ou les routes maritimes de la mer Rouge, les délais de livraison s’allongeraient, les coûts augmenteraient, et la fiabilité des approvisionnements en serait affectée. Pour les PME-ETI qui travaillent en flux tendus ou qui dépendent de composants ou de matières premières importés, cette instabilité logistique représente une menace réelle. Certaines entreprises, notamment dans l’électronique ou les biens de consommation, pourraient être contraintes de revoir leur sourcing ou de constituer des stocks de sécurité, avec toutes les implications financières que cela suppose.

Un impact sur les marchés d’exportation et les opportunités internationales

Les tensions Israël-Iran ont également des conséquences plus subtiles, mais tout aussi importantes, sur les relations commerciales. Si l’Europe, dont la France, entretient des liens économiques solides avec Israël, l’évolution du conflit Israël-Iran pourrait fragiliser certains accords commerciaux ou en retarder d’autres. Israël, reconnu pour son dynamisme technologique, reste un partenaire stratégique pour de nombreuses entreprises françaises à la recherche d’innovation, de transfert de savoir-faire ou de collaboration dans les secteurs high-tech et biotech. Une dégradation prolongée du contexte sécuritaire pourrait freiner ces partenariats, même si l’écosystème israélien, résilient par nature, a prouvé par le passé sa capacité à maintenir son attractivité en période de crise. À l’inverse, toute tentative de normalisation régionale (incluant certains pays arabes, comme on l’a vu avec les Accords d’Abraham) pourrait renforcer la place d’Israël comme hub économique et technologique régional, avec des retombées positives pour les entreprises françaises désireuses de s’implanter dans cette zone.

Une gestion du risque géopolitique de plus en plus essentielle

Pour les PME et ETI françaises, ces évolutions géopolitiques sont souvent perçues comme lointaines. Pourtant, elles s’imposent de plus en plus comme un paramètre stratégique. Dans un monde interdépendant, les entreprises ne peuvent plus faire abstraction des risques géopolitiques dans leur politique d’exportation, de développement ou de sécurisation de la chaîne de valeur. Le conflit Israël-Iran agit ici comme un révélateur. Il incite à intégrer la gestion du risque international au plus haut niveau : diversification des fournisseurs, contractualisation plus souple, anticipation logistique, veille géopolitique, assurance des opérations à l’international… autant d’outils que les entreprises doivent désormais manier avec agilité.

Un contexte politique européen incertain

Enfin, les conséquences de ce conflit ne se limitent pas aux relations bilatérales. Les positionnements politiques des pays européens, y compris la France, influenceront aussi le contexte économique. Une diplomatie européenne en faveur d’un soutien mesuré à Israël, combinée à une fermeté vis-à-vis de l’Iran, pourrait redessiner certaines alliances et opportunités commerciales. Une préférence légère et historique existe en effet pour Israël, pays démocratique et partenaire de longue date de l’Europe, souvent perçu comme un pôle de stabilité technologique et d’innovation dans une région en tension. Cette préférence, bien qu’implicite, pourrait se traduire par un soutien accru à l’écosystème israélien, y compris via des coopérations économiques renforcées.

Vigilance et agilité pour les PME-ETI françaises

Dans le contexte de cette guerre Israël-Iran, les PME et ETI françaises doivent redoubler de vigilance. L’impact de ce conflit peut sembler indirect mais il est réel : volatilité des prix de l’énergie, perturbation logistique, repositionnement géopolitique et mutation des marchés d’exportation. Pour ces entreprises, la clé réside dans l’agilité : savoir anticiper, ajuster rapidement ses opérations, sécuriser ses approvisionnements, et saisir les opportunités là où elles émergent. Car derrière chaque crise internationale, se cache aussi une redéfinition des équilibres… et donc, des espaces à conquérir pour les plus réactifs.
Copenhague : la ville la plus agréable au monde, nouveau havre des travailleurs nomades
Il suffit d’un pas dans les rues paisibles de Copenhague pour comprendre pourquoi la capitale danoise est régulièrement sacrée ville la plus agréable au monde. Ce n’est pas simplement une affaire d’urbanisme soigné, de pistes cyclables exemplaires ou de cafés où l’on pourrait s’attarder des heures. Copenhague incarne aujourd’hui une certaine vision de l’équilibre, un art de vivre où la qualité prime sur la quantité, où la modernité rime avec conscience, et où le travail s’insère naturellement dans un quotidien épanoui. Un véritable terrain de jeu pour les travailleurs nomades à la recherche d’un mode de vie aligné avec leurs valeurs. Par Laetitia Conti Dans cette ville à taille humaine, tout semble pensé pour faciliter la vie. Les transports sont fluides, les infrastructures impeccables, l’architecture mêle tradition scandinave et audace contemporaine, et les Danois, souvent discrets, affichent une bienveillance apaisante. Mais ce qui fait le charme si particulier de Copenhague, c’est cette atmosphère unique, légère, presque cool, qui flotte dans l’air. Une ambiance qui, sans en avoir l’air, dit tout : ici, on peut ralentir sans renoncer. Travailler sérieusement sans s’oublier. Produire sans s’épuiser. Copenhague n’est pas une ville trépidante au rythme effréné. C’est une ville qui respire. Et c’est précisément ce que recherchent de plus en plus de travailleurs nomades. Dans un monde post-pandémie où les frontières entre vie professionnelle et personnelle se redessinent, la capitale danoise offre un terrain d’expérimentation rare : celui d’un quotidien fluide, serein, presque évident. Les cafés accueillants, souvent dotés de Wi-Fi haut débit, deviennent des lieux de coworking improvisés. Les bibliothèques et espaces publics proposent des environnements propices à la concentration, tandis que les véritables coworkings rivalisent de design et de confort. Copenhague : l'esprit cool Mais au-delà des infrastructures, c’est l’état d’esprit de la ville qui séduit. À Copenhague, le hygge, cet art danois du bien-être, n’est pas un concept marketing, c’est une manière de vivre. On retrouve cette philosophie dans chaque détail : une lumière tamisée en hiver, une pause-café en terrasse aux beaux jours, une balade à vélo au bord de l’eau après une réunion Zoom. Tout invite à une forme de lenteur constructive, à un respect du temps long, à une redéfinition des priorités. Dans ce cadre, travailler prend un autre sens. Moins stressant, plus aligné, souvent plus productif. Pour les travailleurs nomades, souvent en quête de stabilité mobile, Copenhague offre un équilibre rare entre modernité numérique et douceur de vivre. La ville est parfaitement connectée, dispose d’un excellent réseau de transports et d’une sécurité quasi instinctive. On s’y installe facilement, que ce soit pour quelques semaines ou plusieurs mois, et on y trouve rapidement ses repères. Les échanges se font naturellement en anglais, les formalités administratives sont fluides, et l’accueil, bien que discret, reste chaleureux. Copenhague attire aussi par son engagement écologique profond. Ici, plus qu’ailleurs, la transition verte est une réalité tangible. La ville mise sur une neutralité carbone d’ici 2025, un objectif ambitieux porté par une véritable volonté politique et citoyenne. Pour les nomades digitaux soucieux de leur empreinte, s’installer à Copenhague, c’est aussi faire le choix d’un environnement cohérent avec leurs valeurs. Se déplacer à vélo, consommer local, vivre dans un logement économe en énergie : tout cela va de soi. On travaille mieux, aussi, quand on se sent aligné avec ce qui nous entoure.
Centre-ville de Copenhague
Le centre-ville de Copenhague : shopping, dégustation et promenades
Et puis il y a l’inspiration. Copenhague est une ville créative, qui mêle design et durabilité, innovation et tradition. Chaque quartier a son âme, son atmosphère, son rythme. Vesterbro, bohème et vivant ; Nørrebro, multiculturel et dynamique ; Christianshavn, calme et poétique avec ses maisons flottantes. Le tout dans une proximité constante avec la nature. La mer, omniprésente, les espaces verts, les canaux : la ville semble épouser les besoins du corps autant que ceux de l’esprit. En somme, Copenhague n’est pas seulement une ville agréable : c’est un modèle. Celui d’une société où le travail n’est pas une contrainte, mais un élément d’un tout équilibré. Pour les travailleurs nomades, elle offre plus qu’un cadre fonctionnel : elle propose une vision du futur du travail, où l’efficacité se conjugue à l’épanouissement, où la liberté rime avec responsabilité. C’est peut-être cela, au fond, qui fait de Copenhague la ville la plus agréable au monde. Non pas un palmarès figé, mais une invitation : à repenser nos vies, nos rythmes, nos choix. Et à redécouvrir que l’essentiel, parfois, tient dans une tasse de café, un lever de soleil sur les toits rouges, et une réunion bien menée… à vélo.
Les différents types de subventions publiques et leurs bénéficiaires
En France, les subventions publiques sont des outils essentiels pour soutenir les entreprises, notamment les PME et ETI, ainsi que les associations et collectivités. Ces aides financières visent à encourager l’innovation, la transition écologique, et le développement économique. Elles prennent plusieurs formes et ciblent des bénéficiaires variés, allant des entreprises technologiques aux collectivités locales. Par Pierre-Thomas Liger-Belair – Co-fondateur – expert en recherche et obtention de subventions chez ERiiC Les subventions se répartissent en plusieurs catégories, selon les besoins des projets et les secteurs concernés. Cet article explore les principaux types de subventions publiques en France et leurs bénéficiaires, avec des exemples concrets pour PME et ETI.
Les principaux types de subventions publiques en France
Les subventions publiques en France se déclinent en différentes formes, adaptées aux besoins des bénéficiaires, notamment les PME, ETI, et les collectivités locales. Subventions directes Les subventions directes sont des aides financières octroyées sans obligation de remboursement. Elles sont couramment utilisées pour encourager l’innovation, l’emploi, ou l’adoption de pratiques durables.
  • Exemples :
    • Aide à l’innovation : Les startups et PME innovantes peuvent recevoir des subventions directes pour développer de nouvelles technologies ou améliorer des processus. Par exemple, Bpifrance accorde des subventions aux jeunes entreprises technologiques.
    • Aide à la modernisation industrielle (AMI) : Ce programme offre des subventions directes aux PME et ETI pour moderniser leurs équipements et processus de production. Il vise à améliorer la compétitivité industrielle en soutenant l’automatisation, la transition numérique, et la réduction de l’empreinte carbone.
Subventions indirectes Les subventions indirectes se manifestent sous forme d’avantages fiscaux ou d’exonérations, réduisant ainsi la charge financière des bénéficiaires.
  • Exemples :
    • Crédit d’Impôt Recherche (CIR) : Permet aux entreprises de bénéficier d’un crédit d’impôt sur les dépenses liées à la recherche et au développement (R&D).
    • Exonérations de charges sociales : Certaines entreprises situées dans des Zones de Revitalisation Rurale (ZRR) bénéficient d’allègements sur les cotisations sociales pour favoriser l’activité dans ces zones.
Prêts publics et garanties Les prêts publics à taux réduit et les garanties de l’État facilitent l’accès au financement pour les entreprises, en réduisant le risque pour les banques.
  • Exemples :
    • Prêts d’honneur : Offerts à des entrepreneurs, ces prêts à taux zéro facilitent l’accès au financement pour les jeunes entreprises.
    • Garanties Bpifrance : Bpifrance propose des garanties pour réduire les risques liés aux prêts bancaires des PME innovantes ou en développement.
Subventions d’investissement Les subventions d’investissement soutiennent les projets d’infrastructures ou d’équipements, en partie ou en totalité, et sont particulièrement importantes pour les entreprises cherchant à moderniser leurs installations.
  • Exemples :
    • Aides à la rénovation énergétique : Subventions accordées aux entreprises et collectivités pour améliorer l’efficacité énergétique de leurs bâtiments, souvent via des programmes comme ceux de l’ADEME.
Les bénéficiaires des subventions publiques
Entreprises Les entreprises, en particulier les PME et ETI, sont les principales bénéficiaires des subventions publiques en France. Les secteurs privilégiés incluent l’innovation, la transition écologique, et la transformation industrielle.
  • Exemples :
    • PME innovantes : Les subventions de Bpifrance soutiennent les PME qui investissent dans la R&D et les technologies innovantes.
    • Startups technologiques : Les jeunes entreprises bénéficient de subventions pour financer le développement de nouveaux produits ou services.
Associations Les associations jouent un rôle crucial dans le tissu social français et bénéficient de subventions pour soutenir des projets dans des domaines tels que la culture, le sport, l’environnement, ou le social.
  • Exemples :
    • Subventions aux associations caritatives : Aides publiques aux associations œuvrant pour la lutte contre la pauvreté ou l’exclusion sociale.
Collectivités locales Les collectivités locales reçoivent des subventions pour financer des projets d’infrastructure et de services publics, notamment dans les secteurs de l’urbanisme et de la transition énergétique.
  • Exemples :
    • Aides à la transition énergétique : Les collectivités qui modernisent leurs infrastructures pour réduire leur empreinte carbone peuvent recevoir des subventions via des dispositifs régionaux ou nationaux.
Exemples concrets de subventions publiques en France
  • Le Crédit d’Impôt Recherche (CIR) : Ce dispositif fiscal est accessible aux entreprises investissant dans la R&D. Il permet de déduire une partie des dépenses liées à l’innovation, stimulant ainsi la compétitivité des entreprises.
  • Le Fonds pour l’innovation et l’industrie (FII) : Ce fonds soutient le développement technologique des entreprises françaises, en particulier dans les domaines de l’intelligence artificielle, de la robotique, et des technologies propres. Il vise à renforcer la compétitivité des entreprises industrielles.
  • Le Programme d’investissements d’avenir (PIA) : Destiné principalement aux PME et ETI, ce programme finance des projets innovants dans des domaines comme la transition énergétique, la mobilité durable, et l’économie numérique. Il accompagne les entreprises dans le développement des technologies d’avenir.
Maximiser l’accès aux subventions publiques
Pour les entreprises, associations, et collectivités, les subventions publiques en France représentent un levier financier essentiel. Comprendre les différents types de subventions, ainsi que les critères d’éligibilité, permet de maximiser les chances d’accès à ces financements. Qu’elles soient directes, indirectes, ou sous forme de prêts, ces aides permettent de soutenir des projets ayant un impact durable sur l’économie et la société.
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