GNOSIS SANTÉ propose des solutions complètes de check-ups parfaitement adaptées aux dirigeants et cadres grâce à des médecins spécialisés et des équipements ultra-modernes mis à leur disposition. Idéalement situé et dirigé par le Dr Ruth Nevesny, GNOSIS SANTÉ vous prendra en charge dès votre arrivée à Montpellier pour vous permettre de vous consacrer à votre patrimoine le plus précieux…la santé !
L’inactivité physique est l’une des principales causes des maladies chroniques du XXIème siècle. Un fléau qui touche aussi les entreprises et leurs salariés avec des enjeux forts en termes d’absentéisme, de capital santé et de productivité.
Par Samuel Oudin
Et vous, combien de pas avez-vous fait hier ? Quelle est votre dose d’activité physique modérée hebdomadaire ? Etes-vous sédentaire, moyennement actif ou très actif ?
“En dix ans, nous sommes passés de 3h à 5h quotidiennes devant les écrans chez les adultes. Beaucoup de maladies sont des maladies du mode de vie. Les combattre représentent un vrai enjeu de société”, explique Claire Mounier-Vehier, présidente de la FFC (fédération française de cardiologie) et chef du service de médecine vasculaire et hypertension artérielle au CHRU de Lille.
Un nouveau défi pour les dirigeants des entreprises
Face à ce constat, les dirigeants d’entreprise cherchent des solutions pour préserver le capital santé de leurs collaborateurs. D’autant que les enjeux restent forts : 12% de gain de productivité pour le salarié pratiquant au moins 30 minutes d’activité physique par jour par rapport aux collègues sédentaires (étude Santé Canada) et 7 à 9 % d’économies réalisées par l’entreprise sur les frais de santés annuels d’un employé si celui-ci a une activité physique régulière (source : Goodwill).
Certaines organisations tentent alors d’aménager des salles de sport dans leur établissement, de proposer des abonnements à tarifs réduits aux salles de Fitness ou d’organiser des séances avec un coach sportif dans les couloirs ou sur le parking. Mais l’adhésion à ces programmes reste parfois faible au regard des investissements consentis. La grande majorité des salariés ne sont pas marathoniens ni même adeptes de quelque sport que ce soit.
Maximiser l’engagement de tous les collaborateurs
Pour répondre à cette problématique de prévention santé, de nouvelles solutions émergent. Parmi celles-ci, la start-up Kiplin propose une recette simple : inciter les salariés à changer leurs modes de déplacements quotidiens en misant sur le jeu et l’esprit de groupe. Plus de 200 entreprises et 20 000 salariés ont déjà adopté cette solution parmi lesquelles : Caisse d’Epargne, Generali, EDF, Harmonie Mutuelle, Texas Instrument, Dassault System, Total, Orange…
Comment ça marche ? L’entreprise invite ses salariés à télécharger l’application mobile Kiplin (pour compter les pas) et à se mettre en équipe pour vivre une animation connectée sur plusieurs semaines.
De la même manière que PokemonGo a réussi à faire gambader des millions d’adolescents dans les rues et dans les parcs, Kiplin embarque les salariés dans des aventures dont ils sont les héros. Chaque participant cumule des pas lors de ses trajets quotidiens et gagne des points bonus en répondant à des quiz ou des énigmes.
Sans s’en rendre compte, les participants commencent à adopter de nouveaux réflexes dans leur vie de tous les jours : descendre un arrêt de bus plus tôt, monter les escaliers plutôt que d’emprunter l’ascenseur, organiser une réunion sous forme de marche active…
Du jeu et des données pour mesurer l’impact
Vincent Tharreau, fondateur de Kiplin « Le jeu est un puissant levier pour faire changer les habitudes de vie. Nos clients peuvent choisir entre un challenge, une aventure, une enquête ou un jeu de plateau. Des histoires qui se vivent en équipes. Cette notion collective est fondamentale pour faire bouger les lignes. Il y a toujours un participant prêt à motiver ses équipiers. Résultats : 70 % des participants sortent du seul de sédentarité à l’issue d’une animation Kiplin »
Les données – anonymisées et traitées de manière collective – sont corrélées à des indicateurs précis pour mesurer l’impact de la solution au sein de chaque entreprise.
Au-delà des objectifs de prévention du capital santé affichés dès le départ, certaines entreprises en profitent même pour faire marcher leurs équipes à des fins solidaires.
Faire bouger-marcher ses collaborateurs à des fins solidaires
Chaque année, une douzaine d’entreprises regroupant près de 1000 collaborateurs s’engagent ainsi au profit de l’association Apprentis d’Auteuil. Chaque pas se transforme alors en dons au profit des maisons des familles d’Apprentis d’Auteuil. Dans la même logique, plus de 3 600 collaborateurs de la fondation Ramsay Générale de Santé viennent de participer à un challenge au profit du Secours Populaire Français.
A l’aube des Jeux Olympiques de Paris 2024, et depuis l’amendement du sport sur ordonnance, les entreprises françaises accélèrent le mouvement sur le terrain du sport santé
L’Hôpital Américain de Paris permet, grâce à son Check-up Center équipé des moyens techniques les plus performants, d’effectuer des bilans de santé complets. Situé à Neuilly-sur-seine, il offre des solutions parfaitement adaptées aux dirigeants et cadres d’entreprises. Le Dr Michel Janowski nous en fait la présentation.
Les TMS (Troubles Musculo-Squelettiques) représentent le premier facteur de maladie professionnelle et d’arrêt de travail de plus de trois jours en France. Cette pathologie, qui touche les cadres autant que les ouvriers, peut coûter très cher à l’entreprise si elle n’est pas prise en compte comme il se doit. TM INSTITUTE est un organisme de prévention spécialisé qui a crée OSTÉART’PRO, un programme complet de prévention des TMS. Thierry Marc, son fondateur, nous apporte son expertise dans ce domaine.
Comment obtenir une labellisation Medicen Paris Région avec à la clé de 100 000 à 500 000 euros d’aides qui sont destinées au développement d’innovations dans les PME et ETI d’Île-de-France ? L’appel à projets s’adresse en priorité aux PME et ETI qui souhaitent déposer des projets d’innovation en santé et dans le numérique. Voici toutes les conditions pour présenter une demande de labellisation.
Pour profiter de l’accompagnement du pôle, il faudra déposer votre lettre d’intention avant le 21 novembre 2018 à 12h00. Voici les documents nécessaires pour le faire :
Innov’up Leader PIA est un appel à projets lancé par l’État et la Région Île-de-France pour soutenir l’innovation dans 7 filières stratégiques franciliennes. Opéré par Bpifrance, il est ouvert à compter du 20 mars.Les filières éligibles
L’appel à projets s’adresse prioritairement aux PME dont les projets d’innovation contribuent au développement des filières stratégiques de la Région Île-de-France :
Le Lab Santé Île-de-France organisera son grand événement annuel le 7 décembre 2018 de 8h30 à 12h30 à la CCI Paris Île-de-France. Ce grand rendez-vous aura pour fonction de faire le point sur les dernières avancées en matière d’innovation dans tous les secteurs de la santé. L’événement, qui est organisé en partenariat avec l’ARS Île-de-France, la CCI Paris Île-de-France et Medicen Paris Région, s’adresse aux établissements de Santé, aux opérateurs médico-sociaux, aux professionnels de Santé, aux entrepreneurs et aux investisseurs.
Au Programme
Le programme de cette matinée exceptionnelle, prévue de 9h00 à 12h30, s’articulera autour de plusieurs thèmes
Animatrice : Linda Labidi, Journaliste économique, Forbes
8h30 Accueil café
9h00 Ouverture
Didier Kling, Président de la CCI Paris Île-de-France
Aurélien Rousseau, Directeur général de l’ARS Île-de-France
Pitchs
Pr Ronan Roussel, Chef de service de diabétologie-endocrinologie et nutrition de l’hôpital Bichat
Serge Picaud, Directeur de recherche à l’Inserm, Hôpital Saint-Antoine
Jacques Léglise, Directeur général de l’hôpital Foch
Samir Medjebar, Directeur du développement de Bioserenity
Pierre Lebon, Directeur du centre de ressources et d’expertise du RESAH
Marylène Vicari, Co-fondatrice du Liberté Living Lab
Guillaume Wasmer, Directeur du Groupe hospitalier Nord Essonnes
Échanges avec la salle
Table ronde : Article 51, vers des expérimentations innovantes en santé
Natacha Lemaire, Rapporteure générale du comité technique et du conseil stratégique de l’innovation en santé
Yannick Le Guen, Directeur de la stratégie, ARS Île-de-France
Daniel Szeftel, Co-fondateur de SEMEIA
Jean Bourhis, Directeur des opérations institutionnelles et économiques, Novartis
Porteur du Projet Epidaure-CDS
12h15 Clôture – Trois questions à…
Pr Jean-François Dhainaut, Directeur du Lab Santé Île-de-France
Christian Lajoux, Président de Medicen Paris Region
Pour toutes les PME et ETI dant l’activité fait partie de ce secteur ou qui sont intéressées par ces marchés et qui souhaitent assister au plus grand événement sur l’innovation en Santé de cette fin d’année ?Inscrivez-vous vite !
La bonne santé des dirigeants et cadres de PME et ETI est indéniablement fonction de certaines caractéristiques inhérentes à leur statut et à leur personnalité comme l’optimisme, la passion, l’endurance, la sensation de maîtriser son destin ou celle de l’auto-efficacité. Ces éléments dits « salutogènes » sont forcéments accompagnés de faces et de phases plus délicates qui impactent la santé physique et mentales de nos chefs d’entreprises et cadres. Ces pathologies sont-elles différentes de celles du reste de la population ? Voyons cela de plus près.
Par Franck Boccara
Tout d’abord, le premier constat concerne la santé mentale. Il désigne, sans surprise, le stress en tête des maux qui touchent les dirigeants. En effet, selon une étude publiée en avril par MMA fondation entrepreneurs et OpinionWay réalisée sur sur 1504 chefs d’entreprises, 58% d’entre eux estiment que le stress est responsable de la détérioration de leur état de santé. Pour ce qui est des raisons de ce stress, ceux-ci désignent le manque de trésorerie (59%), devant les incertitudes sur l’avenir (55%) et la surcharge de travail (56%).
Même si la fréquence de ces maux est en baisse par rapport à l’année 2016, de nombreux chefs d’entreprises se plaignent notamment de sautes d’humeur (45%), de troubles du sommeil (44%) ou encore de fatigues inhabituelles (40%).
En ce qui concerne la santé physique, les douleurs les plus fréquentes chez les dirigeants et cadres d’entreprises sont le mal de dos (57%) et les douleurs articulaires (48%), 27% se plaignent de migraines et 22% de troubles oculaires. Pour tempérer ces chiffres, il faut préciser que les deux derniers symptomes peuvent provenir du temps passé devant des écrans et que, surtout, 25% des dirigeants déclarent ne souffrir d’aucun de ces maux.
En revanche, le sentiment de solitude allié à la fatigue constituent les principaux facteurs de risque pour la santé des entrepreneurs. Un chef d’entreprise dort en moyenne 6 h 30 par nuit (contre 7 h pour les salariés) et ne prend que 3 à 3,5 semaines de vacances par an. Il est clairement prouvé qu’un sommeil de mauvaise qualité impacte directement les performances des PME et ETI puisqu’il diminue les aptitudes entrepreneuriales des dirigeants et cadres telles que leur créativité ou leur capacité à saisir des opportunités. À trop se démener, sans compter les heures, ils vont négliger leur santé, voire se mettre en danger.
Pour conclure sur une note optimiste, force est de constater que les problèmes de santé des dirigeants et cadres d’entreprises ne diffèrent pas de manière significative du reste de leurs concitoyens, notamment par rapport à leur gravité. Si il fallait résumer la situation, on pourrait aisément arriver à la conclusion que ceux-ci font partie des personnes dont la santé est bonne. Cependant, les dirigeants exercent des activités dont le propre est de relever des défis et d’affronter des moments souvent anxiogènes, il est donc souhaitable d’effectuer régulièrement des check-ups pour prévenir et cerner les risques et pouvoir ainsi se consacrer sainement aux affaires.
Le bien-être au travail est devenu une notion fondamentale dans le monde des ressources humaines… et pour cause, nous passons en moyenne 39 heures chaque semaine dans nos bureaux ou usines, c’est à dire environ 12% de notre vie. Il devient évident de tout faire pour rendre ce quotidien agréable et supportable. Alors que le phénomène de « burn out » est de plus en plus fréquent, voyons comment l’éviter en conjugant bonheur et emploi dans nos PME et ETI.
Selon une étude récente réalisée par RegionsJob, 3 Français sur 4 seraient disposés à accepter un emploi près de chez eux, même si cela entrainait une baisse de revenu. Pourquoi ? Tout simplement pour trouver un équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle afin de mieux s’épanouir au quotidien.
Concernant le temps de transport entre le lieu d’habitation et le travail, les salariés français sont prêts à faire entre 15 et 45 minutes de route si le poste répond à leurs attentes. Selon eux, ce trajet permet de relâcher la pression avant d’arriver chez soi et c’est l’occasion d’écouter la radio ou la musique, d’ouvrir un livre ou un journal pour se changer les idées. Finalement, le bien-être au travail influence nos journées même après avoir débauché !
La sieste sur le lieu de travail pour plus d’efficacité
Contrairement à ce qu’on pourrait croire , la sieste n’est pas seulement réservée aux enfants en bas âge, aux vacanciers ou aux personnes âgées. Plusieurs études ont prouvé qu’une sieste de 15 à 20 minutes à la pause du midi aurait des effets bénéfique pour les salariés et leur corps.
Au niveau planétaire, un quart des habitants fait la sieste sur son lieu de travail. Qu’attend la France pour se reposer ? Et si nous instaurions la sieste collective comme à l’école maternelle ? Inutile de trouver l’excuse du lit et de la couette, il suffit d’un coin de table et d’une chaise confortable pour se laisser aller quelques instants. Que vous soyez peintre, soudeur, comptable ou conducteur de travaux, rien ne vous empêche de vous arrêter quelques instants, il suffit de vous organiser ! N’oubliez pas que le bien-être au travail n’est atteignable que si vous êtes en pleine forme. A tout âge, la sieste a des effets très positifs sur le corps et l’esprit ; clairvoyance, perspicacité, bonne humeur, calme, curiosité, concentration et facilité d’apprentisseage sont autant de bénéfices générés par quelques minutes de repos.
Le stress au travail, un défi de taille pour les dirigeants
D’après une récente étude réalisée par l’ADP, 20% des salariés français souffrent de stress lié à leur emploi et un tiers d’entre eux se questionnent sur un potentiel changement de société pour pallier ce mal-être. Plus inquiétant encore, 34% des personnes interrogées estiment que leurs employeurs ne portent pas assez d’intérêt à leur bien-être au travail.
Si les angoisses professionnelles ne sont pas une maladie et permettent parfois de faire de grandes choses, il ne faut pas qu’elles deviennent incontrôlables, précise le président de l’ADP. De nombreux métiers à responsabilités ou à risques sont source d’angoisses, de frustration, d’un manque de concentration et de motivation. Par conséquent, on observe rapidement une baisse de productivité et une hausse de l’absentéisme qui impactent les performances d’une entreprise.
Le mot « burn out » est au cœur de nombreux débats : s’agit-il oui ou non d’une maladie professionnelle ? A ce jour, les projets de loi allant dans ce sens ont été refusés mais cela ne veut pas dire qu’il n’existe aucune solution pour ressentir du bien-être au travail. C’est aux entreprises de mettre en place des mesures concrètes de bien-être au travail. Formations, moments d’échanges, ateliers de détente sont autant de réponses faciles et peu coûteuses à instaurer.
Etre heureux au travail grâce à un management efficace et dynamique
Les salariés ont de plus en plus besoin de se sentir utiles dans ce qu’ils font au quotidien. Un bon manager doit alors être reconnaissant auprès de ses équipes, parce qu’elles sont avant tout constituées d’êtres humains qui ont un cœur, une estime de soi et s’investissent dans des projets communs. D’ailleurs, féliciter un salarié n’a jamais fait de mal, bien au contraire. Alors, chers managers, pensez à remercier vos collègues pour leur engagement !
Sachez qu’un mauvais management impacte considérablement la productivité et la motivation des employés. Et si, finalement, il suffisait de se dire les choses pour trouver des solutions pérennes ? En France, la hiérarchie est encore un frein aux échanges, même si les choses commencent à changer petit à petit avec l’apparition des start up par exemple. Que vous soyez responsable d’équipe, chef de chantier ou encore ingénieur informatique, vous managez des équipes et devez prêter attention à leur bien-être au travail.
Il est parfois difficile pour certains salariés de parler à son manager des difficultés rencontrées, notamment parce que cela peut être perçu comme un aveu de faiblesse. Prenez le temps de formuler vos besoins et vos préoccupations pour que votre manager vous aide à trouver des solutions.
Régler le problème des inégalités salariales entre hommes et femmes
Le Gouvernement d’Emmanuel Macron s’intéresse de près à l’égalité des salaires entre les femmes et les hommes. Si ce constat est loin d’être nouveau, il est certain que notre société a encore de gros efforts à fournir ! En moyenne, les travailleurs masculins touchent 9% de plus que leurs collègues féminines. L’objectif est donc de proposer le même salaire lorsque deux salariés de sexes différents occupent le même poste et ont les mêmes compétences professionnelles. Reste à savoir comment cela sera appliqué aux entreprises de façon à ce qu’elles soient obligées de jouer le jeu de la transparence et de l’égalité.
Proposer des perspectives d’évolution concrètes et atteignables au cours de sa carrière
Dès le plus jeune âge, on ne cesse de nous répéter « tu verras, on se forme tout au long de sa vie ». Oui, si les entreprises proposent des formation prfessionnelles répondant aux besoins de leurs salariés ! Misez sur l’épanouissement des équipes pour s’assurer qu’ils resteront longtemps à leur poste. Il est fréquent que le manque de perspectives d’évolutions internes soit très souvent un élément déclenchant une recherche active d’emploi. Pour éviter cela, les managers et dirigeants d’entreprises doivent ouvrir le dialogue afin d’analyser quelles sont les problématiques et quelles solutions peuvent être trouvées.
Le bien-être au travail réside-t-il dans l’aménagement des horaires ?
La question du bien-être au travail est de plus en plus liée au temps passé en entreprise. Du lundi au vendredi, le week-end voire les jours fériés, difficile de trouver un équilibre en vie professionnelle et vie personnelle. Face à ce constat qui impacte considérablement la motivation et l’investissement des salariés et intérimaires, le télétravail est au cœur des réflexions de nombreuses sociétés en France. Quelles sont ses conséquences sur le développement de l’entreprise ? Qui peut en faire la demande ? Pour faciliter les démarches des salariés, Muriel Pénicaud, ministre du Travail, a créé un « droit au télétravail ». Tous les salariés ont désormais la possibilité de demander à bénéficier de ce dispositif. En cas de refus, l’employeur a l’obligation de justifier son choix auprès du salarié et cette raison doit être suffisamment valable pour être recevable.
Si ce sujet soulève de nombreuses interrogations auprès des dirigeants et managers, notamment au sujet de la protection des données, l’aménagement des horaires peut être une alternative intéressante. Finis les horaires fixes et le pointage, les salariés doivent simplement respecter des heures de présence et s’organisent à leur convenance tout en s’assurant que les missions confiées sont réalisées dans les délais.
Les « responsables du bonheur » sont-ils l’avenir de l’épanouissement au travail ?
Depuis deux ans, on entend parler de « chief happiness officer », de « responsable de l’expérience salarié », ou encore de « feel good managers ». Mais concrètement, en quoi consiste ce nouvel emploi et quelles sont ses missions ? Ces responsables du bonheur en entreprise ne convainquent pas uniquement les start up. Par exemple, le groupe pharmaceutique Boiron est le premier à avoir recruté un collaborateur chargé de s’assurer du bien-être des salariés. Au total, 200 personnes occuperaient officiellement ce poste à plein temps en France et la majorité d’entre elles seraient devenues CHO grâce à une évolution interne, parce qu’elles connaissent parfaitement leur société.
Les missions confiées à ces « feel good managers » varient en fonction des domaines d’activité et des besoins exprimés. Les cours de yoga et de sport, la distribution de fruits, l’ouverture d’une crèche interne ou encore l’organisation de petits déjeuners conviviaux sont autant d’actions mises en place pour améliorer les conditions de travail des employés.
Les CHO jouent également un rôle important dans les décisions prises concernant les espaces de travail, l’organisation de challenges internes et d’ateliers thématiques pour donner la parole aux collaborateurs. Après avoir fait la liste des améliorations possibles, toute la difficulté réside dans l’acceptation des propositions auprès des dirigeants. Montrer l’utilité et les impacts positifs des changements souhaités reste une épreuve pendant laquelle pédagogie et conviction seront essentielles.
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