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MEDEF

Le Medef International vous invite à assister à la prochaine réunion du Conseil d’affaires franco-kazakhstanais (CAFK) organisée en distanciel sous forme de webinaire avec la participation du Vice-maire d’Almaty, Monsieur Maksat KIKIMOV.

Le Kazakhstan est le premier partenaire commercial de la France en Asie centrale et les entreprises françaises y sont le 3ème investisseur étranger, avec 11,14 Mds€ de stock. Une commission mixte encadre les échanges économiques entre la France et le Kazakhstan et le secteur énergétique forme le socle de notre relation économique. Il existe également une coopération substantielle dans le domaine du spatial, au niveau industriel, mais aussi par le passage au Kazakhstan de spationautes française (décollage et atterrissage du Thomas Pesquet depuis la base de Baïkonour, en novembre 2016 et mai 2017).

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Almaty parie sur l’avenir

Avec plus de 2 millions d’habitants, Almaty regroupe environ 11% de la population kazakhstanaise et représente pres de 20% du PIB national. La ville, qui fut la capitale administrative du Kazakhstan jusqu’en 1997, reste encore la capitale économique et culturelle du pays.
M. Bakhytzhan SAGUINTAÏEV, nouvel akim d’Almaty depuis 2019, a inauguré en octobre 2020 la nouvelle stratégie d’aménagement urbain « Almaty 2050 » dont l’objectif est de faire de la ville une métropole de rang mondial et le cœur économique de toute l’Asie centrale.

Ce plan national s’appuit sur deux axes : l’amélioration de l’intégration d’Almaty dans les chaînes de valeurs régionales et le réaménagement de la ville qui connait un fort essor démographique et à de sérieux problèmes écologiques. Alors qu’Almaty se voyait comme une cité-jardin dès la fin des années 1990, elle veut maintenant se progeter comme une « Smart City », pionnière dans les projets de ville intelligente et durable.

Cette session d’échanges directs organisée par le Conseil d’affaires franco-kazakhstanais en présence du vice-maire aura pour objectifs :

  •   de faire un point sur les nouvelles mesures prises par les autorités de la ville d’Almaty pour attirer les investissements étrangers dans les secteurs des services urbains, des énergies et des transports,
  •   de mieux connaître l’impact de la crise sur les grands projets de la ville et sur les priorités des autorités d’Almaty pour l’après-crise,
  •   d’échanger sur les conditions d’exercice dans ce contexte inédit et sur les attentes/questions des entreprises françaises ayant des activités et projets à Almaty.

Questions et messages peuvent être adressés en amont à Bertrand PELTIER, pour structurer au mieux l’ordre du jour.

Ce Webinaire du Conseil d’affaires franco-kazakhstanais est réservé aux membres et abonnés de MEDEF International, et aux membres de l’Adepta. DATE LIMITE D’INSCRIPTION : 23 FÉVRIER 2021.

CONTACTS
Bertrand PELTIER

Chargé de projet Eurasie
+33 1 53 59 16 15
bpeltier@medef.fr

Pauline BONNAT

Chargée événementiel et logistique
+33 1 53 59 16 19
pbonnat@medef.fr

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Cybersécurité et Covid-19 ne font pas forcément bon ménage. En effet, la crise sanitaire que nous vivons a amené les PME et ETI à adopter de nouveaux modèles de travail pour s’adapter aux nouvelles réalités et permettre ainsi la continuité de leur activité. Le recours massif au télétravail, la réduction ou l’absence de compétences en cybersécurité ainsi que la multiplication des consignes à destination des collaborateurs, sont autant de facteurs à risques qui ont augmenté l’exposition des entreprises à ces menaces (usurpation d’identité d’entreprise, attaque  « ransomware » et fraude financière …).

La multiplication de ces attaques oblige les chefs d’entreprise et les collaborateurs à une sensibilisation aux bonnes pratiques et une vigilance accrue. Le Jeudi 15 octobre, de 10h à 11h, venez participer gratuitement au webinar organisé par la CCI Paris Ile-de-France, le Medef et lesdigiteurs et découvrez les conseils d’experts en cybersécurité pour limiter les risques face au Covid-19.

Au programme de ce webinar :

Entreprises et experts témoigneront et apporteront des conseils pour limiter les risques.

  • Aymeric Harmand, Vice-Président, Développement de produits et Innovation, Europe de l’Ouest, Mastercard
  • Pierre-Arnaud Moreau-Portejoie, Chef de projets Etudes, CCI Paris IDF
  • Jimmy Odouha, Chef de produits, Devices et Security services, Orange
  • Gilles Souris, Conseiller numérique, CCI Paris IDF
  • Débat animé par Maxime Garreta, Coordinateur Régional du Numérique, CCI Paris IDF
Intervenants du webinar :
Maxime GARRETA

Maxime GARRETA

Gilles Souris

Gilles Souris

Jimmy Odouha

Jimmy Odouha


Organisé par :

JE M’INSCRIS

Geoffroy Roux de Bézieux, président du Medef, s’est exprimé sur la crise du coronavirus en France et dans le monde le vendredi 6 mars sur BFMTV. «Le message c’est pas de panique» rassure-t-il tout en appelant les dirigeants d’entreprises à «respecter les consignes sanitaires et la santé des employés avant toute choses» et à «s’assurer que les mesures sont prises».

Par la rédaction

Geoffroy Roux de Bézieux a d’abord évoqué les secteurs en difficulté, notamment les autocaristes subissant une perte «plus de 50% du chiffre d’affaires» due aux annulations en chaîne de sorties scolaires et touristiques. Le patron du Medef a réclamé l’intervention de l’Éducation nationale en qualifiant la situation de «cas de force majeure» et en affimant que «Le ministère devrait prendre en charge une partie du manque à gagner».

Le président du Medef est revenu en détail sur les mesures annoncées par gouvernement pour soutenir les PME et ETI subissant les effets de la propagation du coronavirus. «Il faut réagir vite et fort, le gouvernement et la BPI travaillent ensemble à un dispositif afin que la BPI se porte garante des créances des entreprises impactées», explique-t-il «On est mobilisé pour faire remonter l’information». Le chômage partiel a été mis en avant et présenté comme une alternative viable pour les entreprises devant les enjeux salariaux d’une telle situation : «Ce dispositif a bien marché en 2018, il permet de faire cesser l’activité du salarié et que celui-ci soit rémunéré par l’assurance chômage. 400 entreprises ont demandé cette mesure».

Le retour à une souveraineté économique ?

A propos des effets du coronavirus sur l’économie internationale, le président du Medef a refuser de céder au «côté auto-prophétique» en affirmant qu’«Il ne faut pas inquiéter les gens». Concernant les 0,5 point de croissance en moins prédit par l’OCDE, il reste sur la même approche modérée : «Je ne sais pas pas comment l’OCDE calcule ses chiffres, je ne veux pas aller dans ces eaux-là, je pense qu’il est trop tôt pour connaître l’impact précis. Je suis lucide mais je veux pas participer à la propagation de la panique».

Geoffroy Roux de Bézieux a préféré élargir l’angle de vue en évoquant les leçons et les bénéfices que la France peut tirer de cette crise : «La réflexion qu’il faut avoir c’est sur la souveraineté économique et industrielle du pays», déclare-t-il. «Comment fait-on pour déterminer quel secteur on doit garder en ‘made in France’ ?», a-t-il laché en précisant que «nous avons trop mondialisés des filières et nous avons perdu notre savoir-faire».

Le débat sur la réforme des retraites a tout de même été abordé et le patron du Medef a réagi au 49-3 déclenché par l’exécutif pour faire adopter la loi ordinaire en première lecture dans l’hémicycle. «Ce qui me choque surtout, ce sont les deux ans de concertation pour rien. Pendant deux ans on ne nous a rien montré, rien expliqué, et ça c’est Delevoye qui aurait du le faire». «C’est une reforme trop ambitieuse, trop compliqué. Maintenant il faut essayer de la rendre acceptable et tenter de lui donner le moins de défaut possible», défend-il. «Concernant la conférence de financement, on sait tous y compris la CFDT qu’il faut travailler plus longtemps. Elle ne peut pas le nier, c’est la seule solution. La question c’est qui ? Tout le monde n’est pas égal face au travail».


Les vœux Amériques 2020 du MEDEF International vous attendent, comme à chaque début d’année, autour d’un cocktail pour venir échanger et vous informer sur les futurs projets et actions organisés sur le continent américain par le MEDEF International durant l’année 2020. 

Les vœux Amériques 2020 se tiendront en présence des présidents de conseil, des ambassadeurs du continent basés à Paris, des responsables d’administration, partenaires et représentants d’entreprises françaises membres de MEDEF International. L’évènement sera articulé autour d’un cocktail auquel participeront les intervenants suivants :

Philippe DELLEUR, Président du conseil d’entreprises France – Pérou, Senior Vice-Président Affaires Publiques d’Alstom

Alexis DUVAL, Président du conseil d’entreprises France – Brésil, Président du directoire de Tereos

Bruno DU PRADEL,  Directeur Affaires Publiques Internationales de Airbus – Représentant M. Guillaume FAURY, Président du conseil d’entreprises France – Canada, Président du groupe Airbus

Jacques GERAULT, Conseiller institutionnel au sein de CMA CGM – Représentant de M. Rodolphe SAADE, Président du conseil d’entreprises France – Amérique centrale & Caraïbes, Président Directeur général de CMA CGM

Michel KEMPINSKI, Président du conseil d’entreprises France – Chili, Président de Sulo

Guillaume LEROY, Vice-président du conseil d’entreprises France – Argentine, Country Chair France et Président Directeur Général de Sanofi France

Jean-Pierre LOUBINOUX, Président du conseil d’entreprises France – Argentine, Directeur général honoraire de l’Union internationale des chemins de fer

Pascal OLLIVIER, Vice-président du conseil d’entreprises France – Amériques centrale et Caraïbes, Président de Maritime Street

COORDONNÉES

Adresse : MEDEF – 55 Avenue Bosquet – 75007 Paris

Le mardi 21 janvier de 19:00 à 21:00

JE M’INSCRIS

TARIFS

Tarif adhérent
150,00 € HT (180 € TTC)

Tarif non-adhérent
225,00 € HT (270 € TTC)

CONTACTS

Alban GIRARD

Chargé de projet Amériques et Economie maritime
+33 1 53 59 16 10
agirard@medef.fr

Yasmine SAWAN

Chargée de projet junior Amériques
+33 1 53 59 16 35
ysawan@medef.fr

Louise LIMARE

Chargée Événementiel & Logistique
+33 1 53 59 16 23
llimare@medef.fr


La Cybersécurité sera mise à l’honneur par le MEDEF le lundi 14 novembre 2019 à travers une session de décryptage et de partage d’expériences autour de dirigeants et de professionnels reconnus dans ce domaine qui viendront partager leurs expertises. Dirigeants et cadres de PME et ETI, vous êtes conviés à participer à cette rencontre pour savoir comment analyser les risques, quelle stratégie mettre en place pour contrer les cybermenaces qui ont touché 8 entreprises sur 10 l’année dernière et comment réagir lors d’une attaque. Des échanges avec des offreurs de services et de solutions de cybersécurité sont prévus par la suite autour d’un cocktail offert par le partenaire de l’évènement, Syntec numérique.

AU PROGRAMME :

14h30 – Introduction par Guy-Philippe Goldstein, chercheur et consultant sur les questions de cyber-sécurité et cyber-défense

14h45 – La cybersécurité, un enjeu stratégique pour l’entreprise

  • Nicolas Arpagian, VP stratégie et affaires publiques d’Orange Cyberdefense
  • Axel Castadot, chef adjoint de la division connaissance & anticipation de la sous-direction opérations de l’Agence nationale des systèmes de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)
  • Pascal Le Roux, vice-président de CDVI, président du Comité de liaison Sécurité numérique de la FIEEC
  • Christophe Ternat, co-fondateur et CEO de Cyrating

15h30 – Analyse et méthode : comment bien penser sa stratégie cybersécurité ?

  • Fabien Caparros, chef de la division chargé des méthodes de management de la sécurité numérique à l’ANSSI
  • Christophe Foret, co-chair du FAIR Institute Paris et président de C-Risk
  • Nathalie Malicet, vice-présidente de la commission numérique et innovation à la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC)

16h15 – Mettre en place sa stratégie cybersécurité

  • Jean-Philippe Gaulier, Cyberzen
  • Michel Juvin, expert cybersécurité et membre du Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique (CESIN)
  • Tiphaine Leduc, chef de mission Défense et Cybersécurité chez Bretagne Développement Innovation

17h – S’assurer contre le risque cyber

  • Christophe Delcamp, directeur adjoint Assurances de dommages et responsabilité de la Fédération Française de l’Assurance
  • Nicolas Hélénon, fondateur et co-gérant de NeoTech Assurances (groupe LSN Assurances)

17h15 – Prévenir, réagir et signaler les attaques

  • Catherine Chambon, sous-directrice de la lutte contre la cybercriminalité à la Direction centrale de la police judiciaire
  • Jérôme Notin, directeur général du groupement d’intérêt public Acyma, dispositif national d’assistance aux victimes de cybermalveillance

17h50 – Conclusion par Paul Théron, expert de la cyber-résilience, responsable des offres de cyber-défense de Thales Communications et Sécurité

18h – Cocktail

Les débats seront animés par Fabienne Lissak, ex-journaliste à Bloomberg TV.

Adresse :
55, avenue Bosquet – 75007 Paris

Inscrivez-vous

L’Université d’été du MEDEF 2019 fait sa révolution ! Tout change sauf la date ! L’évènement majeur de la rentrée adopte un nouveau concept, un nouveau lieu, une nouvelle dimension et de nouveaux formats pour devenir « La Rencontre des Entrepreneurs de France » (REF).

Les entreprises permettent bien souvent d’apporter des solutions positives aux mutations du monde, c’est pourquoi le MEDEF leur consacre ce rendez-vous annuel pour les placer au centre du débat à travers cet évènement qui est devenu au fil des années un rendez-vous de la rentrée politique et économique en France. C’est plus de 7500 chefs d’entreprise, 500 journalistes, influenceurs et intervenants prestigieux français et internationaux qui ont répondu présent à l’appel.
Des échanges exclusifs sont prévus avec Fabrice Le Saché, porte-parole et vice-Président du Medef et Frédéric Bedin, Président du directoire d’Hopscotch Groupe, agence qui orchestrera ce nouvel événement qui porte d’ores et déjà la marque du changement que l’organisation patronale a su mener.

Le MEDEF vous attend les 28 et 29 août prochains pour ce que l’on appelle encore l’Université d’été du MEDEF 2019 à l’hippodrome de Longchamp où vous serez accueillis pour un grand moment de partage, d’échanges, de débat et de convivialité autour du thème No(s) Futur(s), climat, inégalités, conflits… Quel capitalisme demain ?

Les inégalités économiques, sociales, géographiques, climatiques, fiscales, qu’elles soient perçues ou réelles, revêtent des formes multiples et représentent autant de défis à relever pour proposer un monde meilleur aux générations futures. Vous êtes conviés à en discuter sans tabou, sans langue de bois et sans refuser la controverse.

Ce programme « in » sera doubler d’un programme « off » construit avec les partenaires du MEDEF. Il offrira des moments d’échanges autour de problématiques qui concernent directement et de façon concrète la vie des PME et ETI.

Télécharger le programme provisoire (pdf)

Plus d’infos sur La REF

Voir les modalités d’inscription

L’Université d’été du MEDEF 2019 fait sa révolution ! Tout change sauf la date ! L’évènement majeur de la rentrée adopte un nouveau concept, un nouveau lieu, une nouvelle dimension et de nouveaux formats pour devenir « La Rencontre des Entrepreneurs de France » (REF).

Les entreprises permettent bien souvent d’apporter des solutions positives aux mutations du monde, c’est pourquoi le MEDEF leur consacre ce rendez-vous annuel pour les placer au centre du débat à travers cet évènement qui est devenu au fil des années un rendez-vous de la rentrée politique et économique en France. C’est plus de 7500 chefs d’entreprise, 500 journalistes, influenceurs et intervenants prestigieux français et internationaux qui ont répondu présent à l’appel.
Des échanges exclusifs sont prévus avec Fabrice Le Saché, porte-parole et vice-Président du Medef et Frédéric Bedin, Président du directoire d’Hopscotch Groupe, agence qui orchestrera ce nouvel événement qui porte d’ores et déjà la marque du changement que l’organisation patronale a su mener.

Le MEDEF vous attend les 28 et 29 août prochains pour ce que l’on appelle encore l’Université d’été du MEDEF 2019 à l’hippodrome de Longchamp où vous serez accueillis pour un grand moment de partage, d’échanges, de débat et de convivialité autour du thème No(s) Futur(s), climat, inégalités, conflits… Quel capitalisme demain ?

Les inégalités économiques, sociales, géographiques, climatiques, fiscales, qu’elles soient perçues ou réelles, revêtent des formes multiples et représentent autant de défis à relever pour proposer un monde meilleur aux générations futures. Vous êtes conviés à en discuter sans tabou, sans langue de bois et sans refuser la controverse.

Ce programme « in » sera doubler d’un programme « off » construit avec les partenaires du MEDEF. Il offrira des moments d’échanges autour de problématiques qui concernent directement et de façon concrète la vie des PME et ETI.

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L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

Le B7 s’est réuni les 4 et 5 juillet sous la présidence du MEDEF à Aix en provence. Accueilli par « the camp« , l’évènement a eu pour thème cette année « Inclusive, Sustainable Economic Growth and Governance for the 21st Century » (Croissance économique et gouvernance inclusives pour le 21e siècle). Pour la première fois, un accord semble se dessiner avec le L7 qui représente les syndicats.  

Les délégations du B7 ont d’abord été reçues à l’Elysée le 3 juillet par le président de la République Emmanuel Macron avant l’ouverture officielle du sommet par Geoffroy Roux de Bézieux et ses homologues étrangers.
Plusieurs représantants du gouvernement étaient également présents comme Muriel Pénicaud ou Jean-Baptiste Lemoyne.
Enfin, les débat ont été clôturés par Christine Lagarde, l’actuelle directrice générale du FMI et future présidente de la BCE.

The Camp - B7

Les chefs d’entreprise et experts internationaux des pays membres du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon et Royaume-Uni) se sont réuni pour le B7 en lien direct avec l’agenda du G7 qui aura lieu à Biarritz en août prochain autour de la lutte contre les inégalités.

Le B7 est la plateforme officielle du monde économique en lien avec le G7. En effet, l’évènement rassemble les principales fédérations patronales des pays du G7 et a pour fonction de formuler des recommandations sur des thématiques en rapport avec l’activité des entreprises et le commerce international.
Le sommet a abordé cette année des thèmes aussi variés que la transition numérique et la cybersécurité, le commerce et les investissements internationaux, le climat et la biodiversité ou encore les inégalités.

Il est à noter que pour la première fois de l’histoire des sommets Business 7, les représentants des syndicats (L7) et des entrepreneurs (B7) s’accordent sur un agenda social en vue du G7.
Cet accord donne un élan inédit à la question de la croissance durable, de même que les Accords de Paris ont marqué un tournant pour la question climatique. Le G7 devrait mettre le sujet à l’ordre du jour afin que soit proposé un accord sur une réforme globale de la gouvernance internationale replaçant le social au cœur du projet. 





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