Investir au Nigéria….pourquoi pas ! Avec plus de 190 millions d’habitants et l’émergence d’une classe moyenne à fort pouvoir d’achat, Le Nigéria est la première économie du continent africain. Le pays regorge d’opportunités pour les PME et ETI françaises. Bpifrance vous propose de venir les découvrir le 14 novembre prochain. Un rendez-vous à ne pas manquer pour mieux connaitre l’Afrique anglophone.Le programme
Mot d’introduction
Paul-François Fournier, Directeur de l’Innovation Bpifrance
Table-ronde 1 : Panorama de la culture des affaires au Nigéria
Pierre-Ange Savelli, Adjoint au Chef du bureau « Afrique-AFD » – Direction générale du Trésor, Ministère de l’économie et des finances
Wilfrid Lauriano da Rego, Associé – KPMG
Abimbola Akeredolu, Associée – Cabinet Banwo-Ighodalo
Table-ronde 2 : Expériences et Opportunités de marché au Nigéria
Sébastien Etcheverry, Responsable MOAD Shipping & Manutention Conventionnelle – BOLLORE,
Maxime Boadji, CEO et Cofondateur – Yellow Relay
Marcel Hochet, Président et Fondateur – Greenelec
Table ronde 3 : Accompagnement/financement pour les entreprises françaises
Pedro Novo, Directeur des financements export – Bpifrance,
Hakim Khelifa, Directeur Associé – Africinvest
Jonathan Sinivassane, Directeur Business Development India, Middle East and Africa, International Investment Promotion – Paris&co
Les relations économiques France-Nigéria
Avec 3,6 Mds€ d’échanges bilatéraux en 2017, le Nigéria demeure le premier partenaire commercial de la France en Afrique subsaharienne (soit 20% de nos parts de marché en Afrique sub-saharienne en 2017). Nos exportations (1,07 Md€ en 2017) sont diversifiées : produits pétroliers raffinés, préparations pharmaceutiques, équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique et produits des industries agroalimentaires. Nos importations (2,48 Mds€ en 2017) sont principalement composées de produits pétroliers. Le Nigéria maintient son rang de 5e fournisseur d’hydrocarbures naturels de la France et le 1er d’Afrique subsaharienne. Le stock d’IDE français au Nigéria est de 6,5 Mds€ en 2016 (Banque de France) soit le 2ème stock d’IDE français en Afrique derrière le Maroc. Le service économique régional, qui est basé à Abuja et Lagos (http://www.ambafrance-ng.org/La-Mission-economique), accompagne les entreprises françaises voulant investir au Nigéria avec l’aide du bureau Business France (http://export.businessfrance.fr/nigeria/export-nigeria-avec-notre-bureau.html), qui a ouvert à Lagos en janvier 2016. Environ 120 entreprises françaises sont actives au Nigéria.
Montréal a fété ses 375 ans ! Et elle garde toute sa jeunesse avec une énergie débordante et un dynamisme que l’on ressent partout ; dans son quartier d’affaire où fleurissent les start-ups, dans la mentalité décomplexée de ses habitants et bien sur dans son économie ouverte qui font d’elle une belle porte d’entrée sur le marché américain pour nos PME et ETI… bref une destination affaires incontournable !
Par Franck Boccara
Elégante par nature, énergique par tempérament, cosmopolite par choix, Montréal se situe sur une île. Cette ville séculaire a rassemblé tous les contraires : ici se côtoient dans l’harmonie le charme du Vieux Continent et l’innovation haute technologie, ainsi que le français et l’anglais. La grande variété de solutions d’hébergement et de sites intéressants ainsi que le moderne Palais des congrès qui se trouve au cœur de ce carrefour culturel séduiront sans peine les voyageurs d’affaires et les organisateurs d’évènements. La joie de vivre et la fraicheur qui se dégage de la ville sont contagieux, la cuisine est délicieuse, la vie artistique et les spectacles avant-gardistes donnent à la ville une atmosphère festive toute l’année : rien d’étonnant à ce que Montréal soit en tête de toutes les listes des destinations favorites pour les congrès et les voyages incentive.
Bien connue pour ses nombreux festivals, Montréal et ses habitants ont saisi l’opportunité pour rebondir sur une nouvelle dynamique. Le quartier d’affaires, coincé entre le Mont Royal et le fleuve, a vu naitre une multitude de nouveaux hôtels et de tables branchées. En allant plus au nord, on rencontre le pont Jacques-Cartier qui s’est offert le titre de premier “pont connecté” au monde en s’illuminant de façon interactive chaque soir pour refléter en temps réel “l’état d’esprit” de Montréal.
Et l’état d’esprit est au beau fixe car Montréal est une ville rayonnante en pleine effervescence où les idées bouillonnent. Les voyageurs d’affaires y viennent du monde entier, à la recherche de la matière première locale : la matière grise. En effet, la ville est connue pour ses nombreuses universités et écoles qui accueillent d’ailleurs beaucoup d’étudiants de France et multiplient les partenariats entreprises, telles McGill, HEC Montréal, l’école Polytechnique de Montréal ou encore les différents Cegep.
Derrière chaque projet, il y a toujours un « petit quelque chose » d’originalité qui fait la “Montréal touch”, à l’image du Cirque du Soleil qui a réussi le pari de réinventer une tradition millénaire. Le quartier d’affaires abrite derrière ses buildings studieux une culture business Inventive et décalée, Montréal est devenu une référence mondiale en matiere de la créativité. Par exemple, Ubisoft prenait ses quartiers dans le Mile End, accolé au quartier d’affaires Il y a vingt ans. Aujourd’hui, il est tout simplement le grand développeur de jeux vidéo au monde. Pour l’événementiel, le studio de divertissement multimédia Moment Factory se démarque très nettement en comptant parmi ses clients Madonna, l’aéroport de Los Angeles ou la Sagrada Família. Les exemples sont là pour servir d’exemple aux jeunes pousses qui fleurissent dans le Mile End, ou dans le bien-nommé “Quartier de l’Innovation” (QI) installé à Griffintown. Aujourd’hui, Montréal a des airs de ville start-up…. avec 375 ans d’expérience.
Adresses utilesChambre de Commerce et d’Industrie Française au Canada
1455, rue Drummond, bureau 2B
Montréal, Québec, H3G 1W3 (métro Peel)
Tél : (001) 514 281-1246 / Fax : (001) 514 289-9594
info@ccifcmtl.cawww.ccifcmtl.caConsulat Général de France à Montréal bureau 1000 10ème étage 1501 Mc Gill Collège Montréal (Qc) H3A 3M8
Tel : 514.878.4385
https://montreal.consulfrance.org/
Bpifrance crée une Direction de l’Export qui va regrouper l’ensemble des activités d’assurance et de financement de l’export, ainsi que les actions de développement et d’accompagnement à l’export. “Ce continuum de solutions offre aux entreprises une gamme unique et complète d’outils financiers, pour simplifier leur accès aux marchés internationaux et les accompagner dans leurs ambitions d’implantations à l’étranger”, lit-on dans un communiqué daté du 10 octobre 2018.
Par la rédaction
Bpifrance offre un panel de solutions à l’export qui couvre l’ensemble des besoins d’une entreprise souhaitant se développer à l’international : Prêt Croissance International, Crédit Export, Accompagnement au développement ou à l’implantation (en partenariat avec la Team France Export, dont le chef de file est Business France). A ces dispositifs, s’ajoute l’offre de Bpifrance Assurance Export, l’Agence de Crédit Export française, chargée de la gestion des garanties publiques à l’export.
Opérée au nom, pour le compte et sous le contrôle de l’Etat par Bpifrance, la gestion des garanties publiques offre des perspectives d’accompagnement simplifiées aux entreprises exportatrices. Bpifrance Assurance Export propose par exemple des produits d’assurance-crédit, d’assurance prospection, de garanties des cautions et des préfinancements, d’assurance change ou encore d’assurance investissement.
En 2017, 22,7 milliards d’euros ont été mobilisés et garantis par Bpifrance pour accompagner l’internationalisation des entreprises françaises, dont 20,4 Md€ pour la seule activité Assurance Export, exercée au nom, pour le compte et sous le contrôle de l’Etat par Bpifrance. L’activité d’Assurance-Crédit a connu un niveau d’activité élevé tant en montants de garanties accordés (18,9 Md€, en croissance de 13% par rapport à 2016) que de nouvelles opérations prises en garantie (+36%), toutes tailles d’entreprises confondues.
Le Crédit Export, permettant aux entreprises françaises de proposer un financement à leurs clients étrangers, est monté en puissance en 2017 et la montée en charge de l’activité devrait se poursuivre en 2018.
En tant que Directeur exécutif en charge de l’Export, Pedro Novo supervisera l’ensemble des activités d’assurance et financement de l’export, ainsi que les actions de développement et d’accompagnement à l’export, afin de soutenir l’internationalisation des entrepreneurs français. Il intègre le Comité Exécutif de Bpifrance.
Pedro Novo a commencé sa carrière en tant que Chargé d’Affaires Financement crédit moyen et long terme pour une clientèle de PME et ETI à la Direction régionale Provence-Alpes-Côte-d’Azur de la Banque du Développement des PME (BDPME). En 2007, il est nommé Délégué régional Hauts-de-Seine de la banque, devenue Oseo, avant de prendre, en juillet 2008, le poste de Directeur régional Bpifrance Paris. En février 2016 il est nommé Directeur des Financements Export de Bpifrance, en charge de la promotion de l’offre Internationale de Bpifrance et plus particulièrement du développement de l’offre de crédit acheteur – rachat de crédit fournisseur ainsi que sa commercialisation et structuration au bénéfice de l’ensemble des entreprises françaises. Pedro Novo est âgé de 40 ans. Il est diplômé de Kedge Business School à Marseille.
Qu’il s’agisse d’une simple escale sur un vol transatlantique, ou d’un séjour plus abouti à la découverte des trésors de l’île, l’Islande a beaucoup à offrir aux voyageurs étrangers. Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en « terre de glace », propose différentes options pour explorer le pays le temps d’un séjour MICE pour les PME et ETI ou d’une simple escale.
Le Cercle d’Or compte parmi les visites incontournables à l’occasion d’un voyage en Islande
Si proche, et déjà si loin… A 3h30 de Paris, l’Islande n’a pas encore livré tous ses secrets aux voyageurs français, invités aujourd’hui à découvrir cette destination unique le temps d’une escale pendant un déplacement professionnel, ou dans le cadre d’un événement MICE. Car contrairement aux apparences, la « terre de glace » n’est pas si isolée. Au contraire : l’aéroport de Keflavik est même devenu une étape courante sur les liaisons transatlantiques fréquentées par les voyageurs d’affaires. Et justement, la destination est capable de charmer cette clientèle pressée le temps d’une simple escale… En quelques heures à peine, le voyageur peut en effet partir à la découverte du Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude située seulement à 20 minutes de l’aéroport international. Une parenthèse idéale pour se détendre entre deux vols, dans un décor surnaturel… D’autres sources chaudes sont d’ailleurs accessibles non loin de Reykjavik, à l’instar du Secret Lagoon ou du spa géothermal Laugarvatn, comme l’explique Guide to Iceland sur son site dédié.
Le Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude, est située à 20 minutes à peine de l’aéroport international
En s’accordant davantage de temps, les voyageurs sont justement invités à rallier Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, installée à 45 minutes à peine de l’aéroport. De la surprenante église Hallgrímskirkja à l’ultramoderne palais des congrès, « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées : cette capitale à taille humaine se prête parfaitement à une visite express… pour mieux convaincre le visiteur de s’accorder une véritable parenthèse islandaise !
Capitale à taille humaine, Reykjavik peut donner lieu à une exploration d’une journée, de l’église Hallgrímskirkja au palais des congrès « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées
Car si l’Islande se prête aisément à une découverte express, la destination mérite à n’en pas douter une exploration plus aboutie. En quelques jours, le voyageur est donc invité à partir à la conquête du bien nommé « Cercle d’Or » et de sa célèbre trilogie : le parc national de Thingvellir – classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – le bouillonnant site de Geysir, et la cascade de Gullfoss. Ce parcours en terre d’Islande, réalisable en une journée, offre de multiples options au voyageur, comme le détaille la plateforme Guide to Iceland : session motoneige sur glacier, balade à cheval ou même plongée dans la faille de Silfra…
Guide to Iceland : demandez le programme
Guide to Iceland, la plus grande plateforme de voyage en Islande, permet de comparer et de réserver ses activités directement en ligne, tout comme l’hébergement ou la location de voiture sur place, et ce en français.
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Le Blue Lagoon, célèbre source d’eau chaude, est située à 20 minutes à peine de l’aéroport international
En s’accordant davantage de temps, les voyageurs sont justement invités à rallier Reykjavik, la capitale la plus septentrionale du monde, installée à 45 minutes à peine de l’aéroport. De la surprenante église Hallgrímskirkja à l’ultramoderne palais des congrès, « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées : cette capitale à taille humaine se prête parfaitement à une visite express… pour mieux convaincre le visiteur de s’accorder une véritable parenthèse islandaise !
Capitale à taille humaine, Reykjavik peut donner lieu à une exploration d’une journée, de l’église Hallgrímskirkja au palais des congrès « Harpa », en passant par Laugavegur, cette artère commerçante aux façades bariolées
Car si l’Islande se prête aisément à une découverte express, la destination mérite à n’en pas douter une exploration plus aboutie. En quelques jours, le voyageur est donc invité à partir à la conquête du bien nommé « Cercle d’Or » et de sa célèbre trilogie : le parc national de Thingvellir – classé au patrimoine mondial de l’UNESCO – le bouillonnant site de Geysir, et la cascade de Gullfoss. Ce parcours en terre d’Islande, réalisable en une journée, offre de multiples options au voyageur, comme le détaille la plateforme Guide to Iceland : session motoneige sur glacier, balade à cheval ou même plongée dans la faille de Silfra…
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Un petit- déjeuner sera organisé par Business France le jeudi 4 octobre 2018 à Paris dont le thème portera sur les financements de l’AFD (Agence Française de Développement en Chine). Un rendez-vous à ne pas manquer pour les PME et ETI des secteurs du développement durable et de la protection de l’environnement.
Par la rédaction
La Chine connaît une urbanisation accélérée qui entraîne une forte augmentation de l’empreinte énergétique des villes, de la pollution locale et des émissions de gaz à effet de serre. L’enjeu environnemental se trouve au coeur du dialogue stratégique entre la France et la Chine.
Présente en Chine depuis 2004, l’AFD développe des actions de coopération en matière de développement durable, de protection de l’environnement et de lutte contre le changement climatique, s’inscrivant dans le cadre des différents accords intergouvernementaux signés entre la France et la Chine.
Plus spécifiquement, les interventions de l’AFD en Chine répondent aux objectifs suivants :
– accompagner la transition du pays vers une économie sobre en carbone et respectueuse de l’environnement;
– nourrir les partenariats France-Chine en matière de promotion du développement durable, en soutenant des opérations pilotes, porteuses de changement, qui participent à l’amélioration des pratiques locales et à l’introduction de nouvelles technologies. Au travers des projets qu’elle finance, l’AFD vise ainsi à mobiliser et valoriser l’expertise et les acteurs français de la filière verte.
Jeudi 4 octobre 2018 – France, Business France (77 boulevard Saint Jacques – 75014 Paris)
Organisateur(s) : Business France – Service organisations internationales et bailleurs de fonds
Les relations économiques France-Chine en bref
La Chine est le 6e partenaire commercial de la France, son 8e client, son 2e fournisseur, Plus de 1100 entreprises françaises présentes en Chine, représentant 570 000 emplois.
Au plan économique, le rééquilibrage de nos échanges « par le haut » constitue un objectif prioritaire, rappelé à l’occasion de la visite présidentielle. La Chine est le 6e partenaire commercial de la France, son 8e client (la part de marché française en Chine est de 1,6%) et son 2e fournisseur (la part de marché chinoise en France est de 9%). Nos échanges commerciaux restent marqués par un fort déséquilibre : la Chine est le 1er déficit commercial bilatéral de la France (30,2 Mds EUR en 2017) devant l’Allemagne. Les investissements croisés sont en plein essor. La présence française en Chine est ancienne (33 Mds EUR d’IDE en stock) et concerne tous les secteurs : agroalimentaire, industrie, transports, développement urbain, grande distribution, services financiers. Plus de 1100 entreprises sont présentes en Chine représentant 570 000 emplois. Les investissements chinois en France ont connu une forte croissance ces dernières années (6 Mds EUR en stock). 700 filiales d’entreprises chinoises et hongkongaises y sont établies employant 45 000 personnes. La France soutient les investissements chinois créateurs d’emplois et s’inscrivant dans des partenariats équilibrés de long terme. Le partenariat économique se traduit par la consolidation de coopérations industrielles structurantes dans le nucléaire civil et l’aéronautique (Hinkley Point C, EPR de Taishan qui entrera en service en 2018, coopération en matière de retraitement-recyclage des déchets nucléaires ; chaîne d’assemblage de l’A320 et de finition de l’A330 à Tianjin) et leur élargissement à de nouveaux secteurs (développement durable, santé, économie du vieillissement, innovation, services financiers notamment). Dans l’agroalimentaire, les deux parties se sont accordées, lors de la visite présidentielle, à favoriser les échanges de façon prioritaire dans les six mois en matière d’exportation de viande bovine.
L’ouverture à l’international est une étape incontournable dans le développement de la plupart des PME et ETI mais beaucoup hésitent encore à franchir le pas du fait de la complexité des démarches et des risques inhérents à la chose, notamment le risque clients à l’export. Pourtant, de nombreux dispositifs ont été mis en place pour accompagner les entreprises dans l’aventure export en optimisant les risques.
Par Justine Delmas
Il faut tout d’abord préciser que la conjoncture économique n’a jamais été aussi favorable à l’export. Euler Hermes prévoit pour cette année, dans son Baromètre Export 2018, une nouvelle croissance du commerce mondial aussi bien en valeur (+8,4%) qu’en volume (+4,4%). « Ce dynamisme renouvelé, malgré un léger ralentissement par rapport à l’an passé, laisse augurer de belles opportunités à saisir pour les entreprises françaises à l’export », explique Stéphane Colliac, économiste en charge de la France chez Euler Hermes. L’assureur crédit estime par ailleurs que la demande additionnelle de biens adressée à la France devrait ainsi croître de 21,5 Mds d’euros en 2018 et de 18,2 Mds d’euros en 2019 (après 20,3 Mds d’euros en 2017).
Stéphane Colliac désigne également les pays vers lesquels les perspectives sont propices aux exportateurs français. « Cette année, les débouchés supplémentaires à capter à l’export pour les entreprises françaises proviendront en grande partie de l’Union Européenne, avec plus de 4 Mds d’euros à saisir en Allemagne, plus de 2,2 Mds d’euros en Italie, plus de 1,7 Mds d’euros en Espagne ou encore plus de 1,6 Mds d’euros en Belgique ». « Hors de l’Europe, ce sont essentiellement les États-Unis et la Chine qui offriront des débouchés aux exportateurs français ». Les secteurs de l’agroalimentaire, des biens de consommation et de la chimie sont les plus concernés mais les entreprises françaises pourront continuer de miser sur leurs leadership dans les secteurs de l’automobile, la pharmacie, l’aéronautique, l’aérospatiale, le luxe, les technologies de l’information et de la communication.
Le risque clients à l’export
Malgré ces tendances optimistes, il serait imprudent de ne pas mesurer l’existence de certains risques clients à l’export, notamment les impayés. Ceux-ci représentent d’ailleurs, selon 58 % des entreprises interrogées dans le cadre du Baromètre Euler Hermes, la principale menace à l’export . Il est à noter que malgré le contexte macroéconomique et financier favorable, le délai moyen de paiement des clients dans le monde a augmenté de deux jours (66 jours) en 2017 et devrait même atteindre les 67 jours en 2018. « Certes, l’allongement du DSO moyen à l’échelle mondiale reflète avant tout un relâchement des bonnes pratiques de paiement entre les entreprises, indique Stéphane Colliac. Il en résulte cependant une moindre appréhension du risque de non-paiement de la part des entreprises, malgré la poussée des défaillances des grandes entreprises ». Il est clair, de ce fait, que le risque clients à l’export reste le défi majeur pour les PME et ETI qui souhaiteraient profiter de ce climat positif.
Miser sur les bons partenaires
Le risque pays et les opportunités de marché devront, dès le début, faire l’objet d’une étude approfondie. Pour se faire. l’entreprise pourra se servir des études économiques qu’elles trouveront chez les assureurs crédits, les banques ou certaines administrations telles que l’OCDE. Il est ensuite indispensable de bien se renseigner sur les us et coutumes du pays dans le domaine commercial, les obligations légales, etc., auprès par exemple d’établissements publics, tels que Business France ou la Chambre de commerce internationale. Après avoir intégrer ces éléments macro-économiques, l’entreprise pourra alors entamer la phase « business » de sa stratégie export en choisissant et en ciblant les prospects les plus fiables et les zones géographiques les plus stables (elles peuvent varier à l’intérieur même d’un pays). Pour cela, elle trouvera toutes ces informations chez les mêmes partenaires (CCI, Business France, banques, OCDE etc…) ou elle pourra trouver des listes de clients et prospects selon l’activité et la zone géographique avec une analyse de leurs potentiel commercial.
Les solutions pour prévenir ce risque
Après avoir cerné et contacté les partenaires commerciaux, il sera nécessaire de se prémunir contre les risques d’impayés, en faisant appel notamment aux assureurs crédit qui offrent des solutions qui prennent en compte la prévention, le recouvrement et l’indemnisation. L’entreprise pourra aussi utiliser les services que les banques proposent, pour la gestion du risque client, tels que le crédit documentaire ou les « Stand By Letter of Credit », garanties bancaires de paiement à première demande dès lors que chacune des parties a rempli ses obligations. Ces garanties bancaires sont spécialement adaptées lors d’opérations commerciales avec les pays plus « exotiques » ou lointains dans la mesure où elles permettent de s’affranchir des risques pays ou politiques.
Optimiser les délais de paiement
« Tout l’enjeu pour l’exportateur français consiste également à se faire payer dans les meilleurs délais. Si en France, le processus de recouvrement des créances impayées est clair et juridiquement établi (tribunaux de commerce, huissiers ou avocats), à l’export il est souvent plus complexe pour l’entreprise de connaître les possibilités légales de recouvrement, les outils disponibles, les dispositifs à mettre en place, les interlocuteurs à contacter, les délais à respecter, etc… » , explique Stéphane Colliac. Il sera donc particulièrement judicieux de se faire assister dans cette démarche par une banque, un assureur crédit ou un factor qui gèrera l’ensemble du processus pour l’entreprise, depuis les relances amiables jusqu’aux recours judiciaires. D’autant que si ces prestataires n’arrivent pas à récupérer, même partiellement, une créance, alors ils indemniseront l’entreprise.
Une démarche va permettre,d’une part, de sécuriser le risque clients à l’export et d’autre part, de préserver leur trésorerie car bien souvent les PME et ETI ont tendance à puiser dans leur fonds propres. Pourtant, les solutions ne manquent pas puisque les acteurs privés tels que les banques et les factors mais aussi l’administration française ne lésinent pas sur les moyens financiers destinés à accompagner ou soutenir les entreprises qui tentent un développement à l’international. Le gouvernement en a fait la démonstration avec sa nouvelle stratégie en matière de commerce extérieur annoncée en février dernier et les nouveaux dispositifs qu’il a mis en place.
Le Gouvernement réforme pour mieux accompagner les exportateurs
Cette année, le gouvernement a clairement affiché sa volonté de transformer le modèle d’accompagnement des PME à l’export, afin que l’International constitue maintenant le débouché naturel de l’économie française. À l’issu des différentes consultations menées notamment dans le cadre de son plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises (PACTE), le gouvernement propose désormais d’avancer dans trois directions :
– Une plus large diffusion d’une culture de l’export et de l’internationale, par le renforcement de la formation aux langues étrangères et au commerce international ;
– Une réforme de l’accompagnement à l’export par un partenariat approfondi entre l’État et les régions en la matière et une plus grande simplification ;
– Une réforme des financements export notamment pour les rendre plus lisibles pour les entreprises françaises et plus compétitifs vis-à-vis de la concurrence internationale.
Évolution des dispositifs publicsLe gouvernement va créer « un guichet unique » de l’export dans chaque région qui regroupera autour des opérateurs publics, CCI et Business France, tous les acteurs de l’export (agences régionales de développement, sociétés d’accompagnement et de commerce international, acteurs du financement export autour de Bpifrance). De même, Bpifrance devient le point d’entrée unique pour les financements exports publics. Il assure désormais la diffusion des garanties publiques à l’export, gérées au nom de l’État par sa filiale « Assurance Export ». Parmi ces différents outils figurent notamment une nouvelle mouture de l’assurance prospection, un Pass Export (partenariat de confiance sur mesure négocié entre l’État et un exportateur pour une durée de 3 à 5 ans), une nouvelle garantie pour les projets stratégiques à l’international, une garantie pour les filiales étrangères françaises, un outil de soutien financier à l’export pour soutenir les sous-traitants d’entreprises exportatrices, etc.
Astana est la nouvelle capitale du Kazakhstan !! Ce pays qui pourrait nous paraitre tout droit sorti de l’ère soviétique est en réalité une destination business qui s’affirme comme majeure en Asie centrale. Astana est une ville d’affaires jeune en pleine croissance où les buildings poussent sur de grandes et larges avenues et qui affiche fièrement quartier d’affaires ultra-moderne. Faisons un petit tour vers une destination d’affaires promise à un bel avenir.
Par Franck Boccara
Astana est la capitale du Kazakhstan depuis seulement 20 ans puisqu’elle a remplacé Almaty et que le transfert de souveraineté touche à sa fin. Dopée par les ressouces énergétique du pays, Almata n’est pas une destination touristique mais bel et bien économique et elle est censée devenir rapidement un hub incontournable pour le business.
C’est le pari de son président, Noursoultan Nazarbaïev, qui dirige ce pays dont le sous-sol regorge de richesses stratégiques telles que le pétrole, le gaz et l’uranium (ce qui d’ailleurs a déjà attiré les grands groupes français et nombre de PME et ETI dans leur sillage). En dotant Astana d’infrastructures réalisées par les plus grands noms de l’architecture mondiale, le président Nazarbaïev pose les jalons pour en faire un carrefour clé sur la nouvelle route de la soie. L’exemple le plus significatif est le site de l’exposition internationale de 2017 situé au sud du quartier d’affaires flambant neuf qui devrait servir maintenant de siège au « Astana Financial Center ».
Pour s’y rendre, il faudra passer par la compagnie nationale Air Astana qui propose un vol direct, en partenariat avec Air France ou Lufthansa, à raison de trois fois par semaine depuis CDG (mercredi, vendredi et dimanche) et depuis cinq villes de province. Ces vols sont assurés par un boeing 757 qui adapte sa configuration au taux de remplissage en offrant tous les avantages qui ont permis à Air Astana d’être classée par Skytrax comme “meilleure compagnie d’Asie centrale” depuis 2012. De plus, l’aéroport d’Astana possède depuis un an un tout nouveau terminal dédié aux vols internationaux et équipé d’un salon business. l’aéroport sera très prochainement relié au centre-ville pas une liaison ferroviaire.
Quelques adresses utiles
Chambre de commerce France-Kazakhstan
Centre d’affaires « Tarkhan », 5ème étage/bureau 507
4/1 rue Shevchenko, 010000, Astana
tel + 7 727 354 14 86
+ 7 727 396 98 45
+ 7 717 2 780 120
http://www.ccifk.kz/direction@ccifk.kz ,astana@ccifk.kz
Ambassade de France
62, rue Kosmonavtov, 4ème étage, 010000 Astana Tél. +7 (7172) 795 100
www.kz.ambafrance.org
Consulat général de France à Almaty
99, rue Fourmanov, croisement rue Aiteke Bi, CP 050000 Kazakhstan
Les marchés d’Amérique du nord vous intéressent ? Si oui, la CCI Paris Ile-de-France organise, le 3 juillet 2018, des échanges avec des experts de ces marchés et vous donne l’occasion de les rencontrer dans le cadre d’entretiens individuels gratuits de 45 minutes… Profitez-en !
Facilement abordable et connaissant un des niveaux de vie les plus élevés du monde, l’Amérique du Nord offre de nombreuses opportunités d’affaires pour les PME et ETI françaises. Bénéficiez de l’expérience des conseillers CCI pour les saisir.
Le mardi 3 juillet de 9h30 à 17h15
Identifier les opportunités des marchés
Collecter des informations sectorielles et réglementaires
Comprendre les particularités culturelles qui influencent les relations d’affaires
Identifier des partenaires commerciaux ou industriels qualifiés
Être appuyé dans votre prospection et dans l’implantation locale de votre entreprise
Pourquoi choisir les Etats-Unis ou le Canada pour votre expansion internationale ?
Les États-Unis et le Canada sont deux grands marchés avec respectivement 326 millions et 36 millions d’habitants en 2017.
Leur économie reste stable : Le Canada a eu une croissance économique solide de 3,1 % en 2017 contre 1,7 % en 2016. Le PIB américain devrait atteindre 2,8% en 2018, soit la meilleure performance depuis des années.
Une économie américaine plus forte, ainsi que la mise en œuvre de l’Accord économique et commercial global (CETA) entre le Canada et l’Union européenne, devraient avoir des répercussions positives pour les entreprises du Canada.
Pour les entreprises françaises tous les secteurs peuvent être porteurs aux États-Unis et au Canada : produits agroalimentaires, design et art de la table, cosmétiques fashion, industrie pharmaceutique, biotechnologies, informatique, services à forte valeur ajoutée…
L’image de la « French Touch » est forte auprès des consommateurs haut de gamme des grandes villes (New York, San Francisco, etc.).
Les États-Unis et le Canada apparaissent comme les champions des nouvelles technologies et abritent de grands évènements axés sur l’innovation : Consumer Electronic Show (CES), Nabshow, SXSV, Wanteddesign, ITS World Congress etc.
À noter également : l’anglais, langue commune, et la présence de 24 bureaux de la CCI Française en Amérique du Nord favorisent également l’implantation des entreprises françaises.
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Notre expert :
Traditionnellement partenaire privilégié de la France, l’Afrique exerce aujourd’hui un attrait énorme auprès d’autres acteurs, tels que la Chine et l’Inde, qui gagnent des parts de marché. L’assureur-crédit Coface a publié une étude qui peut éclairer nos PME et ETI sur les défis et les opportunités de ce continent au fort potentiel.
Par Serge De Cluny
La France importe plus qu’elle n’exporte et sa balance commerciale est déficitaire…. On le sait et cette réalité est un peu différente concernant ce continent comme l’explique Ruben Nizard, économiste Afrique subsaharienne de la Coface : « L’Afrique représente un poids marginal dans les échanges de la France. Mais le continent a aussi une position particulière car la France y entretient un excédent commercial« .
D’après l’étude sur les échanges France/Afrique que la Coface a publié le 20 juin, Les parts de marché à l’exportation de la France en Afrique sont passées de 11% en 2000 à 5,5% en 2017, une chute de plus de 50% qui s’applique à tous les pays et à tous les domaines, en dehors du secteur de l’aéronautique. L’étude dresse un bilan décevant pour nos entreprises : « La France est en recul là où elle était historiquement leader, comme les pays de l’Afrique francophone. Il n’y a qu’au Gabon où elle reste en tête même si, là aussi, elle perd des parts de marché ».
Cette perte de vitesse des entreprises françaises profite principalement à deux grandes économies émergentes dans ce continent; la Chine et l’Inde qui récupèrent l’essentiel de nos parts de marché sans oublier voisine allemande qui a su également tirer partie du recul français en Afrique.
Des secteurs en souffrance
Il est triste de constater que les exportations françaises sont passées de 12 % en 2001 à 6% en 2017 dans le secteur des machines avec pour exemple le Sénégal où la chute des parts de marché françaises est allée jusqu’à atteindre les 25%.
Nos entreprises font face à une concurrence qui vient de Turquie, d’Espagne mais surtout de Chine, dont la part a été multipliée par huit et représente aujourd’hui un quart des exportations totales de machines.
Même tendance pour le secteur des appareils électriques et électroniques dans lequel la Chine se taille la part du lion aux dépends de la france en raflant l’essentiel des marchés du continent.
L’inde, quant à elle, se distingue dans le secteur pharmaceutique où elle collectionne les parts de marché. Elle progresse dans le domaine des exportations pharmaceutiques vers l’Afrique de 5% en 2001 à 18% en 2017, notamment grâce à leur forte présence sur le segment des médicaments génériques à bas coût.
Le marché automobile se retrouve partagé entre plusieurs acteurs, par le fait notamment de la réorganisation des chaines de production. La Chine et l’Inde, spécialisés dans les pièces détachées, sont devenus les principaux fournisseurs de l’Afrique. La France se retrouve au 7ème en 2017 alors qu’elle était au 3ème rang en 2001, tandis que d’autres pays européens progressent comme la Roumanie ou l’Espagne.
Enfin, dans le secteur du blé, le recul français s’explique par une très mauvaise récolte et la concurrence de la Roumanie, de l’Ukraine et de la Russie qui en 2017 ont fourni plus de 40 % du blé total (contre seulement 3 % en 2001).
Des perspectives malgré tout
L’optimisme étant de rigueur sur pme-eti.fr, nous soulignons tout de même que le secteur aéronautique enregistre toujours de très bonnes performances en regroupant actuellement 33% de parts de marché alors qu’il n’en comptait que 12 % en 2001.
D’ailleurs, l’étude de la Coface se garde bien de dresser un bilan fataliste pour nos entreprises: « Il est possible d’améliorer les exportations françaises en Afrique et même d’envisager un gain potentiel de 21 % dans 27 pays. Si ce potentiel avait été exploité, cela aurait représenté 1,5 point de parts de marché regagnées en 2017. Il aurait permis à la France d’atteindre son niveau d’avant la crise de 2008 et des subprimes« , assure Ruben Nizard.
Par exemple, voici deux pays-clés sur lesquels les investissements français devront se porter, toujours selon l’assureur-crédit : l’Algérie et le Maroc qui représentent de véritables opportunités pour les exportations françaises dans de nombreux domaines.
Parmi les autres pistes évoquées par la Coface, il faudrait renforcer la présence française dans des zones où elle est relativement faible, comme par exemple en Afrique de l’Est et en Afrique australe, et bien sur concentrer nos efforts vers les pays ayant un système légal d’origine française, comme les marchés d’Afrique francophone, notamment dans la bande sahélienne (Mali, Burkina Faso, Niger, Tchad).
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