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International

Les conséquences économiques de la crise sanitaire du coronavirus s’annoncent « très sévères » selon Thierry Breton, commissaire européen en charge du marché intérieur qui appelle les Etats de l’UE à préparer l’après-confinement en mettant en place des plans de relance industrielle massifs.

Par Laetitia Conti

Dans un entretien accordé au Parisien, Thierry breton apporte son analyse sur les conséquences économiques de la crise sanitaire du Covid19 et alerte sur le fait qu’un mois de confinement coûterait « entre 2,5 et 3% de PIB et entre 5 et 6% avec deux mois de confinement ».

C’est précisement pour cela que le commissaire européen en charge du marché intérieur demande aux états membres de « proposer des plans de relance industrielle de l’ordre de 10% de leur PNB » en plus des mesures de soutien aux économies européennes (suspension de la règle des 3% de déficit, plan de 750 milliards d’euros de la BCE etc…).

Thierry Breton estime d’ailleurs que ces plans pouvaient atteindre un total de 1600 milliards d’euros et plaide de nouveau pour la mise en place d’un fonds européen de relance émettant des obligations à long terme pour un financement accessible à tous et pour « qu’aucun pays ne soit laissé au bord de la route ». 

Bien qu’il estime qu' »il y aura un avant et un après », Thierry Breton s’oppose fermement au repliement et au protectionnisme en déclarant :
« il est hors de question de remettre en cause nos accords de libre-échange, parce que c’est dans ce monde que nous vivons et que c’est aussi grâce à ces échanges que nous surmonterons cette crise ».
Concernant la concurrence, le commissaire européen en charge du Marché intérieur pense que « cette crise ne signifie pas la fin des règles » mais que « ces règles doivent en effet être revisitées car le monde a changé ». 

Par contre, il défend un renforcement de la souveraineté européenne dans le domaine de la santé en déclarant que « la pandémie démontre aussi que trop de médicaments sont fabriqués hors d’Europe et je sens enfin une volonté de relocaliser ces productions sensibles au plus près des Européens » tout en précisant qu’il excluait l’idée « qu’il faille faire de la santé une compétence exclusivement européenne » et que « la santé reste de la souveraineté des Etats ».

Dormir durant les trajets en avion est un enjeu de taille pour les voyageurs d’affaires qui doivent conjuguer efficacité et récupération physique, cependant tous n’y arrivent pas. La compagnie Air New Zealand vient de breveter une idée intéressante censée apporter une solution à ce problème : les lits capsules.

Par Eric Orsini

Dormir dans un avion lorsqu’on voyage en classe économique peut très rapidement tourner au cauchemar avec à la clé des douleurs aux jambes, au cou, au dos… Habituée aux longs courriers, la compagnie aérienne Air New Zealand a déposé, après trois ans de recherches et d’essais, un brevet pour des lits capsules, selon les informations de CNN Travel.

Ces lits capsules baptisés « Skynest » ont été testés par quelques 200 clients de la compagnie dans un hangar à Auckland. Cette cabine de sommeil est composée de six modules de couchage allongés à plat. Chaque lit mesure environ deux mètres de long sur 58 centimètres de large et chaque passager se verra remettre un kit de couchage composé d’un oreiller, de draps, d’une couverture, de bouchons d’oreille et des rideaux de confidentialité. Air New Zealand réflechierait même à équiper les cabines de prises USB et de lampes de lecture pour le plus grand confort de ses clients voyageant en classe économique.

Six couchages par avion

Les appareils pourraient accueillir jusqu’à 6 lits capsules. Même s’il ne s’agit pour l’instant que d’un brevet, cette option devrait être un peu plus onéreuse qu’un siège classique. « Nous voyons une future expérience de vol où un client (…) pourrait réserver l’Economy Skynest en plus de son siège Economy, bien se reposer et arriver à destination prêt à partir », déclare Nikki Goodman, directeur général de l’expérience client d’Air New Zealand.

Le sort définitif de ces lits capsules sera scellé par la compagnie néo-zélandaise l’année prochaine. Celle-ci n’en est pas à son coup d’essai puisqu’elle elle avait lancé, en 2011, la « Economy Skycouch » permettant aux passagers voyageant ensemble de transformer leurs sièges en lit. Bien que pour l’instant aucune certification formelle n’a été émise, l’idée des lits capsules n’est pas qu’un rève… affaire à suivre !!!

Le Royaume-uni est officiellement sorti de l’Union européenne le 31 janvier dernier mais cela va-t-il avoir un impact pour les épargnants français, notamment lorsqu’ils sont détenteurs d’un PEA comprenant des actions de sociétés britanniques. Voyons les dispositions de l’administration sur cette question.

Par Serge de Cluny

La règle de base précise que les titres sont éligibles au PEA (plan d’épargne en actions) et au PEA-PME uniquement s’ils sont émis par des sociétés dont le siège se trouve dans un état membre de l’Union européenne (UE) ou dans un autre état partie à l’Espace économique européen (EEE) ayant conclu avec la France une convention d’assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l’évasion fiscale ou une convention fiscale comportant une clause d’assistance administrative en vue de lutter contre la fraude et l’évasion fiscales (4° du I de l’article L. 221-31 du code monétaire et financier).

Cette règle relative au lieu du siège social de la société émettrice des titres s’apprécie de façon permanente. Cela veut dire qu’au cas où le Royaume-Uni ne fait pas partie de l’accord sur l’EEE après son départ de l’UE, les titres émis par des sociétés britanniques ne seront plus éligibles aux PEA et PEA-PME. Plus encore, la détention au sein du PEA ou du PEA-PME de titres ayant perdu leur éligibilité constituerait de fait un manquement à leurs règles de fonctionnement et sont censés entraîner leur clôture (article 1765 du Code général des impôts).

Cependant, afin d’éviter cette clôture, l’administration va mettre à la disposition de l’épargnant français une procédure de régularisation d’un délai maximum de deux mois à partir du transfert du siège de la société dans un État ni membre de l’UE ni partie à l’accord sur l’EEE. Cette solution aura pour effet de placer le contribuable entre deux possibilités :

  • Retirer le PEA des titres inéligibles par le biais d’un versement compensatoire en numéraire d’égal montant. Par contre, si l’épargnant en fait la demande auprès de son prestataire financier et si la durée de blocage du plan est satisfaite, ce retrait pourra être considéré comme un retrait classique n’emportant pas de versement compensatoire et sera donc soumis aux prélèvements sociaux dans les conditions de droit commun.
  • Céder dans le PEA les titres devenus inéligibles.

Ce scénario se base sur l’absence de ratification de l’accord général de sortie du Royaume-Uni mais il reste bien sur à mettre au point le cadre, beaucoup plus large, de la future relation entre le pays et ses ex-partenaires.

L’Atelier Afrique du Sud 2020 vient s’inscrire dans un contexte favorable et une actualité riche dans les relations bilatérales entre les deux pays. L’évènement donne rendez-vous aux PME et ETI françaises pour leur faire connaitre les opportunités qu’offre ce pays à la puissante base industrielle, au secteur financier et juridique de premier plan, disposant d’une véritable classe moyenne et qui s’impose comme une véritable plateforme vers toute l’Afrique australe.

En effet, après le Forum d’affaires France-Afrique du Sud à Johannesburg en octobre 2018, Ambition Africa 2019 en octobre dernier à Bercy, l’ »Investment Summit » du Président Ramaphosa à Johannesburg et le déplacement envisagé du Président de la République française sur place en 2020, l’Atelier Afrique du Sud 2020 tombe à point pour affirmer la présence économique française dans cette partie de l’Afrique.

Au programme

Débat animé par Léocadie EBAKISSE, Fondatrice de TALENT’S AWAKE 

– 8h30 : Accueil des participants
  • 9h00 : Allocutions d’ouverture

Christophe LECOURTIER : Directeur Général BUSINESS FRANCE

SE Tebogo SEOKOLO : Ambassadeur d’Afrique du Sud en France

SE Aurélien LECHEVALLIER : Ambassadeur de France en Afrique du Sud

– 9h15 : Table ronde introductive: Les clefs du succès pour se développer en Afrique du Sud
  • Situation économique et financière / enjeux et perspective politiques

Bertrand FURNO : Chef du Service Économique Régional en Afrique australe

Nicholas BORAIN Analyste politique, BNP Paribas Afrique du Sud

  • Opportunités et défis 

Hervé HELIAS : Chairman & CEO, Groupe MAZARS

Jeffrey SCHULTZ : Chef Économiste, BNP Paribas Afrique du Sud

Bertrand FURNO : Chef du Service Économique Régional en Afrique australe

Axel BAROUX : Directeur Afrique Sub-saharienne, BUSINESS FRANCE

  • Les entreprises françaises en Afrique du Sud : Quelle image ?

Jean-Claude LASSERRE : CEO Afrique de SAINT GOBAIN et Président Comité CCEF Afrique du Sud

Yves GUENON : Président de la FSACCI et Vice-président du Comité CCEF

Axel BAROUX : Directeur Afrique Sub-saharienne, BUSINESS FRANCE

– 10h30 : Infrastructures, mobilité et logistique : Réinventer la ville en Afrique du Sud !

Jean-Claude LASSERRE : CEO Afrique de SAINT GOBAIN et Président Comité CCEF Afrique du Sud

Hervé PERRON : Directeur Commercial Régional Afrique du Sud et de l’Est, BOLLORE LOGISTICS

Olivier GRANET : Président Directeur Général, KASADA CAPITAL MANAGEMENT

Yves GUENON : Président de la FSACCI et Vice-président du Comité CCEF

11h15 : Pause-café / Networking
– 11h35 : Programme Young Entreprise Initiative : Pitch des 3 Start-ups Sud-Africaines sélectionnées dans le cadre du programme

Nneile NKHOLISE : CEO, 3DIMO 

Tshidso RADINNE : CEO, RAPHTA

Kaveer BEHAREE : CEO, UBIQUITY AI

– 11h50 : Quels nouveaux modes de consommation ? Panorama du secteur Retail & Enjeux et opportunités dans le secteur de la Santé

Michelle OLCKERS : Co-CEO, MAZARS Afrique du Sud

BNP-RCS

Leroy Merlin

– 12h35 : Relations Afrique du Sud – France et perspectives bilatérales 2020

SE Tebogo SEOKOLO : Ambassadeur d’Afrique du Sud en France

SE Aurélien LECHEVALLIER : Ambassadeur de France en Afrique du Sud

– 12h55 : Clôture de la matinée

Axel BAROUX : Directeur Afrique Sub-saharienne, BUSINESS FRANCE

– 13h00 : Déjeuner networking
– A partir de 14h30 : Rendez-vous individuels avec les experts du marché sud-africain

Ce programme est communiqué à titre indicatif et peut être modifié

Adresse : 77 Boulevard Saint-Jacques, 75014 Paris, France

INSCRIVEZ – VOUS à l’atelier Afrique du Sud 2020 !

SNCF possède une gamme BtoB qui convient à toutes les entreprises ayant une appétence train, notamment les PME pour lesquelles a été pensé le Contrat Pro SNCF sur TGV inOui.
Cette solution de pilotage optimal des déplacements professionnels offre aux PME des avantages tarifaires et des services dédiés qui répondent précisément à leurs besoins.
Virginie Guichet, Responsable Marketing B2B-PME, nous explique le Contrat Pro SNCF dans le détail et nous démontre que TGV inOui est fin prêt pour l’ouverture à la concurrence du transport ferroviaire en France.

Impact Europe ! C’est le nom du programme d’accélération lancé par Business France pour accompagner et favoriser le succès des start-up françaises aux Royaume-Uni et en Allemagne, qui représentent des marchés attractifs mais réputés compétitifs.

Par Serge de Cluny

Après la création d’Impact USA et d’Impact China, Business France lance ce nouveau programme pour mieux préparer nos start-up à exporter leurs produits en répliquant ce dispositif d’accompagnement sous l’égide des bureaux Business France au Royaume-Uni et en Allemagne.
«  Le Royaume-Uni, l’Allemagne et la France sont les trois marchés européens privilégiés des investisseurs en capital-risque. Selon le Baromètre EY du capital-risque en France, ces 3 pays ont attiré 65% des investissements européens en 2018 « , précise Business France dans un communiqué qui explique que le but est de « leur permettre de réaliser en 10 semaines le cheminement qui devrait être parcouru habituellement en 18 mois« . Pour cela, Impact Europe devrait leur permettre d’étendre leur réseau sur place, de bénéficier de l’expérience de mentors locaux et d’entrepreneurs français déjà installés afin de pérenniser leur développement au Royaume-Uni et en Allemagne.

Mais la concurrence risque de s’avérer rude car au Royaume-Uni, la high-tech représentent plus de 1 400 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 500 000 start-ups y sont créées. « Le nombre de sociétés en hyper-croissance au Royaume-Uni a atteint les 36 500 entreprises en 2018. Parmi elles, 72 d’entre elles sont devenues des licornes« , selon Business France. Ces chiffres ont pu être atteint grace à une accessibilité des financements combinée à une profusion des talents et des débouchés commerciaux, notamment internationaux même si les start-up « y rencontrent une concurrence exacerbée et des attentes élevées de la part des opérateurs locaux« , d’après Isabelle Tibayrenc, responsable du département Tech & Services innovants de Business France au Royaume-Uni.

Quant au marché allemand, il est caractérisé par une concentration de l’activité tech au sein de sa capitale. Le programme Impact Allemagne va donc s’efforcer de montrer les opportunités hors Berlin. « Une Tech française de l’assurance ou de la finance devrait par exemple plus s’intéresser à des villes comme Francfort ou Munich« , nous explique Martin Gramling, Responsable du département Tech & Services innovants de Business France en Allemagne.

150 jeunes pousses présentant des plans de développement pour le Royaume-Uni ont d’ores et déjà été identifiés, ainsi que 300 pour l’Allemagne. Les secteurs de la Fintech, la Martech, le Retail Tech, la CultureTech et ou encore les logiciels sont les plus représentés. Basé à Londres et Düsseldorf, Impact Europe appliquera la même méthode qu’Impact USA, qui se déploit sur deux phases sur 6 mois :  » Learn & Dive « , pour se plonger réellement dans le nouveau marché et  » Take-off « , pour actionner son envol sur ce marché et accéder à un appui local dans la génération de leads commerciaux.

Les start-up de la tech intéressées par ces pays sont invitées à déposer leur candidature sur events-export.businessfrance.fr/impact-europe

Les vœux Amériques 2020 du MEDEF International vous attendent, comme à chaque début d’année, autour d’un cocktail pour venir échanger et vous informer sur les futurs projets et actions organisés sur le continent américain par le MEDEF International durant l’année 2020. 

Les vœux Amériques 2020 se tiendront en présence des présidents de conseil, des ambassadeurs du continent basés à Paris, des responsables d’administration, partenaires et représentants d’entreprises françaises membres de MEDEF International. L’évènement sera articulé autour d’un cocktail auquel participeront les intervenants suivants :

Philippe DELLEUR, Président du conseil d’entreprises France – Pérou, Senior Vice-Président Affaires Publiques d’Alstom

Alexis DUVAL, Président du conseil d’entreprises France – Brésil, Président du directoire de Tereos

Bruno DU PRADEL,  Directeur Affaires Publiques Internationales de Airbus – Représentant M. Guillaume FAURY, Président du conseil d’entreprises France – Canada, Président du groupe Airbus

Jacques GERAULT, Conseiller institutionnel au sein de CMA CGM – Représentant de M. Rodolphe SAADE, Président du conseil d’entreprises France – Amérique centrale & Caraïbes, Président Directeur général de CMA CGM

Michel KEMPINSKI, Président du conseil d’entreprises France – Chili, Président de Sulo

Guillaume LEROY, Vice-président du conseil d’entreprises France – Argentine, Country Chair France et Président Directeur Général de Sanofi France

Jean-Pierre LOUBINOUX, Président du conseil d’entreprises France – Argentine, Directeur général honoraire de l’Union internationale des chemins de fer

Pascal OLLIVIER, Vice-président du conseil d’entreprises France – Amériques centrale et Caraïbes, Président de Maritime Street

COORDONNÉES

Adresse : MEDEF – 55 Avenue Bosquet – 75007 Paris

Le mardi 21 janvier de 19:00 à 21:00

JE M’INSCRIS

TARIFS

Tarif adhérent
150,00 € HT (180 € TTC)

Tarif non-adhérent
225,00 € HT (270 € TTC)

CONTACTS

Alban GIRARD

Chargé de projet Amériques et Economie maritime
+33 1 53 59 16 10
agirard@medef.fr

Yasmine SAWAN

Chargée de projet junior Amériques
+33 1 53 59 16 35
ysawan@medef.fr

Louise LIMARE

Chargée Événementiel & Logistique
+33 1 53 59 16 23
llimare@medef.fr


Vous ne parlez pas japonais ? L’hôtesse parle anglais mais avec un accent japonais si fort que vous avez du mal à la comprendre ? Ne vous inquiétez pas, cela arrive fréquemment. C’est pourquoi la compagnie ANA (All Nippon Airways) a décidé de déployer « Pocketalk », un nouveau système de traduction automatique permettant de simplifier la communication entre le personnel de la compagnie japonaise et les passagers.

Par Eric Orsini

Ce nouveau gadget extrèmement pratique qui a été concu par Sourcenext est en service depuis le 18 décembre au sein de l’aéroport international d’Osaka. Le Pocketalk est un système de traduction automatique en temps réel que les équipes de All Nippon Airways (ANA) vont bientôt utiliser dans plus de cinquante aéroports au Japon dans le but de simplifier la communication entre le personnel au sol et les voyageurs.

Le Pocketalk est capable d’effectuer des traductions dans 74 langues dont 55 en parole et en texte et 19 autres uniquement en texte. Ce traducteur automatique sera principalement mis à la disposition du personnel en poste dans les halls d’aéroports et les portes d’embarquement. « ANA recherche constamment des solutions pour améliorer l’expérience de voyage des passagers, notamment en prenant des mesures pour rendre notre service dans les aéroports aussi inclusif et pratique que possible », a déclaré à ce sujet Masaki Yokai, vice-président de la compagnie aérienne. « Notre engagement vis-à-vis de l’hospitalité japonaise nous a pousser à chercher des manières innovantes d’utiliser la technologie pour améliorer l’expérience des passagers. Fournir Pocketalk à notre personnel simplifiera la communication avec les voyageurs du monde entier et leur permettra de mieux répondre aux besoins des passagers ».

La traduction automatique est aujourd’hui un enjeu de taille dans l’industrie du voyage avec une multitude d’applications mobiles s’imposant comme autant de dictionnaires à embarquer au creux de la main mais qui ne donnent pas toujours un résultat optimal et ce seront, comme d’habitude, les start-ups les plus performantes dans le domaine qui vont se distinguer. D’ailleurs, ce thème était à l’honneur de la dernière édition de l’événement IBTM, organisé comme chaque année au mois de novembre à Barcelone , aucours de laquelle le trophée de l’innovation, « IBTM World Tech Watch Award », a été décerné à Wordly et à son système traduction instantané reposant sur la reconnaissance vocale et l’intelligence artificielle (IA).

Le CES las Vegas 2020 aura lieu du 6 au 10 janvier 2020 et pour la 3ème année consécutive, la CPME propose aux dirigeants de TPE, PME et ETI de se joindre à sa délégation et de venir découvrir le Consumer Electronics Show (CES) à Las Vegas. Chefs d’entreprise, ne manquez pas ce rendez-vous et cette opportunité d’acquérir un réseau exceptionnel et d’aller à la rencontre des toutes dernières innovations ! 

Le sens de ce voyage et les objectifs de la délégation CPME sont :

  • D’immerger les entreprises dans les innovations, celles qui auront un impact sur les évolutions numériques de leur secteur d’activité,
  • De les familiariser avec les évolutions qui feront, demain, le quotidien de leur entreprise,
  • De leur permettre d’identifier de nouvelles opportunités de croissance. 

Programme et inscription

PROGRAMME CES LAS VEGAS 2020 – DÉLÉGATION CPME1.44 Mo

DOSSIER D’INSCRIPTION79.53 KoREVENIR AUX ÉVÉNEMENTS

Pour la onzième année consécutive, Le MOCI a organisé en partenariat avec la Chambre de commerce et d’industrie de région Paris Ile-de-France et avec le concours de Bpifrance, la cérémonie du Palmarès des PME et ETI leaders à l’international. L’évènement, s’est tenu dans le cadre de la clôture de la douxième édition du rendez-vous annuel de l’export des PME en Ile-de-France « Faites de l’international ! ». Voici, sans plus tarder et sans détour, le palmarès des PME et ETI leaders à l’international pour cette année 2019.

Par Franck Boccara

Le prix Exportateur de l’année 

C’est Frédéric Lescure, dirigeant de l’entreprise Socomore à Vannes dans le Morbihan qui est le lauréat. Le prix lui a été décerné pour sa stratégie de développement export à long terme qui a permis une croissance export d’au moins 10% depuis 2017 pour atteindre aujourd’hui plus de 30% du chiffre d’affaire. Socomore propose des solutions expertes de préparation, contrôle et traitement de surfaces avant collage et assemblage pour l’industrie du transport aérien, automobile et ferroviaire.
Prix parrainé par Air France.

Le prix Entreprise exportatrice de l’année 

C’est l’entreprise Mecalac basée à Annecy-le-Vieux en Haute-Savoie qui a été récompensée pour une série de performances à l’international avec plus de 30% de son chiffre d’affaire et une progression de plus de 10% cette année. Mecalac commercialise du matériel de construction compact et innovant pour les chantiers urbains.
Prix parrainé par Coface.

Le prix Jeune pousse globale de l’année 

Le prix a été décerné à Exotec Solutions, une start-up située à Croix dans le département du Nord pour avoir mis en place, dès le début, une politique d’investissement (R&D, infrastructures, ressources humaines…) et une organisation à l’étranger (V.I.E, distributeurs, bureaux…) qui ont permis une croissance exponentielle de son CA à l’international. Exotec réalise des systèmes de préparation de commande basés sur des flottes de robots évoluant dans les trois dimensions.
Prix parrainé par Stratexio.

Le prix Savoir-faire exportateur de l’année 

C’est la société Bohin France de Saint-Sulpice-sur-Risle dans l’Orne, qui se trouve être la dernière manufacture française d’épingles et d’aiguilles de qualité, qui s’est vu décerner ce prix pour son savoir-faire traditionnel et sa capacité d’adaptation pour percer sur de nouveaux marchés étrangers (normes, robotisation, OEA…). C’est davantage la progression des vente à l’export due aux initiatives prises qui a été recompensée, plus que le montant des ventes export.
Prix parrainé par Dachser.

Les lauréats du palmarès 2019 des PME et ETI leaders à l’international

Le prix Produit export de l’année 

Le gagnant de ce prix est Toutenkamion à Ladon dans le Loiret, fabricant de cabines poids-lourds et unités mobiles, pour sa réussite à l’international due à une politique d’innovation soutenue et à la mise en place de structures (V.I.E, distributeurs, bureaux…)
Prix parrainé par Le CIAN.

Le prix Exportateur francilien de l’année

On peut féliciter Socomate International dont le siège est à Crécy-la-Chapelle en Seine-et-Marne pour se prix qui distingue cette entreprise d’Île-de-France dont le chiffre d’affaires export a connu une progression de plus de 10 % par rapport à l’année précédente et dont la part de l’international dans le chiffre d’affaires dépasse les 30 % grace à la volonte de son dirigeant qui a fait de l’international un axe de développement stratégique.
Prix parrainé par la CCI Paris Ile-de-France.

Le prix Meilleure performance au grand export

C’est ECM Technologies, fabricant de fours industriels à Grenoble en Isère, qui a recu ce prix distinguant une entreprise dont la croissance à l’export est régulière depuis trois ans hors de l’Union européenne (par exemple en Afrique ou encore dans l’Asean).
Prix parrainé par Crédit Agricole.

Le prix Exportateur de services de l’année

La lauréate est la société Esker à Villeurbanne en Isère. Elle a reçu ce prix qui distingue un prestataire de services ou fournisseur de prestations intellectuelles dont le CA export a progressé d’au moins 10 % avec une part minimum de 30 % de son CA consacré à l’international. C’est le cas de cette entreprise qui éditant la plateforme Esker qui aide les entreprises à digitaliser leurs processus Purchase-to-Pay (P2P) et Order-to-Cash (O2C) tout en contribuant à une meilleure collaboration entre fournisseurs et clients.
Prix parrainé par Bureau van Dijk.

Le prix Meilleure accélération à l’international de l’année

C’est Enogia de Marseille, dont l’activité est de convertir la chaleur en énergie propre, qui s’est vu offrir ce prix distinguant une PME ou ETI participant ou ayant participé à un programme accélérateur de type Bpifrance ou Business France et ayant connu durant cette période un taux de croissance important à l’international.
Prix parrainé par Business France.

Le prix Meilleure opération de financement export de l’année

Prix décerné à Fonroche Lighting située à Roquefort dans le Lot-et-Garonne pour avoir gagné un marché à l’export grâce à un des nouveaux instruments de financement export public de Bpifrance dans les 12 derniers mois. Cette entreprise conçoit et propose de l’éclairage public solaire autonome.
Prix parrainé par Bpifrance.

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