Coronavirus : quel avenir pour l’investissement immobilier ?
30 juin 2020
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Durant le confinement, le volume des investissements immobiliers s’est sensiblement réduit. De nombreux experts se sont penchés sur l’avenir de l’investissement et du marché immobilier. Mais depuis la fin du confinement et la reprise, nous constatons que l’appétit des investisseurs pour la pierre ne faiblit pas malgré le coup d’arrêt lié au confinement.
Après
avoir analysé les faits et l’état du secteur de l’immobilier
français nous voulons apporter des réponses au questionnement de
nombreux investisseurs. Nous vous livrons ici notre analyse de
l’avenir du marché des transactions immobilières résidentielles
en Île de France.
Immobilier et coronavirus : acheter ou ne pas acheter ?
Malgré
la crise du coronavirus, l’immobilier reste un placement sûr. Il y
a des fondamentaux à prendre en compte et à étudier dans le
contexte de crise actuelle :
L’immobilier
suit les règles d’un marché de l’offre et de la demande mais à
une échelle locale. Il répond à la demande locative. La crise du
covid-19 ne va pas réduire le besoin de se loger des habitants
d’Île de France et augmenter les risques de vacance locative.
Depuis de nombreuses années, le marché
immobilier en région parisienne fonctionne en flux tendu. La
demande locative est plus forte que l’offre et ce, malgré les
nouvelles constructions qui ne suffisent pas à satisfaire la
demande de logements.
L’intérêt des français pour l’immobilier réside dans la rentabilité locative attractive qu’il génère. Chaque investisseur cherche à réaliser le placement le plus rentable possible. En comparaison avec les rendements très faibles des produits financiers, l’immobilier locatif reste la seule classe d’actif qui permet d’obtenir un retour sur investissement intéressant tout en limitant les risques.
Le
marché de l’investissement immobilier est tiré par l’offre de
crédit bancaire. Il est encore possible d’obtenir un crédit
intéressant avec un taux d’intérêt très bas. Cela signifie des
mensualités plus faibles, des mètres carrés en plus et donc un
investissement plus rentable. Il suffit de voir l’engouement
des français pour l’immobilier locatif depuis plusieurs
années. Avec le coronavirus, les banques centrales ont baissé
leurs taux directeurs afin de soutenir l’économie. Il y a fort à
parier que les injections de liquidités dans l’économie vont
limiter la hausse des taux d’intérêts actuels.
Enfin,
il faut noter que L’investissement dans la pierre est concret.
C’est la valeur refuge par excellence. Tant qu’un bien est en
votre possession, ce dernier a une valeur virtuelle. Si les prix
immobiliers diminuent, il suffit de reporter votre opération de
revente jusqu’à ce que ces derniers remontent et de profiter des
revenus locatifs. Ce n’est pas forcément le cas d’un placement
financier qui peut perdre définitivement de sa valeur et s’évaporer.
Le récent krach boursier en est l’exemple parfait.
Dans un monde où la gestion patrimoniale exige à la fois expertise, rigueur et sens du service, Everfair Group se distingue par une approche résolument globale et sur mesure. En alliant conseil stratégique, solutions d’investissement diversifiées et accompagnement personnalisé, cette société offre à ses clients un cadre de confiance unique, fondé sur la transparence, la disponibilité et une exigence de résultats.
Doté d’une vision internationale, Everfair Group accompagne également ses clients avec une approche à 360°, qu’il s’agisse d’organisation patrimoniale, de private equity, de cession d’actifs ou de financement immobilier. L’humain, l’écoute et l’excellence sont au cœur de sa démarche.
Philippe Buerch, fondateur et dirigeant d’Everfair Group, prend ici la parole pour partager sa vision, ses engagements et les valeurs qui guident son action au quotidien.
Le 27 novembre, à l’occasion du Forum économique international sur l’Afrique 2025 organisé à Paris sous l’égide de l’OCDE, l’intervention du ministre guinéen du Plan et de la Coopération internationale, Ismaël Nabé, a marqué les esprits. Devant un auditoire composé de dirigeants politiques, d’acteurs économiques et de bailleurs de fonds internationaux, le ministre a présenté avec clarté et détermination la nouvelle trajectoire de la République de Guinée, tout en portant un message fort en faveur d’un partenariat économique plus équilibré entre l’Afrique et ses partenaires extérieurs.
Par Franck Boccara
Une Afrique confiante et résolument tournée vers l’avenir
Dès l’ouverture de son intervention, le ministre guinéen a planté le décor : l’Afrique n’est pas un continent à assister mais une terre d’initiatives, de talents et de projets ambitieux. Il a rappelé que ce que les pays africains attendent aujourd’hui, ce ne sont pas des aides ponctuelles ou des discours bienveillants, mais des engagements solides, des investissements structurants et des alliances économiques fondées sur la transparence et la réciprocité.
« L’Afrique ne demande pas la charité, mais un capital équitable et des partenariats stratégiques », a-t-il déclaré avec conviction, soulignant que le continent est prêt à jouer un rôle majeur dans la transformation économique mondiale.
Ismaël Nabé met en lumière les opportunités uniques qu’offre la Guinée aux investisseurs internationaux
La Guinée en fer de lance avec le projet Simandou
Pour illustrer concrètement cette vision, Ismaël Nabé a mis en avant le projet emblématique Simandou, aujourd’hui considéré comme l’un des plus vastes projets intégrés d’Afrique, alliant exploitation minière, infrastructures et industrialisation.
Ce programme d’envergure comprend :
La construction de 650 km de voies ferrées reliant les sites miniers aux infrastructures portuaires,
Le développement d’un port en eau profonde, pensé comme un levier de croissance régionale,
Des zones économiques à vocation multisectorielle conçues pour encourager la transformation locale et attirer les investisseurs.
Plus qu’un simple projet minier, Simandou est le reflet d’une volonté nationale portée par le président Mamadi Doumbouya: bâtir une économie durable, créer des emplois qualifiés, et positionner la Guinée comme un moteur de l’industrie en Afrique de l’Ouest.
Une stratégie de développement bien au-delà des mines
Mais le ministre n’a pas réduit l’avenir économique de la Guinée à l’exploitation de ses ressources naturelles. Il a exposé une feuille de route plus large, tournée vers la modernisation de l’économie nationale et l’insertion du pays dans les chaînes de valeur régionales et mondiales.
Parmi les axes stratégiques évoqués :
– Le déploiement d’infrastructures énergétiques propres, notamment dans les énergies renouvelables,
– La modernisation des réseaux de transport pour désenclaver les zones reculées,
– Le développement du numérique, avec l’installation de la fibre optique et la digitalisation des services,
– La création de zones dédiées à la transformation agro-industrielle,
– La mise en place de solutions logistiques et commerciales modernes,
– Et une attention particulière portée à l’aménagement urbain face aux enjeux climatiques.
À travers ces priorités, c’est une Guinée connectée, productive, résiliente et tournée vers l’innovation que le ministre a défendu à Paris.
Ismaël Nabé défend une Afrique résiliente, connectée et attractive face aux décideurs internationaux
Un message clair aux partenaires français et européens
Dans un contexte où les relations économiques entre la France et le continent africain sont appelées à se redéfinir, Ismaël Nabé a saisi cette tribune pour interpeller les entreprises françaises. Il les a invitées à regarder autrement la Guinée, non plus comme un marché secondaire, mais comme un territoire stratégique à fort potentiel.
La République de Guinée, avec ses ambitions affichées, son besoin d’expertise, et sa dynamique de transformation, représente une formidable opportunité pour les entreprises françaises désireuses de s’internationaliser, d’innover et de contribuer à un développement durable.
Le ministre a insisté : le temps est venu de bâtir des alliances gagnant-gagnant, respectueuses des intérêts locaux, et conçues pour durer.
L’Afrique de demain se construit aujourd’hui
L’intervention d’Ismaël Nabé n’était pas qu’un exercice diplomatique. C’était un signal politique fort, une invitation à changer de regard sur l’Afrique et à envisager un futur commun fondé sur la co-construction.
Le Forum de Paris a mis en lumière une Afrique qui prend la parole, qui assume ses ambitions, et qui choisit ses partenaires. La Guinée, en particulier, montre qu’avec une vision claire, une gouvernance proactive et un cadre de travail sérieux, les investissements peuvent devenir des accélérateurs de souveraineté et de prospérité partagée.
Le ministre a rappelé que le président Mamadi Doumbouya porte cette volonté de transformation structurelle, en misant sur l’industrialisation, l’éducation, les infrastructures et la création de valeur locale.
Ismaël Nabé appelle les entreprises à investir dans une Afrique ambitieuse et souveraine
Une fenêtre d’opportunité à ne pas manquer
L’Afrique change, et la Guinée est en train de se réinventer. Pour les entreprises françaises, il s’agit là d’un moment charnière. Rares sont les pays aujourd’hui qui affichent une telle clarté stratégique, un tel engagement politique et une telle ouverture à des partenariats responsables.
Ismaël Nabé a, par son discours, incarné une génération de dirigeants africains décidés à tracer leur voie, sans complexe, mais avec une main tendue. L’heure n’est plus aux hésitations, mais à l’action.
Pour les entreprises prêtes à construire avec l’Afrique, la Guinée est une porte d’entrée prometteuse. À elles de saisir l’opportunité, car demain commence aujourd’hui.
Le poste achats est un levier stratégique encore trop peu exploité par de nombreuses PME et ETI. C’est la raison pour laquelle l’ADRA, l’association des directeurs et responsables achats, et PME-ETI.fr ont décidé de mettre en place un partenariat inédit, fondé sur un échange de visibilité fort entre les deux structures, un partage de contenus et l’organisation d’événements communs.
Dans ce film, les intervenants vous partagent leur vision de l’intérêt de ce rapprochement.
Sylvie Noël, Présidente de l’ADRA, insiste sur la nécessité de mieux faire connaître la fonction achats au sein des PME-ETI et de leur transmettre quelques clés sur ce poste de plus en plus complexe.
Christian Galichon, Directeur Achats chez LVMH, explique la perception que les grands groupes ont de leurs PME fournisseurs et comment celles-ci pourraient mieux comprendre les attentes, l’état d’esprit et le cahiers des charges des services achats de ces grands groupes.
Enfin, Franck Boccara, Président de PME-ETI France, revient quant à lui sur l’enthousiasme et l’élan avec lequel est né ce partenariat, et souligne les bénéfices directs qu’il apporte aux entreprises référencées sur PME-ETI.fr en leur offrant une visibilité privilégiée auprès des décideurs achats des grands groupes.
Ces interventions illustrent parfaitement l’intérêt commun de ce partenariat inédit, promettant d’apporter une vraie valeur ajoutée aux adhérents et lecteurs de PME-ETI.fr. Une collaboration à suivre de près !
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