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DIGITAL

Le CES las Vegas 2020 aura lieu du 6 au 10 janvier 2020 et pour la 3ème année consécutive, la CPME propose aux dirigeants de TPE, PME et ETI de se joindre à sa délégation et de venir découvrir le Consumer Electronics Show (CES) à Las Vegas. Chefs d’entreprise, ne manquez pas ce rendez-vous et cette opportunité d’acquérir un réseau exceptionnel et d’aller à la rencontre des toutes dernières innovations ! 

Le sens de ce voyage et les objectifs de la délégation CPME sont :

  • D’immerger les entreprises dans les innovations, celles qui auront un impact sur les évolutions numériques de leur secteur d’activité,
  • De les familiariser avec les évolutions qui feront, demain, le quotidien de leur entreprise,
  • De leur permettre d’identifier de nouvelles opportunités de croissance. 

Programme et inscription

PROGRAMME CES LAS VEGAS 2020 – DÉLÉGATION CPME1.44 Mo

DOSSIER D’INSCRIPTION79.53 KoREVENIR AUX ÉVÉNEMENTS

« Business Prime » ! C’est la nouvelle offre BtoB sur abonnement d’Amazon qui garantit une livraison gratuite en 1 jour ouvré. Ce nouveau produit lancé par le géant americain lui permet de se développer encore un peu plus sur le marché du service aux entreprises après le lancement de « Amazon Business » en France au mois de février 2018.

Par Serge de Cluny

Cette nouvelle fonctionnalité payante (à partir de 50 € HT par an) représente certes une percée pour Amazon sur le marché des professionnels mais elle permet surtout, et c’est là qu’elle est interessante pour les entreprises, d’effectuer des achats internes à l’entreprise avec l’affichage et la facturation hors taxe (HT), le paiement sur facture et à échéance avec en plus l’accès à des options de livraison gratuites.

Business Prime propose 4 formules d’abonnement aux entreprises. La première, qui est tarifée à 50 € HT par an, offre déjà aux entreprises la possibilité de bénéficier sur leurs commandes de la livraison gratuite en 1 jour ouvré, de façon illimitée. De plus, la livraison le soir-même est également gratuite à Paris et sur certaines communes d’Ile-de-France, ainsi qu’à Lyon, Lille, Aix-en-Provence et Marseille à partir de 25 € d’achats (éligibles).

C’est essentiellement au niveau du nombre d’utilisateurs que les formules d’abonnement diffèrent : pour 150 €, vous pourrez cumuler jusqu’à 10 utilisateurs, et pour 350 € jusqu’à 100 utilisateurs par an. Pour les grands comptes, Business Prime donne la possibilité d’effectuer leurs achats BtoB pour un nombre d’utilisateurs illimité. L’autre aspect intéressant de ce service est que les abonnés « Small » et « Medium » peuvent imposer des règles de restriction et définir les catégories de produits sur lesquels ils désirent limiter l’achat.

Amazon ne donne pas d’information sur le nombre de PME et ETI qui utilisent sa solution business mais précise tout de même que celle-ci suscite beaucoup d’intérêt dans les secteurs de la construction et de la restauration. Le e-commerçant affirme que plus de 50% des groupes du CAC 40 ont utilisé Amazon Business depuis son lancement.


L’application moncompteformation a été lancée ce jeudi 21 novembre 2019 par le gouvernement. Qualifiée de « simple », « pratique » et « lisible » par Edouard Philippe, l’appli permettra de s’inscrire directement en formation sans avoir à passer par un intermédiaire afin d’encourager ce que l’entourage de Muriel Penicaud appelle « une démocratisation de la formation ».

Par Serge de Cluny

L’application moncompteformation a un objectif clair : encourager la formation professionnelle en réformant le système actuel, largement critiqué pour sa complexité. Cet outil vient d’ailleurs cloturer cette réforme de la formation initiée depuis un an déjà.

L’application mobile sera téléchargeable sur smartphone, mais aussi le site internet moncompteformation.fr. Selon le gouvernement, ce sont 25 millions de salariés et de demandeurs d’emploi qui disposent d’un compte personnel de formation (CPF), et ce sera également le cas pour trois millions d’indépendants en avril 2020. L’objectif est qu’un million de personnes utilisent l’application moncompteformation chaque année.

Booster la formation tout au long de la vie

Depuis le 1er janvier, le CPF n’est plus alimenté en heures mais en euros. Le compte est crédité de 500 euros par an (800 pour les salariés non qualifiés), dans la limite de 5 000 euros (8 000). L’exécutif compte beaucoup sur ce nouvel outil pour encourager la formation tout au long de la vie face à l’évolution des métiers et la difficulté à recruter, alors que le chômage reste élevé.

« Si vous avez besoin de vous renforcer sur des compétences techniques ou managériales, si vous avez envie de totalement changer d’activité ou au contraire de creuser votre sillon, (…) qui mieux que vous peut le déterminer ? Personne », a expliqué le Premier ministre Edouard Philippe.

Développée par la Caisse des dépôts, l’appli va donner à chaque salarié la possibilité de connaître ses droits, de trouver, de réserver et de payer la formation de son choix.
Selon le ministère, le montant moyen actuel disponible sur un CPF est de 1.040 euros. Le maximum est de 3.240 euros pour ceux qui n’ont encore jamais utilisé ni leur CPF ni leur DIF (droit à la formation dont bénéficiaient les salariés avant 2014). Ce sont 100.000 sessions de formations (diplomantes ou certifiantes) qui sont disponibles depuis ce jeudi, pour un montant moyen tournant autour de 1.400 euros. Une fois la formation choisie, l’organisme de formation aura 48 heures pour répondre.

Au printemps, entreprises et collectivités pourront abonder le compte des salariés pour favoriser certaines formations. Il sera également possible d’ici quelques mois de noter et d’évaluer les formations suivies.

Patronat et syndicats critiquent néanmoins l’aspect individuel de ce projet, soulignant le risque que des salariés dilapident leurs euros dans des formations qui ne leur seraient pas utiles.
De son côté, Muriel Pénicaud, la minitre du travail défend fermement la « démocratisation de l’accès à la formation » et parle même d’une « révolution ».

La Cybersécurité sera mise à l’honneur par le MEDEF le lundi 14 novembre 2019 à travers une session de décryptage et de partage d’expériences autour de dirigeants et de professionnels reconnus dans ce domaine qui viendront partager leurs expertises. Dirigeants et cadres de PME et ETI, vous êtes conviés à participer à cette rencontre pour savoir comment analyser les risques, quelle stratégie mettre en place pour contrer les cybermenaces qui ont touché 8 entreprises sur 10 l’année dernière et comment réagir lors d’une attaque. Des échanges avec des offreurs de services et de solutions de cybersécurité sont prévus par la suite autour d’un cocktail offert par le partenaire de l’évènement, Syntec numérique.

AU PROGRAMME :

14h30 – Introduction par Guy-Philippe Goldstein, chercheur et consultant sur les questions de cyber-sécurité et cyber-défense

14h45 – La cybersécurité, un enjeu stratégique pour l’entreprise

  • Nicolas Arpagian, VP stratégie et affaires publiques d’Orange Cyberdefense
  • Axel Castadot, chef adjoint de la division connaissance & anticipation de la sous-direction opérations de l’Agence nationale des systèmes de la sécurité des systèmes d’information (ANSSI)
  • Pascal Le Roux, vice-président de CDVI, président du Comité de liaison Sécurité numérique de la FIEEC
  • Christophe Ternat, co-fondateur et CEO de Cyrating

15h30 – Analyse et méthode : comment bien penser sa stratégie cybersécurité ?

  • Fabien Caparros, chef de la division chargé des méthodes de management de la sécurité numérique à l’ANSSI
  • Christophe Foret, co-chair du FAIR Institute Paris et président de C-Risk
  • Nathalie Malicet, vice-présidente de la commission numérique et innovation à la Compagnie nationale des commissaires aux comptes (CNCC)

16h15 – Mettre en place sa stratégie cybersécurité

  • Jean-Philippe Gaulier, Cyberzen
  • Michel Juvin, expert cybersécurité et membre du Club des experts de la sécurité de l’information et du numérique (CESIN)
  • Tiphaine Leduc, chef de mission Défense et Cybersécurité chez Bretagne Développement Innovation

17h – S’assurer contre le risque cyber

  • Christophe Delcamp, directeur adjoint Assurances de dommages et responsabilité de la Fédération Française de l’Assurance
  • Nicolas Hélénon, fondateur et co-gérant de NeoTech Assurances (groupe LSN Assurances)

17h15 – Prévenir, réagir et signaler les attaques

  • Catherine Chambon, sous-directrice de la lutte contre la cybercriminalité à la Direction centrale de la police judiciaire
  • Jérôme Notin, directeur général du groupement d’intérêt public Acyma, dispositif national d’assistance aux victimes de cybermalveillance

17h50 – Conclusion par Paul Théron, expert de la cyber-résilience, responsable des offres de cyber-défense de Thales Communications et Sécurité

18h – Cocktail

Les débats seront animés par Fabienne Lissak, ex-journaliste à Bloomberg TV.

Adresse :
55, avenue Bosquet – 75007 Paris

Inscrivez-vous

La French Tech se porte bien selon Bpifrance ! Paul-François Fournier, directeur exécutif de l’innovation de la Banque Publique d’Investissement était invité sur BFM Business le 27 septembre. Il a fait part de son optimisme sur le développement des start-up françaises, appuyé par Emmanuel Macron.

Par Franck Boccara

Les licornes françaises entament réellement leur phase d’émergence à l’image de Doctolib, Deezer, BlaBlaCar, Ivalua, Meero, Veepee (ex-Vente-privee.com), OVH. Ces start-up tricolores non cotées et valorisées à un milliard d’euros font partie des priorités de l’exécutif. C’est d’ailleurs le sens de l’objectif de « 25 licornes françaises d’ici 2025 » qu’a fixé le président Macron la semaine dernière.

Emmanuel Macron, qui désire multiplier ces jeunes pousses françaises à forte valorisation souvent en mal de financements élevés, a indiqué que les grands investisseurs institutionnels français, banquiers et assureurs, vont se mobiliser et investir 5 milliards d’euros pendant trois ans dans les jeunes start-up en croissance du secteur technologique.

Sur ces 5 milliards qui devraient être débloqués par les grands investisseurs français, 2 milliards vont aller vers les fonds late stage, qui investissent des montants se chiffrant en dizaines de millions d’euros dans les start-up ayant déjà commencé à faire leurs preuves et en forte croissance. 3 milliards iront par ailleurs vers des fonds investissant dans la tech en Bourse. L’exécutif espère que les investisseurs étrangers permettront de doubler la mise.

Bpifrance a, de son côté, annoncé qu’elle investirait un milliard d’euros dans les trois ans, dans plusieurs fonds late stage et growth. Les start-up trouvent aujourd’hui en France un terreau propice pour se financer dans les premières étapes de leur existence. Grâce notamment à l’effet de catalyseur de Bpifrance, il existe aujourd’hui de nombreux fonds d’investissement capables d’investir jusqu’à plusieurs millions d’euros dans leur capital.

Pour Paul-François Fournier, directeur exécutif de l’innovation chez Bpifrance, l’objectif est « tout à fait réaliste ». C’est ce qu’il a affirme sur le plateau de Good Morning Business le vendredi 27 septembre en déclarant qu' »On en a eu 4 au premier semestre donc à ce rythme-là, on sera probablement même plus que ça! Aujourd’hui, on en a 7 ou 8 mais je vous rappelle qu’on est resté très longtemps à 3 ou 4″.

L’emergence est donc bien au rendez-vous dans la French Tech et elle est là pour durer selon le patron de l’innovation de Bpifrance. »Il faut bien voir que, ce qui est en train de se passer, c’est un système, ce n’est pas une loterie où, tout d’un coup, apparaissent des jetons de loto et des licornes » précise Paul-François Fournier.
« C’est un système de créations de start-up, parce qu’il y a une vraie logique entrepreneuriale qui se développe, un écosystème du capital-risque français qui est passé d’un à cinq milliards, et qui va passer à dix milliards ».

« Donc tout ça se construit, petit à petit et fait en sorte que notre écosystème est en train de devenir le leader européen » explique Paul-François Fournier, tout en précisant que le developpement des start-up ne fait pas d’ombre aux entreprises classiques, notamment du secteur de l’industrie, en attirant tous les capitaux. « La croissance de ces start-up fait du rapprochement entre la French Tech et la French Fab » démontre-t-il en prenant pour exemple Ynsect, nouvelle licorne de production de nourriture pour animaux à base d’insectes, qui s’apprête à ouvrir une nouvelle usine de production.


La bonne gestion du parc informatique fait partie des conditions indispensables pour assurer une bonne organisation et un management opérationnel optimal. L’entreprise, quelle que soit sa taille, pourra ainsi renforcer la sécurité de ses données, augmenter la fiabilité du matériel et garantir un confort d’utilisation accru aux équipes de travail. Alors, quelles sont les solutions pour une gestion du parc informatique réussie ? Voici quelques pistes.

Par Franck Boccara

Les outils de gestion

On peut trouver, sur le marché, plusieurs outils de gestion du parc informatique, notamment des logiciels très performants qui vous permettront de gérer toutes sortes de parcs informatiques grâce à des packs qui varient selon les thématiques et les secteurs d’activités (SSII / Génie Biomédical…). Parmi ces logiciels, on peut citer par exemple ISTM Octopus. Il faudra tout de même certaines compétences et une période d’apprentissage pour bien maitriser ces solutions qui s’avèrent efficaces pour assister le directeur technique dans le suivi du réseau intranet.

La CMDB

La CMDB (Configuration Management Data Base) est un outil clé dans la gestion du parc informatique dont le rôle est de regrouper les données, techniques, financières et administratives ayant attrait au parc, qu’il soit matériel ou logiciel. La CMDB fournit une analyse précise de la fiabilité et de la puissance de votre système informatique.

Il faudra absolument s’assurer que votre outil de gestion soit capable d’intégrer la gestion de la CMDB.

Externaliser la gestion du parc

Cette solution peut convenir à des PME faisant le choix de ne pas recruter de directeur technique ou informatique pour différentes raisons. Elles pourront faire appel à des agences qui offrent un service de gestion du parc informatique par des informaticiens expérimentés qui prendront la main sur votre système grâce à leur propre outil de gestion, performant et bien à jour.

Cette option vous permettra d’éviter des contretemps coûteux tels que les pannes et les heures d’inactivité qu’elles entrainent puisque ces agences sont en mesure de prévenir et d’anticiper les pannes avant même qu’elles ne touchent votre système. Elles peuvent également intervenir à distance et effectuer des mises à jour sur vos postes et serveurs.

Opter pour un parc informatique homogène

Un matériel informatique et des logiciels homogènes et standardisés permettront d’optimiser le fonctionnement du parc par une gestion et une maintenance plus simple tout en réduisant les coûts de gestion à moyen terme.

Pour cela, Il est avant tout primordial de bien connaitre vos besoins. Il faudra cerner les enjeux que rencontrent vos employés et les joindre à la prise de décision car certains postes nécessitent du matériel particulier.

Pour gagner du temps, éviter cette mobilisation des ressources humaines et effectuer les bons choix, il est possible de faire appel à un manager de transition spécialisé en informatique. Ce type de professionnel, sous contrat d’intérim, vous aidera à trouver des solutions efficaces pour l’organisation de votre parc.

Un plan triennal

L’ensemble des spécialistes et utilisateurs de parc informatique estiment que la longévité des matériels et des logiciels est, en moyenne, de trois ans. Il est donc fortement conseillé de prendre en compte ce délai pour le rafraichissement de votre parc informatique. D’ailleurs, la plupart des garanties offertes par les concepteurs ainsi que l’assurance d’effectuer facilement vos mises à jour ne dépassent pas cette période.


Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

Le baromètre « Croissance et Digital » de l’Acsel (Association pour le commerce et les services en ligne) a compilé dans la 3e édition les données sur l’impact de la transformation digitale des PME et ETI françaises en précisant les évolutions et les freins qu’elles rencontrent.

Par la rédaction

L’ACSEL et ses partenaires (Google, Salesforce, Solocal, la CCI Paris Ile-de-France, le METI, Prestashop et le MBA DMB) montrent tout d’abord, à travers le 3ème baromètre « Croissance et Digital », que les entreprises qui sont déjà engagées dans leur transformation digitale ont 2,2 fois plus de probabilité d’être en croissance que celles qui n’ont pas encore entamé ce processus.

Parmi les entreprises interrogées, l’immense majorité (77 %) admet que le digital représente un levier pour leur croissance. Quant aux ETI, ce pourcentage s’élève chez elles à 87% avec une augmentation de 8 points par rapport à 2017. C’est donc 64% des ETI qui ont pleinement entrepris leur digitalisation.

Les digital champions

64% de ces entreprises (essentiellement des PME) qui ont réussi leur transformation digitale et qui en tirent des profits déclarent à 64% avoir eu de meilleurs résultats en 2018, contre 45% pour le total du panel. Ces digital champions misent de façon unanime sur une croissance pour l’année 2019 contre seulement 46% pour les autres entreprises. Force est de constater que le numérique reste un vecteur de croissance sur lequel il est quasiment impossible de faire l’impasse.

Les freins à la transformation digitale

Le Temps (54%) et l’argent (49%) restent les principaux obstacles à la transformation numérique des PME et ETI. Cependant, les données de l’Acsel pointent également du doigt la complexité de mise en oeuvre (39%), due en général à un manque de coordination dans les entreprises, dans la mesure où le digital n’afflue pas suffisamment dans tous les services et reste très cantonné à la communication et à l’IT. Enfin, 36% des entreprises avouent tout simplement un manque de formation.

Les 4 bonnes pratiques pour réussir sa transformation

D’après le baromètre « Croissance et Digital » , les PME et ETI doivent mettre en place 4 bases pour se digitaliser :
– Une politique « volontariste » de l’entreprise.
– Une équipe dédiée avec des liens forts vers les autres services de l’entreprise.
– Une bonne connaissance client. 
– Pour les marchands, créer une stratégie phygitale (stratégies physique et web complémentaires). Cette stratégie a permis aux entreprises qui l’ont adopté de constater une augmentation des ventes de 86%, une amélioration de la satisfaction client de 78% et une meilleure efficacité opérationnelle de 69%.

Etude réalisée par IPSOS / février 2019
Cible : dirigeants et décisionnaires d’entreprises prenant part à la transformation digitale
Echantillon de 600 répondants : 450 interviews de PME et ETI de 20 à 4999 salariés.

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