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Business France

Les rencontres Russie de Business France sont un rendez-vous d’affaires à ne pas manquer pour aborder le marché russe ou renforcer votre présence sur place. La Russie, 11ème économie mondiale, connait une reprise de croissance depuis 2018 et met en place une statégie d’investissement pour doper sa compétitivité et diversifier son économie. Cet effort s’oriente notamment vers les secteurs de la santé, de l’agriculture, de la transformation agroalimentaire, des infrastructures de transports ou encore des services innovants. Les grandes entreprises françaises sont déjà bien présentes sur ces secteurs et leur image est bonne, ce qui offre à nos PME et ETI de réelles opportunités.

En effet, la France est le 6ème fournisseur mondial de la Russie et premier employeur étranger sur place. Cette présence tricolore offre des opportunités énormes pour les PME et ETI ayant des produits et services innovants et adaptés à ce marché de 146 M d’habitants.
De plus, la création de l’Union Economique Eurasiatique dont sont membres la Russie, le Kazakhstan, la Biélorussie, l’Arménie et le Kirghizstan ouvre des horizons supplémentaires pour nos entreprises.

Un nouveau dispositif d’accompagnement de la Team France Export en Russie vient d’être lancé le 1er juillet 2019 et vous sera présenté lors de cette journée des rencontres Russie.

Le programme des rencontres Russie

Programme provisoire et susceptible de modification 

Débats animés par Arnaud FLEURY, journaliste économique

Mercredi 16 octobre
08h00 – Accueil des participants
09h00 – Allocutions d’ouverture en séance plénière
  • Christophe LECOURTIER, Directeur Général de Business France 
  • Sylvie BERMANN, Ambassadeur de France en Russie (à confirmer)
  • Mikhail MAKAROV, Représentant de l’Ambassade de Russie ou de la Représentation commerciale de la Russie 
09h30 – La situation macro-économique et l’environnement des affaires en Russie
  • Patrick ERBS, chef du service économique Russie et CEI
  • David LASFARGUE, Président de la section CCE Russie
10h30 – Ecosystème d’appui aux entreprises – nouveau dispositif Business France en Russie
  • Hélène BURIEV, Conseillère Appui aux entreprises, Service économique régional de Moscou
11h00 – Pause-café / Networking
11h15 – Tables rondes sectorielles

Industries et Cleantech – Projets industriels en Russie

Transformation agroalimentaire – opportunités pour des entreprises françaises

  • Nicolas LESYK, directeur du bureau de la représentation CLEXTRAL en Russie, CCE 
  • Nicolas DUCRET, CCIFR 

Santé et biens de consommation. (Marché des dispositifs médicaux, services de santé et produits pharmaceutiques. Bien de consommation, cosmétiques, habillement, luxe…)

  • Sophie LANFRANCHI, DUALEST
  • Jérôme GAVET, directeur SERVIER Russie et Eurasie, Président du Club Santé Russie, CCE
13h15 – Point V.I.E.
13h30 – Déjeuner de réseau / Networking
14h30 – 17h00 – Rendez-vous d’affaires individuels avec les experts et la délégation des entreprises russes. 

19h00 – Cocktail networking (à confirmer)

Les partenaires des rencontres Russie

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

L’innovation et la créativité font partie integrante de la culture économique francaise. Cependant, le nombre de brevets déposés à l’INPI tournent autour de 17 000 par an, ce qui ne reflète pas vraiment le dynamisme innovant de notre pays. Ce décalage indique clairement que la France doit faciliter et renforcer la protection de l’innovation dans un contexte mondial toujours plus concurrentiel. C’est précisement le sens du volet « propriété industrielle » de la loi PACTE promulgué le 23 mai dernier.

Par Serge de Cluny

Les entreprises françaises, quelle que soit leur taille, bénéficieront désormais d’un accès simplifié aux titres de propriété industrielle et ceux-ci verront leur solidité se renforcer. Les dispositions de la loi PACTE vont permettre aux PME et ETI d’accéder à la protection de leur propriété intellectuelle de facon plus simple, plus progressive et plus flexible grâce à des outils tels que la demande provisoire de brevet, la prologation du certificat d’utilité ou encore le brevet à examen approfondi.

La loi Pacte va par ailleurs renforcer la solidité des titres de propriété industrielle français et accroitre la confiance et la sécurité juridique de ces titres par des mesures telles que l’examen de l’activité inventive ou encore la mise en place de l’opposition administrative.
Ce volet « propriété industrielle de la loi Pacte » et les mesures qui vont avec représentent une amélioration historique de notre système de protection de l’innovation et c’est précisement la raison pour laquelle le gouvernement a choisi de l’inscrire dans la grande réforme économique de ce quinquennat.

L’INPI (Institut National de la Propriété Industrielle) ainsi que l’ensemble des acteurs de l’écosystème de la propriété industrielle sont résolument décidés à accompagner les entreprises françaises dans cette direction. Les partenaires historiques de l’INPI (Bpifrance, le Medef, Business France, les régions et en premier lieu les conseils en propriété industrielle) seront, de fait, impliqués dans cette évolution qui se fera sous le signe de la dématérialisation des procédures. Celle-ci, initiée depuis quelques années et achevée sous peu, va permettre à l’INPI de remobiliser des ressources humaines et financières et de mettre en place les outils et les accompagnements nécessaires à l’organisation de ce nouveau système.

L’INPI, présente dans toutes les régions de l’hexagone et à l’international, semble clairement obtenir les moyens de la réussite dans son rôle d’accompagnement et d’aide aux PME et ETI françaises pour protéger leur droit de propriété intellectuelle et par là même de renforcer leur compétitivité et celle de notre économie.

Le French Fintech Tour 2019 se tiendra, pour sa troisième édition à Londres et à Dublin du 2 au 4 juillet 2019. Organisé par Business France, l’évènement vise à accélérer, à travers un roadshow de 3 jours, le développement de Fintechs françaises au Royaume-Uni et en Irlande. Les entrepreneurs français pourront interagir avec les écosystèmes financiers britanniques et irlandais par le biais de conférences, d’évènements de networking et et de rencontres B2B.

Londres reste la capitale mondiale de la Fintech malgré quelques incertitudes liées à la situation politique actuelle et au Brexit. En 2018, plus de 50% des « deals » d’investissements Européens dans ce domaine ont été signé au Royaume-Uni avec un revenu annuel total estimé à 26 milliards dollars.

Le French Fintech Tour 2019 se tiendra, pour sa troisième édition à Londres et à Dublin du 2 au 4 juillet 2019. Organisé par Business France, l’évènement vise à accélérer, à travers un roadshow de 3 jours, le développement de Fintechs françaises au Royaume-Uni et en Irlande. Les entrepreneurs français pourront interagir avec les écosystèmes financiers britanniques et irlandais par le biais de conférences, d’évènements de networking et et de rencontres B2B.

Avec un gouvernement en soutien actif, un cadre réglementaire d’avant-garde et une culture économique axeé vers l’innovation, le Royaume-Uni repésente une terre d’accueil propice au développement des jeunes pousses de la Fintech et d’attire des entrepreneurs venus du monde entier.
« Au Royaume-Uni, une startup sur deux est lancée par un étranger. Ça fait une énorme différence, et ce côté très international permet aux Fintechs d’attirer des très bons profils, les poids lourds du secteur », explique Philippe Gelis, co-fondateur et CEO de Kantox, Fintech multinationale spécialisée dans la gestion du change.
Le pays compte d’ailleurs nombre de programmes d’accélération et incubateurs de pointe dans la Fintech, comme le Startup Bootcamp FintechLevel 39 ou encore l’incubateur de Barclays, Rise.

L’objectif du French Fintech Tour 2019 sera donc clairement de connecter chaque Fintech à de potentiels clients, partenaires, mentors ou investisseurs.

⇒ Tout savoir sur le French Fintech Tour UK : https://events-export.businessfrance.fr/frenchfintech/
⇒ Votre contact connaitre les opportunités du marché anglais et l’accompagnement de Business France pour les fintech : Emmanuelle DROUINEAU – emmanuelle.drouineau@businessfrance.fr

La France fait son entrée dans le top 5 des pays les plus attractifs pour les investissements étrangers, selon le cabinet A.T. Kearney. Cette étude très sérieuse menée par le célèbre cabinet de conseil américain montre clairement que la confiance des investisseurs dans l’économie française a connu une forte augmentation depuis l’élection d’Emmanuel Macron. Plus étonnant, cette attractivité n’a pas été impactée par le mouvement des gilets jaunes.

Par Serge de Cluny

Ces chiffres encourageants viennent confirmer le recensement effectué par Business France en avril qui indique qu’en 2018, 1.323 décisions d’investissements étrangers ont été prises contre 1.298 en 2017. Ce qui représente une moyenne d’environ 25 projets par semaine. Ces investissements ont permis de créer ou de maintenir 30.302 emplois en 2018 contre 33.489 en 2017 qui fut une année record pour la dernière décennie.

La confiance dans la bonne santé de l’économie française, qui « a fortement augmenté depuis l’élection d’Emmanuel Macron en 2017 », n’a pas été « affectée par le mouvement des gilets jaunes », souligne le cabinet qui estime que la France « reste compétitive ».

D’après ce même indice publié lundi par A.T. Kearney , 77% des entreprises prévoient d’augmenter leur niveau d’investissement pour les trois années à venir.

Infographie: La France séduit les investisseurs étrangers | Statista

Les Etats-Unis toujours en tête

Pour la 7ème année consécutive, les Etats-Unis gardent leur place de leader du classement des pays les plus attractifs pour les investissements étrangers. Ce succès s’explique par son vaste marché domestique, sa fiscalité avantageuse et ses capacités technologiques, toujours d’après A.T. Kerney. Viennent ensuite l’Allemagne, le Canada et le Royaume Uni qui garde sa quatrième place en dépit de la perspective du Brexit. La France est la nouvelle venue dans ce « top 5 » avec une attractivité qui passe devant celle de la Chine.

Perte de vitesse de la Chine

La Chine, qui tenait la tête de ce classement entre 2002 et 2012, chute à la 7ème place, ce qui amène son classement au plus bas depuis l’existence de cet indice voilà 20 ans. Les principales raisons apportées par le cabinet de conseil pour comprendre cette dégringolade sont le ralentissement de la demande intérieure, le recul des exportations, les inquiétudes croissantes sur le niveau d’endettement des entreprises chinoises ainsi que l’impact de la guerre commerciale avec les Etats-Unis.

L’autre éclairage interessant que nous fournit A.T. Kerney dans ce classement est que « 22 des 25 premières places sont occupées par des pays développés ». L’explication, selon le cabinet de conseil, tient dans l’importance que les investisseurs accordent à la question « de la gouvernance et de la régulation ».

« Le Gabon : un marché d’Afrique centrale en voie de diversification » : c’est le titre du colloque qu’organise Business France le 29 mars 2019 au Palais du luxembourg afin de présenter le plan stratégique « Gabon émergent ». Un rendez-vous à ne pas manquer pour les PME et ETI qui veulent développer leurs activités en Afrique.

Le projet “Gabon émergent”

Le projet consiste à mettre en application une stratégie axée sur trois piliers de croissance dont le ressort est la valorisation du potentiel en ressources humaines, naturelles et minéralières du Gabon.

  • Le “Gabon industriel” : valoriser localement des matières premières et l’exportation de produits à haute valeur ajoutée.
  • Le “Gabon vert” : se positionner en pionnier sur l’un des défis majeurs du XXIe siècle : l’effort mondial de préservation de l’environnement et de lutte contre le réchauffement climatique.
  • Le “Gabon des services” : devenir une référence régionale dans des domaines tels que les services financiers, les nouvelles technologies de l’information, les métiers de services.

La France occupe une place prépondérante dans le stock d’IDE au Gabon, puisqu’on y recense une centaine de filiales d’entreprises françaises dans des secteurs très divers : exploitation pétrolière, secteur minier, bois, agroalimentaire, BTP, services financiers, concessions d’eau et d’électricité.

Cette rencontre vous permettra de découvrir le plan stratégique « Gabon émergent » et de vous positionner en amont sur les marchés concernés pour remporter des contrats et rencontrer des partenaires potentiels.

INSCRIVEZ-VOUS !

  • Contact : Adèle GIRON
  • Frais de participation : 190€ HT
  • Adresse : Sénat (Palais du Luxembourg – Salle Clémenceau) – 15 rue de Vaugirard – 75006 Paris

Les relations bilatérale France-Gabon

Relations économiques

La France est le premier fournisseur du Gabon, avec une part de marché d’environ 25%, devant la Côte d’Ivoire et la Chine. Les exportations françaises au Gabon s’élevaient à 432 M€ en 2017 (soit une chute de 42% par rapport aux 750M€ de 2012). Les importations françaises en provenance du Gabon s’élevaient à 113M€ en 2017 (en baisse de 24% sur la période 2013-2017). Les importations françaises concernent le secteur des hydrocarbures (48% des importations) mais également la filière du bois et le manganèse.
On compte 110 entreprises françaises au Gabon, elles génèrent environ 13 000 emplois et réalisent un chiffre d’affaires évalué à 3.23 Mds€.
L’AFD intervient au Gabon, sous forme de prêts souverains (financement d’infrastructures et de projets sociaux), et par un prêt de soutien budgétaire (225 M€ sur 2017 – 2019).

Relations culturelles, scientifiques et techniques

Afin de soutenir le programme « Gabon vert » , la France a signé en 2008 un accord de conversion de dette (60,4 M€ intérêts compris), intégralement affecté à la gestion durable des écosystèmes forestiers et au développement de l’économie de la filière bois/forêt. Co-piloté par la partie française et la partie gabonaise, l’accord a notamment permis le financement d’un plan de lutte contre le braconnage des éléphants et du projet de surveillance satellitaire développé par l’agence gabonaise d’études et d’observations spatiales.
Dans le domaine de la coopération culturelle, l’Institut français du Gabon (IFG) a pris la suite en 2011 du Centre culturel français (CCF) Saint-Exupéry de Libreville. Il œuvre, entre autres, à la valorisation de la culture française et développe des partenariats avec les acteurs de la vie artistique locale.
La coopération scientifique et de recherche menée avec le Gabon concerne essentiellement le secteur de la recherche médicale avec l’appui apporté au Centre international de Recherche médicale de Franceville (CIRMF), centre de référence régional de l’OMS pour le diagnostic des fièvres hémorragiques virales.

La coopération militaire

Les Eléments français du Gabon (EFG) mettent en œuvre la coopération militaire opérationnelle et technique avec l’ensemble des pays de la CEEAC.

La Team France Export, dispositif d’accompagnement à l’export des entreprises françaises à l’étranger, a été lancée à la Résidence de France à Rabat lundi 18 février. Ce fut l’occasion de célébrer le renouvellement du partenariat entre Business France et la CFCIM qui entament maintenant leur 7année de collaboration.

Par Franck Boccara

La Team France Export, initiée par le Premier ministre Edouard Philippe, constitue l’un des pivots de la stratégie gouvernementale pour le commerce extérieur. Sa fonction consiste à rendre le dispositif d’appui aux entreprises à l’international plus accessible et plus simple afin de mieux accompagner les entreprises dans leurs besoins en matière d’aide à l’export. 

La cérémonie de lancement de la Team France Export au Maroc a eu lieu ce lundi 18 février 2019 à la Résidence de l’Ambassadeur de France au Royaume chérifien, Jean-François Girault. L’évènement s’est tenu en présence de Christophe Lecourtier, Directeur général de Business France en visite au Maroc, de Philippe-Edern Klein, Président de la Chambre de Commerce Française au Maroc (CFCIM) et de Laurent Dupuch, Président des Conseillers du Commerce Extérieur de la France dans le pays.

Afin de développer leur coopération au service des intérêts économiques français, l’Ambassade et la CFCIM ont signé un mémorandum d’entente dans ce sens comme l’a souligné Jean-François Girault : « Notre rencontre est un appel à la mobilisation de tous les partenaires de l’action économique de la France. Dans un contexte mondial de concurrence croissante, notre engagement doit être déterminé et collectif ».

Christophe Lecourtier, le directeur général de Business France a déclaré lors de sa prise de parole que « Business France s’est associée de manière ambitieuse avec la CFCIM, acteur de référence au Maroc, dans un partenariat public-privé inédit. La Team France Export au Maroc, marché essentiel à l’échelle du Maghreb et du continent africain, est une simplification et une clarification du service public d’accompagnement à l’export. C’est également un message positif tant à l’adresse de la communauté d’affaires française et marocaine, qu’à celle des entreprises basées en France souhaitant se développer dans le pays ». 

Philippe-Edern Klein, président de la CFCIM, a affirmé de son côté que « la Chambre de Commerce est fière d’avoir été choisie pour cette mission d’accompagnement des PME et ETI (entreprise de taille intermédiaire) françaises et de rejoindre ainsi la Team France Export. La CFCIM sera à même de contribuer à l’accélération des mouvements d’affaires entre la France et le Maroc. C’est donc avec confiance que nous envisageons la mise en place de ce partenariat et l’atteinte de nos objectifs communs ».

Il est toutefois nécessaire de préciser que la CFCIM est à l’heure actuelle délégataire de la concession de service public d’accompagnement à l’export des TPE et TPI. Ayant récemment remporté l’appel d’offres de Business France, elle renouvelle donc le partenariat qui avait été signé avec l’Agence en 2012. La CFCIM restera de ce fait le seul et unique correspondant des entreprises françaises désirant investir ou s’implanter au Maroc et travaillera pour cela en étroite coordination avec l’Ambassade de France.

Le salon des entrepreneurs 2019 se tiendra les 6 et 7 février prochain pour sa 26e édition ! Vous avez un projet innovant et souhaitez financer votre développement, vous êtes futur dirigeant ou repreneur ou vous cherchez une idée ? Ne manquez pas le plus grand rassemblement d’entrepreneurs d’Europe !

Venir au Salon des Entrepreneurs, c’est s’inspirer de l’expérience de grandes réussites, développer son réseau, se donner les moyens et chercher l’opportunité qui permettra de faire aboutir ses projets d’entreprise.

AU PROGRAMME

  • 2 000 experts mobilisés pour vous apporter des conseils sur mesure,
  • 400 partenaires et exposants parmis lesquels Bpifrance, CCI, Business France et le Medef
  • 200 conférences et ateliers pour vous former gratuitement,

LES TEMPS FORTS

  • Le débat d’ouverture : « Let’s do it ! Idées et tendances pour créer et se développer en 2019 » en présence de Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance
  • International : « French Touch : secrets et bonnes pratiques pour vendre et cartonner à l’étranger »
  • Financement :  « Panorama des solutions pour financer votre projet et vous développer »
  • Plénière de clôture : « Jeunes & entrepreneurs, ils osent tout ! »

Voir le Programme complet 

INFORMATIONS

  • Dates : 6 & 7 février 2019
  • Horaires : mercredi de 9h à 19h et jeudi de 9h à 18h30
  • Lieu : Palais des Congrès de Paris – Porte Maillot

INSCRIVEZ-VOUS !

Investir au Nigéria….pourquoi pas ! Avec plus de 190 millions d’habitants et l’émergence d’une classe moyenne à fort pouvoir d’achat, Le Nigéria est la première économie du continent africain. Le pays regorge d’opportunités pour les PME et ETI françaises. Bpifrance vous propose de venir les découvrir le 14 novembre prochain. Un rendez-vous à ne pas manquer pour mieux connaitre l’Afrique anglophone. Le programme
  • Mot d’introduction
Paul-François Fournier, Directeur de l’Innovation Bpifrance
  • Table-ronde 1 : Panorama de la culture des affaires au Nigéria
Pierre-Ange Savelli, Adjoint au Chef du bureau « Afrique-AFD » – Direction générale du Trésor, Ministère de l’économie et des finances Wilfrid Lauriano da Rego, Associé – KPMG Abimbola Akeredolu, Associée – Cabinet Banwo-Ighodalo
  • Table-ronde 2 : Expériences et Opportunités de marché au Nigéria
Sébastien Etcheverry, Responsable MOAD Shipping & Manutention Conventionnelle – BOLLORE, Maxime Boadji, CEO et Cofondateur – Yellow Relay Marcel Hochet, Président et Fondateur – Greenelec
  • Table ronde 3 : Accompagnement/financement pour les entreprises françaises
Pedro Novo, Directeur des financements export – Bpifrance, Hakim Khelifa, Directeur Associé – Africinvest Jonathan Sinivassane, Directeur Business Development India, Middle East and Africa, International Investment Promotion – Paris&co

Informations pratiques

  • Événement  Visez le Nigeria
  • Date : 14 novembre 2018
  • Lieu : Bpifrance le Hub
  • Adresse : 6-8 bd Haussmann 75009 Paris
  • Horaires : 8h45 -14h
  • Inscription obligatoire 
Les relations économiques France-Nigéria Avec 3,6 Mds€ d’échanges bilatéraux en 2017, le Nigéria demeure le premier partenaire commercial de la France en Afrique subsaharienne (soit 20% de nos parts de marché en Afrique sub-saharienne en 2017). Nos exportations (1,07 Md€ en 2017) sont diversifiées : produits pétroliers raffinés, préparations pharmaceutiques, équipements mécaniques, matériel électrique, électronique et informatique et produits des industries agroalimentaires. Nos importations (2,48 Mds€ en 2017) sont principalement composées de produits pétroliers. Le Nigéria maintient son rang de 5e fournisseur d’hydrocarbures naturels de la France et le 1er d’Afrique subsaharienne. 
Le stock d’IDE français au Nigéria est de 6,5 Mds€ en 2016 (Banque de France) soit le 2ème stock d’IDE français en Afrique derrière le Maroc.
Le service économique régional, qui est basé à Abuja et Lagos (http://www.ambafrance-ng.org/La-Mission-economique), accompagne les entreprises françaises voulant investir au Nigéria avec l’aide du bureau Business France (http://export.businessfrance.fr/nigeria/export-nigeria-avec-notre-bureau.html), qui a ouvert à Lagos en janvier 2016. Environ 120 entreprises françaises sont actives au Nigéria.
Un petit- déjeuner sera organisé par Business France le jeudi 4 octobre 2018 à Paris dont le thème portera sur les financements de l’AFD (Agence Française de Développement en Chine). Un rendez-vous à ne pas manquer pour les PME et ETI des secteurs du développement durable et de la protection de l’environnement. Par la rédaction La Chine connaît une urbanisation accélérée qui entraîne une forte augmentation de l’empreinte énergétique des villes, de la pollution locale et des émissions de gaz à effet de serre. L’enjeu environnemental se trouve au coeur du dialogue stratégique entre la France et la Chine. Présente en Chine depuis 2004, l’AFD développe des actions de coopération en matière de développement durable, de protection de l’environnement et de lutte contre le changement climatique, s’inscrivant dans le cadre des différents accords intergouvernementaux signés entre la France et la Chine. Plus spécifiquement, les interventions de l’AFD en Chine répondent aux objectifs suivants : – accompagner la transition du pays vers une économie sobre en carbone et respectueuse de l’environnement; – nourrir les partenariats France-Chine en matière de promotion du développement durable, en soutenant des opérations pilotes, porteuses de changement, qui participent à l’amélioration des pratiques locales et à l’introduction de nouvelles technologies. Au travers des projets qu’elle finance, l’AFD vise ainsi à mobiliser et valoriser l’expertise et les acteurs français de la filière verte.
  • Jeudi 4 octobre 2018 – France, Business France (77 boulevard Saint Jacques – 75014 Paris)
  • Organisateur(s) : Business France – Service organisations internationales et bailleurs de fonds
  • Contact : Nathalie ISSA
  • Téléphone : +33 (0)1 40 73 38 58
Frais de participation à partir de 120,00€ HT
Inscription en ligne :
Les relations économiques France-Chine en bref La Chine est le 6e partenaire commercial de la France,
son 8e client,
son 2e fournisseur,
Plus de 1100 entreprises françaises présentes en Chine, représentant 570 000 emplois. Au plan économique, le rééquilibrage de nos échanges « par le haut » constitue un objectif prioritaire, rappelé à l’occasion de la visite présidentielle. La Chine est le 6e partenaire commercial de la France, son 8e client (la part de marché française en Chine est de 1,6%) et son 2e fournisseur (la part de marché chinoise en France est de 9%). 
Nos échanges commerciaux restent marqués par un fort déséquilibre : la Chine est le 1er déficit commercial bilatéral de la France (30,2 Mds EUR en 2017) devant l’Allemagne. Les investissements croisés sont en plein essor. La présence française en Chine est ancienne (33 Mds EUR d’IDE en stock) et concerne tous les secteurs : agroalimentaire, industrie, transports, développement urbain, grande distribution, services financiers. Plus de 1100 entreprises sont présentes en Chine représentant 570 000 emplois. Les investissements chinois en France ont connu une forte croissance ces dernières années (6 Mds EUR en stock). 700 filiales d’entreprises chinoises et hongkongaises y sont établies employant 45 000 personnes. La France soutient les investissements chinois créateurs d’emplois et s’inscrivant dans des partenariats équilibrés de long terme. Le partenariat économique se traduit par la consolidation de coopérations industrielles structurantes dans le nucléaire civil et l’aéronautique (Hinkley Point C, EPR de Taishan qui entrera en service en 2018, coopération en matière de retraitement-recyclage des déchets nucléaires ; chaîne d’assemblage de l’A320 et de finition de l’A330 à Tianjin) et leur élargissement à de nouveaux secteurs (développement durable, santé, économie du vieillissement, innovation, services financiers notamment). Dans l’agroalimentaire, les deux parties se sont accordées, lors de la visite présidentielle, à favoriser les échanges de façon prioritaire dans les six mois en matière d’exportation de viande bovine.
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