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Services Managés : l’allié invisible de la performance entreprise

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L’article souligne l’importance des services managés informatiques pour les PME, offrant une solution complète englobant maintenance proactive, surveillance des réseaux, et gestion avancée de la sécurité. Cette approche permet aux PME de bénéficier d’une expertise spécialisée sans créer des équipes internes coûteuses, favorisant ainsi la concentration sur le cœur de métier et la croissance.

Par Nina Oussadi – Chargée de développement chez Izencia

 Les services managés, c’est quoi ?

Les services managés informatiques constituent un ensemble de solutions bien plus étendu que la simple délégation de tâches techniques. En effet, ils englobent une série de prestations essentielles à la bonne marche des systèmes informatiques des entreprises. Cela inclut une maintenance proactive des infrastructures, une surveillance continue et proactive des réseaux pour détecter les éventuelles anomalies ou menaces, ainsi qu’une gestion avancée de la sécurité des données.

Nina Oussadi – Chargée de développement chez Izencia

Ce qui rend cette approche si bénéfique pour les PME, c’est qu’elle leur offre une expertise spécialisée sans l’obligation de constituer des équipes internes coûteuses. Les entreprises peuvent ainsi s’appuyer sur des professionnels qualifiés et expérimentés pour gérer leurs besoins informatiques complexes. Cette externalisation permet également aux PME de se concentrer pleinement sur leur cœur de métier et leur croissance, sans se soucier des aspects techniques et complexes de la gestion des systèmes informatiques.

L’Investissement Raisonnable des PME dans les Services Managés

L’investissement des PME dans des services managés se justifie par plusieurs raisons fondamentales. En premier lieu, la gestion maîtrisée des coûts opérationnels est cruciale pour ces entreprises. Les services managés offrent une tarification claire et prévisible, éliminant ainsi les imprévus financiers liés aux pannes systèmes ou aux mises à niveau imprévues. Cette stabilité budgétaire permet aux PME de mieux planifier leurs dépenses et d’éviter les coûts inattendus pouvant impacter leur rentabilité.

Sécurité Renforcée dans un environnement Cybernétique en Évolution

La sécurité représente une préoccupation majeure. Avec l’évolution constante des menaces cybernétiques, les PME se retrouvent vulnérables face à ces attaques. Les services managés fournissent une sécurité digitale renforcée en proposant une surveillance proactive des réseaux, des sauvegardes régulières des données sensibles et une réactivité immédiate face aux incidents de sécurité. Cette approche proactive des services managés permet de minimiser les risques de pertes de données ou d’atteintes à la confidentialité, préservant ainsi la réputation et la confiance des clients de ces PME.

En somme, les services managés sont non seulement une garantie de stabilité budgétaire mais aussi une bouée de sauvetage en matière de sécurité pour les PME, leur permettant ainsi de se concentrer sur leur activité principale sans craindre les obstacles techniques ou les cybermenaces incessantes.

Avantages Tangibles des Services Managés pour une Performance Optimale

Les avantages tangibles des services managés pour les PME vont bien au-delà d’une simple liste de bénéfices. La sécurité renforcée représente l’un des piliers fondamentaux : elle assure une protection fiable des données sensibles, offrant ainsi une tranquillité d’esprit inestimable quant à la confidentialité des informations vitales de l’entreprise. Parallèlement, la disponibilité 24/7 des systèmes constitue un atout majeur, minimisant les interruptions opérationnelles et assurant une continuité sans faille dans les activités.

La flexibilité inhérente à ces services est également un point crucial. Elle permet aux PME de s’adapter rapidement aux fluctuations de la demande ou de la croissance, offrant ainsi une agilité indispensable dans un environnement commercial dynamique.

De ce fait, les équipes internes sont libérées des tâches techniques récurrentes, ce qui accroît leur productivité et leur permet de se concentrer davantage sur des aspects stratégiques du développement commercial. Cette optimisation des ressources humaines favorise une approche plus orientée vers l’innovation et la croissance, renforçant ainsi la compétitivité de l’entreprise sur le marché.

Choisir le Bon Service Managé : Une Décision Cruciale

Choisir le bon service managé représente une décision stratégique majeure pour les PME. Cela nécessite une analyse minutieuse et approfondie des besoins spécifiques de l’entreprise, en tenant compte de sa taille, de ses objectifs, et de ses contraintes opérationnelles. Cette évaluation rigoureuse permet d’identifier les services informatiques essentiels à externaliser.

En parallèle, une évaluation détaillée des capacités des prestataires de services est cruciale. Cela implique d’examiner leur expérience, leur expertise dans le domaine, ainsi que la qualité de leur support technique et de leur service client. Les références et les retours d’autres entreprises utilisant ces services peuvent également fournir des indications précieuses sur leur fiabilité et leur efficacité.

La flexibilité des offres de services est un autre point important à considérer.

Les PME doivent rechercher des solutions évolutives, capables de s’adapter à la croissance ou aux changements de l’entreprise. La compatibilité avec les technologies existantes et la capacité à intégrer de nouvelles innovations sont également des critères de choix pertinents pour assurer la pérennité des services informatiques.

En résumé, le choix d’un service managé adéquat pour une PME repose sur une analyse approfondie des besoins spécifiques, une évaluation méticuleuse des fournisseurs potentiels, ainsi qu’une anticipation des besoins futurs pour garantir une solution adaptée et durable.

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Trois exemples concrets :
1. Une PME industrielle exporte du matériel en Angola Facturation en dollars pour contourner la volatilité du kwanza (AOA). Mais entre la commande et le paiement, le dollar se déprécie de 8 % face à l’euro : la marge nette s’effondre. 2. Une ETI signe un contrat de maintenance en Zambie, payé en kwacha (ZMW). Le contrat est signé à 1 EUR = 25 ZMW. Trois mois plus tard, le kwacha chute à 1 EUR = 30 ZMW. Résultat : une perte de 16,7 % sur les flux encaissés localement. 3. Une entreprise agroalimentaire investit au Nigeria. Les profits sont réalisés en nairas (NGN), mais rapatriés en euros. Le gouvernement introduit des restrictions sur l’accès aux devises. Résultat : impossibilité de convertir les profits et blocage des dividendes.

Comprendre les différentes formes de risque de change

• Risque de transaction : lié à l’achat ou à la vente de biens/services en devises étrangères. • Risque de conversion : lors du rapatriement de bénéfices réalisés localement. • Risque économique : impact des variations de change sur la compétitivité prix à moyen/long terme. • Risque de liquidité en devises : difficulté à convertir la monnaie locale en devises fortes (EUR, USD), même si le taux de change est favorable.
Trois cas concrets et chiffrés
Cas 1 – Exportation en Angola (monnaie : Kwanza – AOA) • Une PME facture 500 000 USD à un client local en août 2024. • À la signature, 1 EUR = 1,10 USD. En décembre, 1 EUR = 1,20 USD. • Impact : le paiement reçu équivaut désormais à 416 667 EUR au lieu de 454 545 EUR, soit une perte latente de 37 878 EUR (8,3 % de la transaction). • Origine de la perte : absence de couverture du taux EUR/USD. Cas 2 – Prestations en Zambie (Kwacha – ZMW) • Une ETI facture 1 000 000 ZMW pour une prestation en mars 2024 (1 EUR = 25 ZMW). • Paiement en juin, à 1 EUR = 30 ZMW. • En euros, l’encaissement passe de 40 000 EUR à 33 333 EUR. • Perte effective de 6 667 EUR, soit -16,7 % sur le chiffre d’affaires prévu. Cas 3 – Rapatriement des dividendes au Nigeria (Naira – NGN) • Une filiale locale dégage 100 M NGN de résultat net • À 1 EUR = 1000 NGN, cela représente théoriquement 100 000 EUR. • Mais la banque centrale restreint l’accès aux devises pour les non-résidents : seuls 20 M NGN peuvent être convertis immédiatement. • Reste 80 M NGN immobilisés, exposés à un dévaluation continue : si le taux passe à 1 EUR = 1400 NGN, leur valeur tombe à 57 143 EUR.

Zones monétaires : risques différenciés

• Zone franc CFA (UEMOA / CEMAC) : parité fixe avec l’euro, convertibilité garantie par le Trésor français. Moindre risque de change, sauf en cas de réformes monétaires ou tensions politiques. • Pays à régimes de change flottant ou administré : Nigeria, Angola, Ghana, Zambie, Égypte. Forte volatilité, contrôle des changes fréquent. • Marchés dollarisés (RDC, Zimbabwe) : instabilité chronique des politiques monétaires locales, même en dollar.

Outils de gestion du risque de change

• La facturation en EUR ou USD limite l’exposition directe mais transfère le risque au client ce qui peut être un frein commercial. • Les contrats avec clause d’indexation c’est à dire l’ajustement automatique du prix en fonction de l’évolution d’un taux de change de référence. • La couverture via instruments financiers : • Contrats à terme (forwards) : verrouillent un taux de change à une date future. • Options de change : assurent un niveau de protection tout en laissant une marge de flexibilité. • Swaps de devises : pour les entreprises ayant des besoins croisés en devises (rares chez les PME). Attention : ces outils sont souvent inaccessibles sur les devises illiquides africaines. D’où l’intérêt de structurer les flux dans des devises convertibles (USD, EUR) et de s’appuyer sur des banques partenaires disposant d’une capacité régionale.

Stratégie recommandée pour les PME et ETI

• Cartographier l’exposition au risque de change par zone, devise, durée, fréquence des flux. • Structurer les contrats en fonction de la liquidité des devises et du degré de contrôle étatique. • Mettre en place un processus de veille sur les politiques monétaires locales, en analysant les politiques de contrôle des changes de chaque pays : les règles peuvent changer du jour au lendemain (cas du Nigeria ou de l’Éthiopie). • Recourir à des intermédiaires spécialisés ou à des bureaux de représentation sur place pour optimiser la gestion financière locale. Nos recommandations : • Éviter la facturation exclusive en devise locale, sauf si un mécanisme d’ajustement est prévu dans le contrat. • Utiliser des outils de couverture (forwards, options) dès que les montants le justifient. • Préférer, quand cela est possible, les zones CFA (Franc CFA – UEMOA et CEMAC), rattachées à l’euro, pour réduire la volatilité. Le développement ne peut s’envisager sans une stratégie robuste de gestion du risque de change en Afrique. Celle-ci ne se limite pas à un arbitrage entre EUR et USD : elle nécessite une compréhension fine des environnements monétaires locaux, de leur dynamique politique, et des pratiques bancaires locales. Une gestion active du risque de change est un marqueur de maturité financière. Et pour les PME et ETI, elle devient un levier de différenciation concurrentielle.
La veille en intelligence économique
La veille, pilier de l’intelligence économique, offre aux décideurs une longueur d’avance en identifiant les signaux faibles. Elle leur permet ainsi d’anticiper leurs défis et leurs opportunités, et ce, quel que soit le secteur d’activité ou la taille de l’entreprise. Par David Malicorne et Alexandre Kahn Diriger une entreprise c’est, à divers degrés, maîtriser son environnement. Le contrôle de l’information, qu’elle soit d’origine interne ou externe est primordial, ce qui fait de l’intelligence économique un guide dans sa capacité à décider. La veille comme outil d’aide à la décision Qu’elle soit économique ou concurrentielle, la veille consiste à surveiller, identifier et collecter des informations utiles pour son activité. Elle implique d’être en éveil sur un ou plusieurs sujets d’intérêt et d’être averti automatiquement lorsqu’une information utile surgit. À l’inverse des études marketing analysant les actions passées, la veille se pose comme un outil offrant une information en continu. Capable de s’intégrer dans une multitude de contextes et d’enjeux, elle est avant tout un support d’aide à la décision pour les dirigeants d’entreprise. Elle s’adresse aux entreprises de toutes les tailles – selon les mots de l’ancien directeur du renseignement au sein de la DGSE Alain Juillet, l’intelligence économique est adaptée à toute structure, « de la grande multinationale à la boulangerie du coin ». La veille est donc un des maillons indispensables aux défis primordiaux des entreprises : innover, gérer le risque et optimiser ses ressources. Innover, d’abord, via l’identification des nouvelles pratiques concurrentielles, des nouveaux modes de consommation ou des évolutions réglementaires. Gérer le risque, ensuite, en demeurant informé de son environnement. Nouvel entrant sur le marché, percée technologique d’un concurrent existant, partenaire commercial accusé de pratiques illégales, changements soudains des besoins clients… La possibilité d’être informé en amont de l’évolution d’un risque, qu’il faudra avoir identifié au préalable, est une première étape pour adopter les changements stratégiques et demeurer compétitif. Enfin, optimiser les ressources. Les PME et ETI en recherche d’économie peuvent identifier des avantages concurrentiels et ainsi conforter leur assise en investissant sur leurs points forts. Elles peuvent aussi orienter leur capital sur les domaines où elles sont en retard afin de rattraper celui-ci et se maintenir dans la course. Si chacun peut être convaincu de l’utilité d’intégrer la veille à ses dispositifs, aujourd’hui retenons que 90 % des actions hostiles d’intelligence économique sont remportées, selon Nicolas Moinet, praticien-chercheur en intelligence économique… Veiller, c’est maîtriser son environnement En effet, prendre rapidement conscience d’une menace peut changer la donne. Ce fut par exemple le cas d’une entreprise canadienne, qui en 2021 a été confrontée à la concurrence déloyale d’un nouvel entrant. Ce fabricant de châssis porte-conteneurs voyait ses parts de marché fondre rapidement. Pour cause : un concurrent chinois pratiquant des prix cassés, à la faveur de subventions (illégales) de son gouvernement. En veillant les actualités de son marché, l’entreprise canadienne aurait pu identifier le développement de ce concurrent, y apporter une vigilance particulière en adaptant son dispositif de surveillance. De plus, une veille sur les tarifs pratiqués lui aurait permis de conclure rapidement à un dumping. Outre la détection des menaces sur son marché intérieur, la connaissance des risques internationaux peut aussi s’avérer capitale. L’instabilité géopolitique a un impact direct sur bon nombre d’entreprises et la guerre en Ukraine en est l’exemple le plus significatif. Du jour au lendemain, l’approvisionnement nécessaire à la production de produits de tout type a été lourdement ralenti voire interrompu. Selon une étude du Conseil national des achats, 26% des entreprises françaises ont élaboré un plan d’achats spécifique en cas d’invasion de Taïwan par la Chine. Face à ces aléas pouvant paraître lointains, l’usage de la veille permet aux entreprises d’être informées des actualités géopolitiques sur des zones distinctes. Ainsi elles peuvent identifier et se prévaloir des risques liés à leurs fournisseurs. La veille naît de la stratégie Avant d’évoquer les outils de veille, il est important de définir sa stratégie. Que l’on soit une PME, une ETI ou un grand groupe, la mise en place d’une veille nécessite en amont de se poser trois questions. Tout d’abord, quels types d’informations je recherche ? Pour me développer, ai-je besoin d’informations spécifiques sur un sujet distinct ou ai-je principalement besoin de me tenir informé des actualités d’un domaine, d’un secteur ? Ensuite, quelle est la temporalité de ma veille ? Ai-je besoin de veiller mon environnement sur un temps long, ou faut-il que je me focalise sur un sujet à forts enjeux pendant une période donnée ? Enfin, quelles ressources humaines et financières puis-je y allouer ? En tant que chef d’entreprise, ai-je les moyens de mobiliser des forces vives à temps plein ou est-ce que ma veille doit être simple et capable d’alimenter mes équipes en informations ? Une fois le cadre de la veille défini, vient la question des outils. Qu’elles soient payantes, partiellement ou entièrement gratuites, les solutions ne manquent pas. Du côté des leaders du marché, on trouve des outils de veille automatisée capables de suivre une multitude de sources et de générer des newsletters concises et sur mesure. Ces solutions sont, néanmoins complexes à mettre en place et coûteuses. Mais il existe aujourd’hui un large éventail d’outils peu onéreux, facile à programmer et à utiliser, soi-même. À condition d’être un minimum initié aux méthodes et fonctionnalités de la veille. S’entourer d’experts en veille est-il obligatoire ? La veille, ce sont des méthodes, des pratiques, des outils. C’est aussi un état d’esprit : être curieux, rester attentif à ce qui se passe dans son environnement. L’exercice de la veille peut être directement pratiquée par le chef d’entreprise, qui dispose de ses propres sources d’informations, notamment par le réseau ou son expertise sectorielle. Toutefois, les acteurs spécialisés offrent des modèles de veille qui s’adaptent à chaque secteur, modèle et budget. Ils possèdent des méthodologies et des savoir-faire permettant de concevoir des veilles exhaustives, à même d’identifier des signaux faibles dans des environnements complexes. Recourir à des experts en veille offre ainsi la garantie de capter toute information clé. Dans la grande famille de l’intelligence économique, la veille constitue la première brique. Elle permet de mettre en exergue les zones de risque et d’opportunité devant être identifiées en amont de toute action plus spécifique. Elle s’articule par exemple avec les exercices d’influence, de lobbying ou de due diligence qui s’en nourrissent
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