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Parler en public : la check-list pour préparer votre intervention

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Vous avez été choisi pour défendre le projet phare de l’entreprise lors du grand séminaire de l’année. Vous serez seul sur scène face à tout le réseau, avec l’ensemble du Comité Directeur et des invités VIP assis sur les deux premiers rangs. Comment bien se préparer et faire de ce rendez-vous une réussite ?

Par Christophe Béguin, coach en prise de parole

Parler en public est une situation à risque. Vous pouvez être jugés par chacun, et le cours de votre carrière peut être modifié.
En situation de stress votre cerveau est mal équipé pour évaluer correctement ce risque. Il a tendance à minorer les scénarios positifs et à exagérer le risque d’échec, en utilisant le passé (par exemple : j’ai bafouillé pendant un discours de mariage) pour prédire l’avenir. Il va également exagérer les conséquences possibles : « si je bafouille, mon patron va me retirer mes responsabilités ».

2 questions à se poser afin de relativiser le danger

Si votre cerveau réagit comme cela, c’est parce qu’il fait son travail comme il y a 30 000 ans face une bande de prédateurs. La bonne nouvelle, c’est que vous pouvez apprendre à modifier ses réglages obsolètes.
Le premier travail est de challenger les scénarios générateurs de stress en les envisageant calmement. Munissez-vous d’un crayon et d’un papier et répondez à quelques questions simples :

  • quelle est la probabilité que je bafouille de façon gênante pour le public (ex: pendant plus de 10% du discours) ?
  • si ça arrive, quelle est la probabilité que mon patron me retire mes responsabilités ?

Le premier intérêt est de sortir des généralités (« je suis nul en parole en public ») en posant un diagnostic précis. La situation est fort différente si le chiffre que vous estimez est 30% ou 90%. Dans un cas vous pouvez progresser tout seul ; dans le second, il vaut mieux vous faire accompagner par un coach.
Mais surtout, en écrivant calmement ces probabilités, vous activez une autre zone de traitement de l’information dans votre cerveau. Vous quittez le mode « pilote automatique », et vous sollicitez vos fonctions analytiques. La production d’hormones liées au stress est régulée et la recherche de solutions nouvelles fonctionne mieux.

Vérifier l’adéquation de votre message à votre public en 3 étapes

Il vous faut maintenant vérifier que vous pouvez transmettre votre sujet sur le fond. Bien sûr, si vous avez accepté d’en parler en public, vous êtes probablement un expert, mais ça ne suffit pas.

Etape 1 : Avant toute chose, posez-vous une question simple : qu’espérez-vous de votre discours ? Si vous n’avez pas de réponse, annulez tout ! Vous devez absolument le savoir. Votre objectif doit être de faire agir votre public à court terme de façon mesurable. Vous pouvez par exemple attendre d’eux qu’ils prennent un rendez-vous, qu’ils achètent un produit, qu’ils vous envoient des informations, etc. Choisir cet objectif, c’est 80% de la réussite votre intervention. Cela vous permet de vérifier que vous vous adressez aux bonnes personnes et de savoir pourquoi vous faites l’effort de monter sur scène et de parler en public.

Cela va aussi vous aider à rédiger en commençant par la fin. Faites une demande précise, par exemple : « je serai ravi de vous recevoir cet après-midi si vous êtes intéressé par ce sujet, je peux me rendre disponible pour 4 rendez-vous de 20 minutes » plutôt que « j’espère que ça vous a intéressé ».

Etape 2 : Vous pouvez maintenant définir les étapes qui vont vous amener à cette conclusion. Notez vos idées sur votre papier et vérifiez que chacune est indispensable à votre propos et qu’elle est compréhensible par un enfant de 10 ans : faites la chasse aux sigles, au jargon professionnel, recherchez des images susceptibles de marquer les esprits lors de l’évènement, en vous inspirant de ce que vous savez de votre public. Si je dois parler en public de l’art oratoire dans l’antiquité à des étudiants, je peux faire une comparaison avec un exposé à réaliser devant leur classe. Si je parle de « pitch » avec des retraités, je donne la traduction.
Il s’agit de vous faire comprendre par des gens qui n’ont pas votre connaissance, et cela suppose de leur présenter chaque idée comme un cadeau, que vous allez ouvrir devant eux, afin de mobiliser leur attention.

Etape 3 : Cherchez une façon efficace de mobiliser l’attention de votre public dès les premiers mots. Comme votre conclusion, l’introduction de votre discours doit être préparée. C’est le moment où le stress est le plus intense, vous aurez besoin de vous appuyer sur du connu. Vous pouvez utiliser une image, une anecdote, un témoignage ou un chiffre frappant. N’hésitez pas à créer la surprise en créant un décalage avec ce que votre public à imaginé, en montrant une partie de votre personnalité.

Le sujet à ne pas oublier : le corps est votre media

Travailler sur le fond de votre message et son adéquation au public vous assure des bases solides pour obtenir le succès. Le complément indispensable, c’est de vous donner les moyens de le transmettre en osant mobiliser toutes vos capacités pour parler en public: la voix, les gestes, le regard, etc.
Ce travail corporel peut se faire de façon ludique en fréquentant des ateliers de théâtre ou de chant. Il peut aussi être réalisé de façon plus professionnelle et plus efficace avec un coach qui vous fait travailler vos points forts et vos fragilités. Vous diminuerez ainsi votre stress et vous obtiendrez plus d’impact lors de ce beau rendez-vous.

A suivre : 5 exercices corporels qui développent l’aisance en public

Plus de conseils de Christophe Béguin sur son site : christophebeguin.com

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Mobilité des salariés : un enjeux crucial du développement international
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Détachement et expatriation : deux dispositifs distincts

Lorsqu’une entreprise décide d’envoyer un salarié à l’étranger, elle doit choisir entre deux dispositifs : le détachement et l’expatriation. Le détachement suppose que le salarié maintient son lien contractuel avec l’entreprise d’origine, tandis que l’expatrié est intégré durablement dans une entité étrangère. Il est essentiel de comprendre les différences entre ces deux dispositifs pour garantir la sécurité juridique et sociale du salarié à l’étranger.

Sécurisation de la situation juridique et sociale du salarié à l’étranger

La sécurisation de la situation juridique et sociale du salarié à l’étranger est un enjeu crucial pour les entreprises. En effet, les salariés expatriés ou détachés sont souvent confrontés à des situations complexes en termes de droit du travail, de fiscalité et de sécurité sociale. Les entreprises doivent donc prendre des mesures pour garantir que leurs salariés soient protégés et que leurs droits soient respectés. Cela peut inclure la mise en place de contrats de travail spécifiques, la gestion des formalités administratives et la prise en compte des spécificités locales en matière de droit du travail.

Un levier de développement à piloter stratégiquement

La mobilité des salariés est un levier de développement à piloter stratégiquement pour plusieurs raisons. Tout d’abord, elle impacte les sujets d’identification et de suivi des talents en mobilité. Les entreprises doivent être en mesure de suivre les carrières de leurs salariés expatriés ou détachés pour garantir qu’ils soient intégrés dans l’entreprise à leur retour. Ensuite, la mobilité des salariés a des implications en termes de coûts directs et indirects. Les entreprises doivent prendre en compte les coûts de relocation, de logement, de transport, etc. Enfin, la gestion des contrats de travail, des formalités et des situations migratoires, de la fiscalité personnelle et devise, ainsi que des assurances est également cruciale.

Gestion des contrats de travail et des formalités

La gestion des contrats de travail est un enjeu important pour les entreprises qui envoient des salariés à l’étranger. Les contrats de travail doivent être adaptés pour prendre en compte les spécificités du pays de destination. Les entreprises doivent également s’assurer que les salariés expatriés ou détachés soient en conformité avec les lois et réglementations locales. Les formalités administratives, telles que les visas et les permis de travail, doivent également être gérées de manière efficace. Les entreprises doivent donc mettre en place des processus pour gérer ces formalités et garantir que les salariés puissent travailler de manière légale dans le pays de destination.

Fiscalité personnelle et devises

La fiscalité personnelle est un enjeu important pour les salariés expatriés ou détachés. Les entreprises doivent prendre en compte les implications fiscales de la mobilité internationale pour garantir que les salariés ne soient pas soumis à une double imposition. La gestion des devises est également cruciale pour garantir que les salariés puissent recevoir leur salaire de manière sécurisée et efficace. Les entreprises doivent donc mettre en place des processus pour gérer les devises et garantir que les salariés puissent utiliser leur salaire de manière flexible.

Assurances et protection sociale

Les assurances et la protection sociale sont des éléments essentiels pour les salariés expatriés ou détachés. Les entreprises doivent s’assurer que les salariés aient accès à une couverture médicale et sociale adéquate dans le pays de destination. Les assurances voyage et les assurances vie sont également importantes pour garantir que les salariés soient protégés en cas d’urgence. Les entreprises doivent donc mettre en place des processus pour gérer les assurances et garantir que les salariés soient protégés en cas de besoin.

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La mobilité internationale peut également présenter des défis pour les salariés et les entreprises. Les salariés peuvent être confrontés à des difficultés d’adaptation, des problèmes de communication et des différences culturelles. Les entreprises doivent donc mettre en place des processus pour soutenir les salariés et garantir qu’ils puissent s’adapter de manière efficace à leur nouvel environnement. Cela peut inclure la mise en place de programmes de formation, de soutien psychologique et de ressources pour aider les salariés à s’adapter à leur nouvel environnement. En conclusion, la mobilité des salariés est un levier stratégique pour les entreprises qui souhaitent se développer à l’international. Cependant, il est essentiel de prendre en compte les enjeux juridiques, sociaux et fiscaux liés à la mobilité internationale. Les entreprises doivent piloter stratégiquement la mobilité des salariés pour garantir que les salariés soient protégés et que les droits soient respectés. En prenant en compte les implications de la mobilité internationale
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Les défis pour les PME et les ETI

Les PME et les ETI françaises sont confrontées à plusieurs défis dans ce climat d’incertitude politique. Tout d’abord, elles doivent gérer l’incertitude liée à la politique économique du nouveau gouvernement. Les entreprises doivent être prêtes à adapter leur stratégie en fonction des décisions politiques qui seront prises. De plus, les PME et les ETI doivent également gérer les risques liés à la conjoncture économique. La baisse de la croissance économique et l’augmentation du chômage pourraient avoir un impact significatif sur la demande pour leurs produits et services. Pour les PME et les ETI, la stabilité politique est essentielle pour prendre des décisions stratégiques. Les entreprises ont besoin d’un environnement stable pour investir, innover et créer des emplois. La stabilité politique permet également aux entreprises de mieux anticiper les décisions politiques et de s’adapter en conséquence.

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Emmanuel Macron a la responsabilité de trouver rapidement un nouveau Premier ministre et un nouveau gouvernement pour assurer la stabilité de l’État. Le Président de la République doit prendre des décisions rapides et efficaces pour restaurer la confiance des entreprises et des investisseurs. La nomination d’un nouveau Premier ministre et d’un nouveau gouvernement doit être faite de manière à éviter l’instabilité politique et économique du pays. Le nouveau gouvernement doit être capable de prendre des décisions rapides et efficaces pour répondre aux défis économiques et sociaux que la France rencontre. La situation politique française est incertaine, et les PME et les ETI sont particulièrement concernées par cette instabilité. Les entreprises ont besoin d’un environnement stable pour prendre des décisions stratégiques et investir dans l’avenir. Emmanuel Macron doit trouver rapidement un nouveau Premier ministre et un nouveau gouvernement pour assurer la stabilité de l’État et restaurer la confiance des entreprises et des investisseurs. Les PME et les ETI françaises doivent être prêtes à adapter leur stratégie en fonction des décisions politiques qui seront prises. Les entreprises doivent également gérer les risques liés à la conjoncture économique et être prêtes à innover et à créer des emplois pour répondre aux défis économiques et sociaux que la France rencontre. Dans les prochains mois, la situation politique française sera suivie de près par les entreprises et les investisseurs. La stabilité politique et économique du pays sera essentielle pour assurer la croissance et la compétitivité des PME et des ETI françaises.
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