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Pour les entreprises, c’est la garantie d’un dispositif réglementé et sécurisé qui assure une optimisation des coûts d’embauche.
Arnaud Ribon, fondateur de GOLDEN PORTAGE nous explique le mécanisme et l’organisation d’un système tripartite dans lequel toutes les parties sont gagnantes.
Depuis plusieurs années, l’Afrique attire l’attention des investisseurs, des philanthropes et des entreprises à la recherche de nouvelles opportunités. Le continent connaît une croissance démographique et économique rapide, une urbanisation accélérée et une classe moyenne émergente. Mais pour répondre à ces dynamiques, les modèles de financement évoluent : on passe progressivement du don à des approches hybrides qui conjuguent impact durable et viabilité économique. Cet article propose un tour d’horizon des principales tendances et explique comment ces modèles transforment la manière d’investir en Afrique.
Par Luc-Etienne Dandrieu – Directeur général AlphaSeeds La philanthropie traditionnelle : nécessaire mais insuffisante
Pendant des décennies, la majeure partie des financements vers l’Afrique a pris la forme de dons, provenant de gouvernements, d’ONG ou d’entreprises via leurs programmes RSE. Ces approches ont permis de financer l’éducation, la santé, les infrastructures, et restent essentielles face à certaines urgences humanitaires.
Mais dans de nombreux cas, les dons créent une dépendance structurelle et ne suffisent pas à bâtir des modèles économiques autonomes. Sans perspectives de croissance locale, les projets peinent à se maintenir une fois les financements épuisés. Aujourd’hui, l’enjeu est moins de « donner » que de co-investir dans des solutions durables.
L’émergence de l’investissement d’impact
Face à ces limites, un nouveau modèle s’impose : l’investissement d’impact. Il se définit par quatre principes clés :
- Intentionnalité : l’investisseur recherche explicitement un impact social et/ou environnemental positif.
- Mesurabilité : l’impact doit être suivi et évalué.
- Additionnalité : Investir en Afrique doit générer un impact qui n’aurait pas eu lieu sans cet apport spécifique (par exemple en apportant du capital patient, un accompagnement ou des compétences stratégiques).
- Rentabilité raisonnée : un rendement financier est recherché, mais il est aligné avec la mission d’impact.
- améliorer la sécurité alimentaire,
- donner accès à l’énergie propre,
- ou développer des solutions d’inclusion financière.
- L’investissement philanthropique : un financement patient, souvent sous forme de quasi-fonds propres, accompagné d’un soutien opérationnel rapproché. L’objectif est de maximiser l’impact tout en aidant le projet à devenir autonome.
- Les Partenariats Public-Privé : une combinaison de capitaux philanthropiques, d’investissements privés et de financements institutionnels. Cette approche permet de réduire le risque pour les investisseurs commerciaux et de mobiliser davantage de capitaux vers des projets d’intérêt général.
- Diversifier leurs investissements.
- Contribuer activement à des impacts mesurables.
- Construire des partenariats stratégiques dans des zones à fort potentiel de croissance.