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SME-ETI

L’OCDE dénonce, dans son dernier rapport, le manque de formation suivie par les adultes à travers la planète. Ce constat révèle un réel problème, précisément au moment où le monde du travail se trouve à l’aube d’importants bouleversements, liés notamment à l’automatisation des tâches.

Par Eric Orsini

Cette semaine, l’Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) a publié son dernier rapport, intitulé « Des systèmes de formation pour adultes prêts pour le futur ». Ce rapport constate clairement que la formation des actifs connait un véritable déficit alors que nous nous trouvons dans un univers professionnel en pleine mutation.

Des emplois qui évoluent plus vite que les employés

L’OCDE cerne le phénomène de façon logique en expliquant que l’automatisation, boostée par les avancées technologiques, va considérablement progresser dans les années qui viennent. L’organisation indique même que « Les analyses les plus récentes donnent à penser que près d’un emploi sur sept risque d’être totalement automatisé et près de 30 % pourraient subir des transformations ». Cependant, l’OCDE se refuse à considérer cette réalité comme une menace mais l’aborde plutôt comme une opportunité pour les salariés qui décideront d’évoluer avec leur métier.

Et c’est là que se trouve le problème car d’après l’étude de l’institution, chaque année, 41 % seulement des adultes suivent une formation. Un pourcentage loin d’être suffisant dans un tel contexte, surtout si nous prenons en compte le fait que ce sont les salariés qui risquent d’être les plus affectés par les transformations que subit le monde du travail qui sont les moins enclins à se former.

Les raisons qu’invoquent les salariés pour expliquer ce manque d’enthousiasme sont le manque de temps, de soutien de la part de l’employeur, la difficulté à trouver un lieu ou des horaires adaptés, ou encore le manque de formations de qualité.

La France consciente du défi

Mieux vaut tard que jamais ! La France a pris les dispositions nécessaires pour combler son retard. En effet, le monde de la formation professionnelle, continue et de l’apprentissage a été chamboulé par le projet de loi « pour la liberté pour choisir son avenir professionnel » dont le but est de changer les règles du milieu en amorçant une transition vers plus de simplicité et de transparence. Ce projet de loi est en phase avec les conclusions de l’OCDE qui recommande, comme lui, d’avoir recours à la formation à distance dont les chiffres sont encore largement insuffisants. En effet, dans les pays développés, seulement 19 % de la population active en a bénéficié.

L’organisation suggère, pour conclure, d’accorder des moyens adaptés à la formation et de coordonner les contenus avec les besoins du marché du travail, spécialement pour les salariés dont les emplois vont se heurter de front avec l’automatisation.



L’industrie de demain s’invente sur Global Industrie

Global Industrie 2019 vous donne rendez-vous du 5 au 8 mars 2019, au Parc des expositions Eurexpo de Lyon ! Avec  100 000 m² d’exposition, 45 000 visiteurs et des industriels du monde entier y sont attendus. PME et ETI de La French Fab, participez au plus grand salon industriel généraliste en France, pour accélérer votre mutation vers l’industrie du futur. 

Global Industrie est né de la réunion de 4 événements complémentaires :

  • Midest : le salon des savoir-faire en sous-traitance industrielle
  • Smart Industries : le salon de l’industrie connectée, collaborative et efficiente
  • Industrie : le salon des technologies et des équipements de production
  • Tolexpo : le salon des solutions et des équipements pour la tôlerie.

Un programme de conférences ambitieux

+ de 200 intervenants experts sont prévus.

Parce que l’industrie est en constante (r)évolution, les Conférences Global Industrie vous permettent d’avoir toujours un temps d’avance ! 
Cette année, plusieurs thèmes centraux de l’industrie du futur seront traités par des professionnels à travers des masterclass de grands capitaines d’industrie, ainsi que des débats et keynotes à caractères stratégique et technologique en présence d’experts qui vous feront part de leurs analyses et de leurs retours d’expériences (la cybersécurité, la fabrication additive, la cobotique, les relations clients-fournisseurs, le financement, les voitures électriques et autonomes, l’avenir de la filière aéronautique, la formation, l’environnement, le Machine Learning, les biomatériaux ou encore le jumeau numérique…).

Bpifrance est partenaire de cet événement.

Les temps forts de Global Industrie : former, démontrer, innover, comprendre

  • Campus – trouvez dès aujourd’hui le job de demain : un espace entièrement dédié à l’emploi, la formation et l’attractivité des métiers dans l’industrie.
  • Génération Smart – un concours dans le Campus : le concours propose donc aux étudiants de découvrir les nouvelles technologies qu’ils rencontreront dans leurs futurs métiers.
  • Usine connectée : une chaîne complète de fabrication en fonctionnement présentée sur 1100 m²
  • Places des savoir-faire – au cœur du village : implantées au cœur des secteurs clés du Midest, chaque Place constitue un véritable idiome pour chacun d’eux.
  • Adwards : 7 catégories représentatives de la richesse du monde industriel. Une initiative qui garantit une exposition médiatique et des retombées exceptionnelles.
  • Robotics show – la robotique, cœur de cible de Global Industrie ! 200 m² d’exposition  – 15 à 20 robots en fonctionnement
  • Espace Recherche : mettre en lien création et innovation ! L’Espace recherche réunit des Laboratoires d’origines différentes qui partagent la volonté de créer des partenariats productifs.L’espace démonstrateur
  • Conférences : un programme  qui vous permettra d’être informé des dernières évolutions de l’industrie.
  • Etats généraux de la robotique (initiative DGE et Global Industrie) : les enjeux et les perspectives pour la filière Robotique.

Informations pratiques

  • Salon : Global Industrie 
  • Eurexpo Lyon – Halls 1 à 6
  • Dates : du 5 au 8 mars 2018
  • Horaires d’ouverture :

Mardi et Mercredi : 9h – 18h
Jeudi : 9h – 20h (nocturne)
Vendredi : 9h – 17h

Théoriquement, tout le monde s’accorde sur le fait que les salariés puissent bénéficier de la croissance de leur entreprise. Dans la pratique, c’est une autre réalité puisque seulement 56% des salariés de l’ensemble des entreprises sont couverts par au moins un dispositif de participation, d’intéressement ou d’épargne salariale. Pour les PME, les chiffres sont bien en-dessous…essayons d’en expliquer les raisions.

Par Serge de Cluny

Sans surprise, les chiffres sont plutôt élevés dans les grandes entreprises et les ETI de plus de 1000 personnes avec 75 % des salariés bénéficiant d’un accord d’intéressement et 86 % ayant accès à un plan d’épargne entreprise. Pour les petites PME, les chiffres de l’intéressement passent à 22 % dans les entreprises de 50 à 99 salariés et à 11 % pour celles qui en comptent entre 10 et 49.

Le simple fait de figurer dans le cadre d’un accord d’intéressement ou de participation ne veut pas dire qu’une prime sera versée automatiquement . En 2016, par exemple, on compte seulement 15 % des salariés des PME (moins de 250 personnes) qui ont encaissé une prime d’épargne salariale, soit 1,4 million de bénéficiaires. Ceci s’explique par le poids du forfait social, dont le taux était de 2 % en 2009 pour atteindre 20 % en 2012. Pour une PME qui déciderait de verser 30 000 euros, le coût des cotisations sociales sera donc de 6 000 euros.

Avec la suppression du forfait social à compter du 1er janvier 2019 dans les PME de moins de 250 employés, le gouvernement souhaite justement encourager les petits patrons à utiliser davantage ces dispositifs considérés vertueux par certains, mais pas par les syndicats qui les voient comme une façon de contourner les hausses de salaires.

En plus du coût, c’est également une question administrative qui freine bien souvent les dirigeants de PME ou TPE qui ne disposent pas de DRH dans leurs effectifs. En effet, rédiger un accord d’intéressement demande en général l’intervention de spécialistes. Pour solutionner cet obstacle, le gouvernement vient de mettre en ligne deux modèles d’accord sur le site du ministère du Travail (l’un pour l’intéressement, l’autre pour la participation) qui reprennent une à une les clauses devant figurer obligatoirement dans ce type de texte.

Les cyberattaques ne visent pas seulement les grandes entreprises, les PME et ETI sont également des cibles de choix pour les hackers. Alors quelles sont les mesures d’urgence à adopter pour se protéger ? En premier lieu, installer d’un pare-feu pour bloquer les fichiers malveillants.

Par Franck Boccara

Pour illustrer concrètement ce phénomène, prenons l’exemple d’une cyberattaque réalisée en 2018 qui a frappé un hôtel 4 étoiles situé sur les bords du lac d’Annecy en Haute-Savoie. Les conséquences deviennent rapidement dramatiques puisque du jour au lendemain, cette attaque a bloqué les serveurs informatiques et désactivé les cartes d’accès aux chambres. Evidement, s’en suit une demande de rançon en bonne et due forme sans quoi les pirates menacent de détruire le système. 

« Si ça détruit nos fichiers, on ne sait plus qui part et qui arrive, on ne peut plus éditer de factures. Cela arrête complétement l’entreprise et le risque est effectivement économique » explique Pascal Duroux, le gérant de cet hotel.

Une menace permanente 

Ces cyberattaques sont malheureusement devenues monnaie courante. En juin 2017, un méga-piratage a touché plus de 200 000 personnes dans près de 150 pays, dont l’usine Renault de Douai qui fut complètement mise à l’arrêt. Au mois de décembre dernier, c’est au tour de cinq sites institutionnels français d’être visés par des cyber-militants qui se revendiquent du mouvement des Gilets jaunes.

Que ce soient des particuliers ou entreprises de toutes tailles, tous représentent des cibles potentielles pour les hackeurs dont la malveillance sait trouver la faille des systèmes en envoyant des mails frauduleux. Selon
Jean-Michel Gay, spécialiste en sécurité informatique, 75 % des entreprises ont été attaquées.

Installer un pare-feu pour limiter les dégâts

Les dirigeants de PME, qui parfois ne mesuraient pas le danger des cyberattaques, ont aujourd’hui bien pris conscience de la nécessité de se protéger. Cette protection commence, tout d’abord, par l’installation d’un boîtier pare-feu. Celui-ci, situé à l’entrée du réseau et sur les ordinateurs, va analyser et bloquer entre autre les « cryptoLockers », ces fichiers malveillants qui sont envoyés en pièce jointe des courriels et qui n’attendent qu’un clic étourdi pour saboter votre système ! Désormais indispensable, cette protection à un coût qui varie entre 3000 € et 5000 € par an. A bon entendeur ! 

La CPME a annoncé qu’elle revenait sur sa décision de claquer la porte et qu’elle participera à nouveau aux négociations sur l’assurance chômage. Elle emboite ainsi le pas au Medef, qui lui aussi a choisi de renouer le dialogue. Voici les raisons de ce retour commun à la table des négociations.

Par Serge de Cluny

La Confédération des petites et moyennes entreprises (CPME) annonçait le dimanche 3 février son retour à la table des négociations sur l’assurance chômage, que le Medef avait quittee quelques jours plus tôt en signe de protestation contre des déclarations d’Emmanuel Macron au sujet du « bonus-malus » sur les contrats courts. 

La CPME a rapidement expliqué les raisons ce retour dans un communiqué précisant que le Premier ministre Édouard Philippe a affirmé « sa confiance dans les partenaires sociaux pour trouver des solutions sur les règles de l’assurance chômage », et d’ajouter qu’elle était « soucieuse de parvenir à réformer » ce dispositif et ainsi « décidé de reprendre place à la table des négociations ».

La CPME a par ailleurs apprécié les déclarations du premier ministre Édouard Philippe, qui a rappelé aux députés lors des questions au gouvernement, que « la lettre de cadrage » envoyée par le gouvernement aux organisations syndicales et patronales avant la réouverture de ces négociations demeurait « valable ». « Or, celle-ci ne mentionne pas de bonus-malus », a expliqué la CPME. Pour la confédération, « au-delà des seuls enjeux d’équilibre financier, il nous appartient collectivement de rendre le dispositif d’assurance chômage plus incitatif à la reprise d’un emploi tout en accompagnant mieux les demandeurs d’emploi ».

« Parfaitement consciente d’une part des abus de certaines entreprises et d’autre part des difficultés que peuvent poser aux personnes concernées la succession multiple de contrats de courte durée », la CPME s’est engagée à faire « prochainement des propositions alternatives au bonus-malus ».

Des négociations suspendues collectivement quelques jours plus tôt. 

Les organisations patronales avaient suspendu lundi leur participation à cette négociation sur l’assurance chômage, pour montrer leur mécontentement face à la « détermination » du président de la république à mettre en place le « bonus-malus » sur les contrats courts réclamé par les syndicats pour lutter contre la précarité.

Devant la difficulté des négociations, les organisations syndicales et patronales se sont données jusqu’à fin février pour parvenir à un accord. Faute de compromis, le dossier doit alors revenir au gouvernement, qui aura la responsabilité de la réforme.

Thème 2019 – Innovation, nouveaux modèles : le dynamisme des économies africaines

Le Forum Afrique est organisé par le MOCI et le CIAN en partenariat avec la CCI Paris Ile-de-France dans le prolongement de la publication du Rapport CIAN 2018.

Au programme, les résultats exclusifs des études 2018, 3 tables rondes, des ateliers de travail ainsi que des RDV B2B.


Qui participe au Forum Afrique ?

Animé par des intervenants de renommée internationale, Le Forum Afrique rassemble 600 à 700 dirigeants, cadres de PME et ETI présents ou souhaitant investir en Afrique.

•    Experts financiers, logistique, intelligence économique, sécurité des personnes et des marchandises
•    Directeurs Généraux
•    Directeurs et Cadres Export
•    Directeurs Financiers
•    Credit Managers
•    Directeurs Logistiques
•    Directeurs des Ressources Humaines
•    Avocats spécialisés, juristes
•    Organisations professionnelles impliquées en Afrique
•    Représentants de l’administration française

Le rapport CIAN est constitué d’un dossier sur une problématique de fond, du baromètre du CIAN sur le climat des affaires en Afrique et de 53 fiches pays. Ce rapport Afrique du CIAN est une publication de référence pour les acteurs investis en Afrique. C’est un des guides les plus diffusés du MOCI : 45 000 exemplaires annuels diffusés en français et en anglais, en France, en Afrique et en Europe.
L’objectif est de fournir des outils pratiques et d’animer la communauté des dirigeants et cadres investisseurs en Afrique.

PROGRAMME

8h30 – 9h00 : Arrivée et accueil participants
 
9h00 – 9h25 : Mots d’Accueil

– Didier KLING, Président CCI Paris Ile-de-France
– Alexandre VILGRAIN, Président du CIAN
– Vincent LALU, Président du MOCI9h25 – 9h35 : Focus climat des affaires du CIAN (tendance 2017/2018)
–  Sandrine SORIEULDirectrice du CIAN9h35 – 9h55  EXCLUSIVITÉ 2019
Keynote – Présentation exclusive du nouveau baromètre CIAN des leaders d’opinion en Afrique, Africaleads, réalisé par IMMAR
– Etienne GIROSPrésident Délégué du CIAN
– Brahim SAÏLDG de l’institut de sondages IMMAR

9h55 – 10h45 : Table ronde 1 – Ouverture
Malgré les obstacles, de nouveaux modèles économiques émergent-ils ?
Intervenants :
– Fatoumata BA, Fondatrice et Présidente de Janngo
– Stanislas ZÉZÉ, PDG de Bloomfield Investment Corporation
– Jean-Michel HUET, Associé chez BearingPoint
– Stéphane COLLIAC, Senior Economist Euler Hermes (en attente de validation de l’intervenant)
Animation : Christine GILGUYRédactrice en Chef du MOCI

10h45 – 11h45 : Table ronde 2 
Inclusifs, collaboratifs, ascendants : les modèles porteurs
Intervenants :
– Samir ABDELKRIMJournaliste / Consultant Auteur de l’ouvrage « Startup Lions » et Fondateur de l’événement Emerging Valley, labellisé Digital Africa
– François GUIBERTCEO de l’Economic Development Board (EDB) Maurice
– Lamia MERZOUKIDeputy General Manager de Casablanca Finance City Authority(en attente de validation définitive de l’intervenant)
– Franck LEGRÉDirecteur Général Afrique chez Air France (en attente de validation définitive de l’intervenant) 
Animation : Arnaud FLEURYJournaliste économique 

11h45 – 12h45 : Table ronde 3
Financements : quelles solutions innovantes pour accompagner les transformations ?
Intervenants :
– Arnaud VENTURA, Fondateur et PDG de Baobab
– Stéphane COLIN, Président d’Africinvest Europe
– Francesco DE MUSSO, Directeur Général de BGFI Bank (en attente de validation définitive de l’intervenant)
– Nuno DE AYALA BOAVENTURA, Managing Partner chez Steering Legal (en attente de validation définitive de l’intervenant)
Animation : Arnaud FLEURYJournaliste économique

12h45 – 12h55 : Keynote Orange MEA
– Bruno METTLINGPrésident d’Orange Middle East and Africa13h00 : Cocktail déjeunatoire
Gratuit pour les partenaires sponsors, les intervenants et les membres du CIAN.
Tarif visiteur : 30 € HT

14h30 – 18h30 : Rencontres d’affaires BtoB
Le MOCI et le CIAN proposent aux participants du Forum Afrique, de participer à des rendez-vous B2B. D’une durée de 20 minutes, ils vous permettent d’échanger avec des professionnels du commerce international. Les participants peuvent ainsi se rencontrer au gré de leurs souhaits.
Une fois inscrit, vous pourrez accéder au catalogue B2B et commencer à réaliser vos demandes de RDV.

14h30 – 18h30 : Ateliers de travail
– Atelier de travail organisé par Bureau Veritas
– Atelier de travail organisé par FIPA Tunisia
– Atelier de travail organisé par FIDAL
– Atelier de travail organisé par Attijariwafa
– Atelier de travail organisé par  RIFF
– Atelier de travail organisé par BGFI

  • Date : vendredi 8 février 2019
  • Horaires : 8h30 – 18h30
  • Lieu : CCI Paris Ile-de-France – 27, avenue de Friedland – Paris 8e

> INFORMATIONS & INSCRIPTIONS


Le Salon de la Formation et de l’Évolution Professionnelle à Lille Grand Palais s’adresse à toutes celles et ceux qui souhaitent évoluer dans leur carrière, valider leurs acquis professionnels, préparer un concours ou un diplôme ou suivre l’évolution de leur secteur via des formations afin de faire contribuer à l’évolution de leur entreprise.

Formation et Evolution professionnelle :

La « formation tout au long de la vie » (également appelée formation continue ou formation professionnelle) permet au salarié de progresser dans sa carrière professionnelle. Elle est, par ailleurs, reconnue par les entreprises comme une nécessité absolue pour que leurs ressources humaines restent performantes dans un monde où tout évolue très vite.

Rencontrer les bons interlocuteurs de la formation et de l’Évolution Professionnelles

Organisé en 4 secteurs et classés par thématique (Changer, Progresser, Se Former, Créer), le Salon de la Formation et de l’Évolution Professionnelle est un rendez-vous unique pour rencontrer les bons interlocuteurs (structures d’information et de financement, organismes de formation privés et publics, institutionnels, outils pédagogiques, e-formation). Tous ces acteurs seront là pour répondre aux questions qui vous préoccupent, notamment en terme de démarches pour le Compte personnel de formation (CPF)l’entretien professionnel encadré, la Validation des Acquis de l’Expérience (VAE), le Congé Individuel de Formation (CIF), le contrat de professionnalisation ou encore les formations à distance.

Le Salon de la Formation et de l’Évolution Professionnelle représente l’occasion idéale de choisir les organismes publics, consulaires et privés comme futurs partenaires, d’échanger avec les représentants d’institutions afin d’être orienté dans vos choix ou d’optimiser vos achats en matière de formation.

Créer ou reprendre une entreprise

Créer ou reprendre une entreprise ne s’improvise pas. Le Salon de la Formation et de l’Évolution Professionnelle vous apportera conseil et accompagnement en vous indiquant toutes les clés initier, développer et réussir votre projet, en vous informant clairement sur les dispositifs d’aides juridiques, commerciaux, financiers ou d’accompagnement…

A qui s’adresse le Salon de la Formation et de l’Évolution Professionnelle ?

• Salariés
• Demandeurs d’Emploi
• Chefs d’Entreprise
• Directeurs des Ressources Humaines
• Responsables Formation

Les conférences du Salon de la Formation et de l’Évolution Professionnelle :

Les conférences seront animées par un journaliste, en collaboration avec des spécialistes de la formation. Elles permettront d’obtenir des réponses claires aux questions qui vous préoccupent. A l’issue de chaque conférence, les participants sont invités à échanger directement avec les intervenants et les questionnant et en discutant ouvertement sur la thématique abordée.

Information pratiques

ADRESSE: 
1 Boulevard des Cités Unies, 59777 Lille

Horaire : de 9h30 à 18h

Téléphone : 03 20 14 15 16


Les taux de crédit immobilier de courte durée ont dépassé le seuil plancher de fin 2016. En effet, on ne le sait pas forcement mais il est aujourd’hui possible de négocier des taux records de 0,45 % sur 7 ans ! Alors qui en sont les bénéficiaires et pourquoi ? Eléments de réponse…

Par Franck Boccara

Tout d’abord. il faut souligner que le marché du crédit immobilier n’a jamais été aussi dynamique bien que la conjoncture semble incertaine. Pour preuve, les derniers chiffres que la Banque de France a publié font état d’un encours de crédits de 1 003 milliards d’euros. Le marché immobilier résidentiel, quant à lui, devrait maintenir son dynamisme pour l’année 2019 La chambre des notaires révèle dans sa dernière note de conjoncture, un nombre de transactions record évalué entre 950 000 et 960 000 ventes sur un an. Parallèlement, les prix ont poursuivi leur hausse sur tout l’hexagone : les appartements anciens ont progressé de 3,4% en moyenne en France et de 4,2% en Ile de France.

Concernant les taux de crédit immobilier, le taux moyen varie entre 0.8 % et 0.9 % pour une durée de 7 ans, cependant certains profils peuvent prétendre à ces super taux. Alors qui sont-ils ? Principalement des seniors qui disposent d’apports élevés et qui empruntent sur très courtes durées. En effet, les banques, qui se livrent une concurrence féroce entre elles, appliquent des politiques commerciales agressives pour attirer les meilleurs profils cumulant à la fois apport personnel et situation personnelle et professionnelle stables.

Pour comprendre les raisons d’une telle générosité pour les taux des crédits immobiliers , il faut se tourner vers la « politique accommodante de la BCE qui permet toujours aux établissements de proposer des crédits à taux très bas. Sans compter qu’elles ont cette année des objectifs de clients élevés », explique Maël Bernier, porte-parole de Meilleurtaux.com.

Le salon des entrepreneurs 2019 se tiendra les 6 et 7 février prochain pour sa 26e édition ! Vous avez un projet innovant et souhaitez financer votre développement, vous êtes futur dirigeant ou repreneur ou vous cherchez une idée ? Ne manquez pas le plus grand rassemblement d’entrepreneurs d’Europe !

Venir au Salon des Entrepreneurs, c’est s’inspirer de l’expérience de grandes réussites, développer son réseau, se donner les moyens et chercher l’opportunité qui permettra de faire aboutir ses projets d’entreprise.

AU PROGRAMME

  • 2 000 experts mobilisés pour vous apporter des conseils sur mesure,
  • 400 partenaires et exposants parmis lesquels Bpifrance, CCI, Business France et le Medef
  • 200 conférences et ateliers pour vous former gratuitement,

LES TEMPS FORTS

  • Le débat d’ouverture : « Let’s do it ! Idées et tendances pour créer et se développer en 2019 » en présence de Nicolas Dufourcq, directeur général de Bpifrance
  • International : « French Touch : secrets et bonnes pratiques pour vendre et cartonner à l’étranger »
  • Financement :  « Panorama des solutions pour financer votre projet et vous développer »
  • Plénière de clôture : « Jeunes & entrepreneurs, ils osent tout ! »

Voir le Programme complet 

INFORMATIONS

  • Dates : 6 & 7 février 2019
  • Horaires : mercredi de 9h à 19h et jeudi de 9h à 18h30
  • Lieu : Palais des Congrès de Paris – Porte Maillot

INSCRIVEZ-VOUS !

Les 30.000 entreprises francaises qui exportent vers le royaume-Uni doivent se préparer sérieusement à l’option d’un Brexit sans accord. C’est le sens du message qui a été clairement lancé par le Medef à ses adhérents suite au vote du Parlement anglais le 15 janvier rejetant le compromis négocié par Theresa May.

Par Serge de Cluny

Le Medef ne mâche pas ses mots pour qualifier cette éventualité en conseillant aux entreprises françaises de se préparer au « pire scénario », autrement dit un Brexit « no deal » (sans accord) de la part du Royaume-Uni , suite au rejet du compromis négocié par Theresa May avec Bruxelles par la Chambre des communes britannique.

« Ce résultat rend aujourd’hui malheureusement possible une sortie du Royaume-Uni sans accord le 29 mars prochain », écrit la première organisation patronale française et espérant tout de même qu’une solution négociée voit le jour. « En tout état de cause, le Medef appelle toutes les entreprises à se préparer au pire scénario, c’est-à-dire un non-accord, et à ses conséquences pour leur activité », ajoute le Medef dans un communiqué.

Celui-ci rapelle également, à juste titre, qu’en cas de Brexit « no deal », les personnes, les biens, les services et les capitaux ne pourraient plus circuler librement entre l’Europe et le Royaume-Uni.

Le Medef fournit par ailleurs de chiffres qui illustrent l’ampleur des relations économiques entre les deux pays : il y auraient 300.000 Français expatriés outre-Manche et 150.000 Britanniques qui sont installés en France, où environ dix millions de leurs compatriotes viennent chaque année. Concernant les entreprises françaises (principalement des PME et ETI), elles sont au nombre de 30.000 à exporter au Royaume-Uni et plus de 3.000 à y être installées.

Côté gouvernement, le premier ministre Édouard Philippe a réuni ce jeudi matin «les principaux ministres concernés pour faire le point sur les préparatifs et les accélérer», a déclaré la présidence de la République. Une vingtaine de ministres se sont retrouvé à Matignon, dont ceux notamment de l’Économie, des Comptes publics, des Affaires étrangères, de la Justice ou de l’Éducation. «La France se prépare et sera prête à une absence d’accord» du Royaume-Uni sur le Brexit, a assuré de son côté Nathalie Loiseau, ministre chargée des affaires européennes.

Le gouvernement a, par ailleurs, créé un site d’information «Brexit en pratique», pour solutionner les éventuels problèmes logistiques et commerciaux. Agnès Pannier-Runacher, la Secrétaire d’État auprès du ministre de l’Économie et des Finances déclarait jeudi matin sur BFM, «les grandes entreprises et le secteur financier sont prêts. En revanche beaucoup de PME ne sont pas encore prêtes, et doivent étudier leurs approvisionnements, et prendre en compte un ralentissement de la circulation des capitaux, des personnes, des services et des produits».

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