Atelier Business France le 28/09/2018 : les opportunités du secteur agricole dans les pays en développement
26 juillet 2018
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Business France organise le 28 septembre 2018 à Paris, un atelier sur le thème suivant : « Les financements et projets du secteur agricole dans les pays en développement : quelles opportunités pour les entreprises françaises ?
Le secteur agricole dans les pays en développement fait l’objet de nombreux marchés dans le monde qui sont financés par les bailleurs de fonds internationaux. L’agriculture est un facteur essentiel de croissance économique et représentait encore un tiers du produit intérieur brut mondial ces dernières années.
Sous forme de prêts et de dons alloués aux gouvernements des pays sous-développés, émergents ou en transition économique, l’aide publique dans l’agriculture permet d’améliorer le niveau de vie des populations et de favoriser la croissance économique via des projets de modernisation des systèmes alimentaires, de rénovation des infrastructures d’irrigation, etc. Les sommes allouées par les bailleurs de fonds représentent des marchés potentiels considérables pour les PME et ETI françaises.
A titre d’exemple, les financements de la Banque internationale pour la reconstruction et le développement (BIRD) et de l’International Development Association (IDA) (Groupe Banque Mondiale) alloués en 2016 à l’agriculture et autres secteurs connexes se sont chiffrés à 2,9 Mds de dollars. La Banque Européenne pour la Reconstruction et le Développement (BERD) a un portefeuille d’investissements qui s’élève à 11 M EUR. La Banque africaine de développement (BAfD) a mis au point une stratégie pour la transformation agricole en Afrique sur la période 2016-2025 ; le secteur agricole représentait 13% des engagements de la BAfD en 2017.
Cet atelier d’information vous permettra de vous familiariser avec le fonctionnement des organisations internationales et bailleurs de fonds qui sont actifs sur le secteur agricole ou de l’agro-industrie, les marchés qui en découlent, ainsi que les instruments de financements des investissements du secteur privé. Vous pourrez ainsi non seulement identifier de nouvelles opportunités de marchés sur lesquelles vous positionner tout en bénéficiant des informations clés pour réussir.
Frais de participation à partir de 220,00€ HT – Inscrivez vous
Vendredi 28 septembre 2018 – France, Paris
Organisateur(s) : Service organisations internationales et bailleurs de fonds
« La bascule est discrète, mais massive chez les PME. Ces 3 derniers mois, c’est à nouveau plus de 1 000 PME & ETI qui ont décidé de travailler avec iBanFirst. Optimiser ses paiements internationaux pour sauver ses marges n’est plus réservé aux seuls grands groupes ».Pierre-Antoine Dusoulier, CEO d’iBanFirst, est bien placé pour le savoir. Il a créé le nouveau leader des paiements internationaux après avoir expérimenté les carences du système.
Avant, les petites entreprises qui faisaient de l’import, de l’export ou avaient des filiales n’avaient pas le choix : elles subissaient à la fois les variations monétaires et le manque de transparence des banques. Résultat : des marges qui s’érodent au moment de payer la facture ou de rapatrier son argent.
Pourtant, depuis deux ans, avec un dollar qui a perdu 11% de sa valeur en 12 mois ou les monnaies asiatiques qui s’affaiblissent, les digues ont sauté. Les patrons de PME comme les directeurs financiers ont décidé de faire jouer la concurrence pour protéger leurs marges.
Le nouveau leader du paiement international affiche une croissance à deux chiffres. iBanFirst compte ainsi plus de 10 000 PME et ETI comme clientes, et gère plus de 2,5 milliards d’euros de paiements par mois.
Pourquoi un tel engouement ? Parce que les clients veulent reprendre la main. Chez iBanFirst, chaque PME ou ETI dispose :
– de tarifs les plus compétitifs du marché avec une garantie de transparence
– de son « Global Account » dédié, afin de piloter ses comptes et toutes ses transactions.
– de son expert dédié pour guider les décisions stratégiques et savoir comment se couvrir ;
« Ce n’est que le début d’une bascule pour les PME exposées à l’international, explique Pierre-Antoine Dusoulier, d’iBanFirst. Celles qui ont franchi le cap gagnent des parts de marché par rapport à leurs concurrents. Les variations euro/dollar, l’instabilité géopolitique… tout cela a accéléré la prise de conscience ». Après une année folle sur le front des monnaies, 2026 s’annonce encore plus complexe. Une incertitude qui pousse chaque jour plus de PME et ETI à protéger ce qui peut l’être.
Dans un monde où la gestion patrimoniale exige à la fois expertise, rigueur et sens du service, Everfair Group se distingue par une approche résolument globale et sur mesure. En alliant conseil stratégique, solutions d’investissement diversifiées et accompagnement personnalisé, cette société offre à ses clients un cadre de confiance unique, fondé sur la transparence, la disponibilité et une exigence de résultats.
Doté d’une vision internationale, Everfair Group accompagne également ses clients avec une approche à 360°, qu’il s’agisse d’organisation patrimoniale, de private equity, de cession d’actifs ou de financement immobilier. L’humain, l’écoute et l’excellence sont au cœur de sa démarche.
Philippe Buerch, fondateur et dirigeant d’Everfair Group, prend ici la parole pour partager sa vision, ses engagements et les valeurs qui guident son action au quotidien.
Le 27 novembre, à l’occasion du Forum économique international sur l’Afrique 2025 organisé à Paris sous l’égide de l’OCDE, l’intervention du ministre guinéen du Plan et de la Coopération internationale, Ismaël Nabé, a marqué les esprits. Devant un auditoire composé de dirigeants politiques, d’acteurs économiques et de bailleurs de fonds internationaux, le ministre a présenté avec clarté et détermination la nouvelle trajectoire de la République de Guinée, tout en portant un message fort en faveur d’un partenariat économique plus équilibré entre l’Afrique et ses partenaires extérieurs.
Par Franck Boccara
Une Afrique confiante et résolument tournée vers l’avenir
Dès l’ouverture de son intervention, le ministre guinéen a planté le décor : l’Afrique n’est pas un continent à assister mais une terre d’initiatives, de talents et de projets ambitieux. Il a rappelé que ce que les pays africains attendent aujourd’hui, ce ne sont pas des aides ponctuelles ou des discours bienveillants, mais des engagements solides, des investissements structurants et des alliances économiques fondées sur la transparence et la réciprocité.
« L’Afrique ne demande pas la charité, mais un capital équitable et des partenariats stratégiques », a-t-il déclaré avec conviction, soulignant que le continent est prêt à jouer un rôle majeur dans la transformation économique mondiale.
Ismaël Nabé met en lumière les opportunités uniques qu’offre la Guinée aux investisseurs internationaux
La Guinée en fer de lance avec le projet Simandou
Pour illustrer concrètement cette vision, Ismaël Nabé a mis en avant le projet emblématique Simandou, aujourd’hui considéré comme l’un des plus vastes projets intégrés d’Afrique, alliant exploitation minière, infrastructures et industrialisation.
Ce programme d’envergure comprend :
La construction de 650 km de voies ferrées reliant les sites miniers aux infrastructures portuaires,
Le développement d’un port en eau profonde, pensé comme un levier de croissance régionale,
Des zones économiques à vocation multisectorielle conçues pour encourager la transformation locale et attirer les investisseurs.
Plus qu’un simple projet minier, Simandou est le reflet d’une volonté nationale portée par le président Mamadi Doumbouya: bâtir une économie durable, créer des emplois qualifiés, et positionner la Guinée comme un moteur de l’industrie en Afrique de l’Ouest.
Une stratégie de développement bien au-delà des mines
Mais le ministre n’a pas réduit l’avenir économique de la Guinée à l’exploitation de ses ressources naturelles. Il a exposé une feuille de route plus large, tournée vers la modernisation de l’économie nationale et l’insertion du pays dans les chaînes de valeur régionales et mondiales.
Parmi les axes stratégiques évoqués :
– Le déploiement d’infrastructures énergétiques propres, notamment dans les énergies renouvelables,
– La modernisation des réseaux de transport pour désenclaver les zones reculées,
– Le développement du numérique, avec l’installation de la fibre optique et la digitalisation des services,
– La création de zones dédiées à la transformation agro-industrielle,
– La mise en place de solutions logistiques et commerciales modernes,
– Et une attention particulière portée à l’aménagement urbain face aux enjeux climatiques.
À travers ces priorités, c’est une Guinée connectée, productive, résiliente et tournée vers l’innovation que le ministre a défendu à Paris.
Ismaël Nabé défend une Afrique résiliente, connectée et attractive face aux décideurs internationaux
Un message clair aux partenaires français et européens
Dans un contexte où les relations économiques entre la France et le continent africain sont appelées à se redéfinir, Ismaël Nabé a saisi cette tribune pour interpeller les entreprises françaises. Il les a invitées à regarder autrement la Guinée, non plus comme un marché secondaire, mais comme un territoire stratégique à fort potentiel.
La République de Guinée, avec ses ambitions affichées, son besoin d’expertise, et sa dynamique de transformation, représente une formidable opportunité pour les entreprises françaises désireuses de s’internationaliser, d’innover et de contribuer à un développement durable.
Le ministre a insisté : le temps est venu de bâtir des alliances gagnant-gagnant, respectueuses des intérêts locaux, et conçues pour durer.
L’Afrique de demain se construit aujourd’hui
L’intervention d’Ismaël Nabé n’était pas qu’un exercice diplomatique. C’était un signal politique fort, une invitation à changer de regard sur l’Afrique et à envisager un futur commun fondé sur la co-construction.
Le Forum de Paris a mis en lumière une Afrique qui prend la parole, qui assume ses ambitions, et qui choisit ses partenaires. La Guinée, en particulier, montre qu’avec une vision claire, une gouvernance proactive et un cadre de travail sérieux, les investissements peuvent devenir des accélérateurs de souveraineté et de prospérité partagée.
Le ministre a rappelé que le président Mamadi Doumbouya porte cette volonté de transformation structurelle, en misant sur l’industrialisation, l’éducation, les infrastructures et la création de valeur locale.
Ismaël Nabé appelle les entreprises à investir dans une Afrique ambitieuse et souveraine
Une fenêtre d’opportunité à ne pas manquer
L’Afrique change, et la Guinée est en train de se réinventer. Pour les entreprises françaises, il s’agit là d’un moment charnière. Rares sont les pays aujourd’hui qui affichent une telle clarté stratégique, un tel engagement politique et une telle ouverture à des partenariats responsables.
Ismaël Nabé a, par son discours, incarné une génération de dirigeants africains décidés à tracer leur voie, sans complexe, mais avec une main tendue. L’heure n’est plus aux hésitations, mais à l’action.
Pour les entreprises prêtes à construire avec l’Afrique, la Guinée est une porte d’entrée prometteuse. À elles de saisir l’opportunité, car demain commence aujourd’hui.
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