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Mission d’entreprises au Tchad du 16 au 18 septembre 2024

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Mission d'entreprises au Tchad du 16 au 18 septembre 2024

Cette mission d’entreprises au Tchad, qui se tiendra à N’Djamena du 16 au 18 septembre, sera conduite par Philippe Labonne, Président d’AGL et vice-président du Comité Afrique de MEDEF International. Cet évènement sera l’occasion pour les dirigeants de PME et ETI intéressés par les marchés francophones africains de rencontrer les décideurs tchadiens ainsi que les entreprises françaises déjà présentes sur place.

Alors que le pays était engagé dans une transition politique depuis le décès du Président M. Idriss Déby Itno en 2021, les élections présidentielles du 6 mai 2024 ont permis au Tchad d’entrer dans une nouvelle phase politique.

Avec un PIB estimé à 11 Mds € en 2022, le Tchad est la cinquième économie de la CEMAC (11,3 % du PIB régional). Largement dépendant de la production de pétrole qu’il exporte depuis 2003, le pays a connu une période de croissance importante (13,7% en moyenne) pour atteindre un pic en 2014. L’accord de restructuration de dette, conclu le 9 janvier 2023 avec ses créanciers au titre du Cadre commun, offre au Tchad de nouvelles perspectives d’emprunt pour soutenir sa croissance (5% en 2023) et impulser la nécessaire diversification de son économie. Pour ce faire, les autorités tchadiennes entendent œuvrer à l’amélioration du climat des affaires.

La priorité est mise sur :

  • Le secteur agricole et agroalimentaire : l’élevage – deuxième poste d’exportation du pays – mais également la culture de céréales, du coton et de la gomme arabique). Ce secteur représente près de 50 % de l’économie tchadienne qui a le potentiel pour développer des produits agricoles à plus forte valeur ajoutée.
  • Les projets d’énergie verte en particulier solaires pour renforcer son mix énergétique.
  • Les Infrastructures de transports et de logistiques

Pour ce faire, les autorités tchadiennes entendent œuvrer à l’amélioration du climat des affaires.

Cette mission d’entreprises au Tchad sera ainsi l’occasion de :

  • Rencontrer le nouveau gouvernement tchadien pour mieux comprendre ses attentes et ses priorités ;
  • Rencontrer les principaux bailleurs de fonds du pays (Banque mondiale, AFD, Union européenne, BAD) ;
  • Échanger avec le secteur privé français local : une vingtaine d’entreprises françaises sont déjà présentes dans les secteurs de l’agroalimentaire, du BTP, du commerce, de la distribution de produits pétroliers, des banques ou encore de la logistique.
  • Rencontrer le secteur privé tchadien et échanger sur le climat des affaires

INFORMATIONS

Merci de nous faire parvenir avant le vendredi 30 août à 18h :

  • La fiche profil entreprise complétée – Word & EN
  • Une photo en version JPEG
  • Un scan du passeport
  • Vos plans de vols (n° vol + dates + horaires)
  • Votre numéro de mobile (important en cas d’annulations/modifications)

Conditions Générales de Participation

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Date limite d’inscription : 31 août 2024

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Gestion Technique de Bâtiment
Dans un contexte où l’efficacité énergétique devient cruciale, la Gestion Technique de Bâtiment (GTB) se révèle être un outil indispensable. Pour les PME et ETI, la mise en place d’une GTB permet non seulement de réduire les coûts énergétiques, mais aussi d’optimiser le confort des occupants et de simplifier la gestion des infrastructures. Par Ali Tuncer – Chargé Marketing Objectif EcoEnergie Qu’est-ce que la GTB ? La Gestion Technique de Bâtiment (GTB) regroupe l’ensemble des systèmes informatiques et électroniques permettant de superviser, contrôler et automatiser les équipements d’un bâtiment. Cela inclut la gestion de l’éclairage, du chauffage, de la climatisation, de la ventilation, ainsi que des systèmes de sécurité et d’alarme. Des aides bonifiées pour la mise en place d’une GTB Pour encourager les entreprises à investir dans des solutions d’efficacité énergétique comme la GTB, des aides financières sous forme de Certificats d’Économies d’Énergie (CEE) sont disponibles. Les CEE sont un dispositif permettant de subventionner les projets visant à réduire la consommation énergétique. L’arrêté publié le 22 octobre 2022, qui a également modifié les Coups de Pouce CEE avec un « Coup de Boost », introduit une bonification pour les opérations correspondant à la fiche d’opération standardisée BAT-TH-116 relative à la Gestion Technique de Bâtiment (GTB) dans le secteur tertiaire Obligatoire pour de nombreux bâtiments tertiaires à partir du 1er janvier 2025 en vertu du Décret BACS, l’installation ou l’amélioration d’un système de GTB pour le chauffage, l’eau chaude sanitaire, la climatisation/refroidissement, l’éclairage et les auxiliaires des bâtiments tertiaires pourra bénéficier d’une augmentation de l’incitation financière des CEE. En effet, les opérations BAT-TH-116 Système de GTB en tertiaire, initiées jusqu’au 30 juin 2024, bénéficient d’une bonification :
  • x2 pour l’acquisition d’un système GTB
  • x1,5 pour l’amélioration d’un système GTB
En conclusion, cette bonification temporaire sur la GTB offre aux propriétaires de bâtiments tertiaires l’opportunité de bénéficier de gains rapides avec un retour sur investissement réduit tout en se conformant par anticipation aux Décrets BACS. Grâce à ce dispositif, l’ensemble des bâtiments tertiaires peut désormais profiter d’un taux de couverture intéressant. Le principal obstacle, à savoir le montant de l’investissement initial, est ainsi atténué pour mieux accompagner les bâtiments français dans leur transition énergétique. Les Avantages de la GTB
  1. Optimisation de la Consommation Énergétique : La GTB permet de réguler les consommations en temps réel. Par exemple, le système peut ajuster automatiquement le chauffage et l’éclairage en fonction de l’occupation des locaux, des conditions climatiques et des horaires de travail.
  2. Réduction des Coûts de Maintenance : En centralisant la gestion des équipements, la GTB facilite la maintenance préventive et corrective. Les pannes peuvent être détectées rapidement et les interventions sont mieux planifiées, ce qui réduit les coûts de maintenance.
  3. Amélioration du Confort des Occupants : Une GTB bien configurée améliore le confort thermique et la qualité de l’air à l’intérieur des bâtiments, ce qui contribue à une meilleure productivité et satisfaction des employés.
  4. Conformité Réglementaire : Avec les réglementations de plus en plus strictes en matière d’efficacité énergétique, une GTB aide les entreprises à se conformer aux exigences légales, notamment celles du décret tertiaire.
Comment Mettre en Place une GTB ?
  1. Étude Préliminaire : Il est crucial de commencer par une étude des besoins et des spécificités du bâtiment. Cela permet de définir les objectifs et les fonctionnalités souhaitées pour le système de GTB.
  2. Choix de la Solution Technique : En fonction des besoins identifiés, il faut choisir une solution de GTB adaptée. Il existe des systèmes modulaires qui peuvent évoluer avec le temps et les besoins de l’entreprise.
  3. Installation et Intégration : L’installation doit être réalisée par des professionnels pour garantir une intégration optimale des différents systèmes (éclairage, chauffage, ventilation, etc.).
  4. Formation et Accompagnement : Une fois le système installé, il est important de former le personnel à son utilisation pour en tirer le meilleur parti. Un accompagnement sur le long terme permet d’ajuster les réglages et de répondre aux besoins émergents.
Cas Pratique : Une PME Tertiaire en Pleine Transition Prenons l’exemple d’une PME spécialisée dans les services informatiques. Grâce à l’installation d’une GTB, cette entreprise a pu réduire sa consommation énergétique de 25% en un an. Les systèmes de chauffage et d’éclairage sont désormais régulés en fonction de la présence réelle des employés, et les données collectées permettent d’anticiper les besoins de maintenance, réduisant ainsi les coûts d’exploitation. La mise en place d’une GTB représente un investissement stratégique pour les PME et ETI. En optimisant la gestion énergétique et le confort des bâtiments, les entreprises peuvent non seulement réaliser des économies substantielles mais aussi améliorer leur compétitivité et se conformer aux nouvelles exigences réglementaires.
Investir en Afrique : changement des modèles
Depuis plusieurs années, l’Afrique attire l’attention des investisseurs, des philanthropes et des entreprises à la recherche de nouvelles opportunités. Le continent connaît une croissance démographique et économique rapide, une urbanisation accélérée et une classe moyenne émergente. Mais pour répondre à ces dynamiques, les modèles de financement évoluent : on passe progressivement du don à des approches hybrides qui conjuguent impact durable et viabilité économique. Cet article propose un tour d’horizon des principales tendances et explique comment ces modèles transforment la manière d’investir en Afrique. Par Luc-Etienne Dandrieu – Directeur général AlphaSeeds La philanthropie traditionnelle : nécessaire mais insuffisante Pendant des décennies, la majeure partie des financements vers l’Afrique a pris la forme de dons, provenant de gouvernements, d’ONG ou d’entreprises via leurs programmes RSE. Ces approches ont permis de financer l’éducation, la santé, les infrastructures, et restent essentielles face à certaines urgences humanitaires. Mais dans de nombreux cas, les dons créent une dépendance structurelle et ne suffisent pas à bâtir des modèles économiques autonomes. Sans perspectives de croissance locale, les projets peinent à se maintenir une fois les financements épuisés. Aujourd’hui, l’enjeu est moins de « donner » que de co-investir dans des solutions durables. L’émergence de l’investissement d’impact Face à ces limites, un nouveau modèle s’impose : l’investissement d’impact. Il se définit par quatre principes clés :
  1. Intentionnalité : l’investisseur recherche explicitement un impact social et/ou environnemental positif.
  2. Mesurabilité : l’impact doit être suivi et évalué.
  3. Additionnalité : Investir en Afrique doit générer un impact qui n’aurait pas eu lieu sans cet apport spécifique (par exemple en apportant du capital patient, un accompagnement ou des compétences stratégiques).
  4. Rentabilité raisonnée : un rendement financier est recherché, mais il est aligné avec la mission d’impact.
Selon le Global Impact Investing Network (GIIN), le marché mondial de l’investissement d’impact dépasse 1 200 milliards USD et connaît une croissance soutenue. En Afrique subsaharienne, on estime à plus de 70 milliards USD le volume cumulé déjà injecté dans des secteurs clés comme l’agriculture, les énergies renouvelables, la santé ou l’éducation. Concrètement, ce modèle permet d’accompagner des entreprises qui visent à résoudre des défis majeurs — par exemple :
  • améliorer la sécurité alimentaire,
  • donner accès à l’énergie propre,
  • ou développer des solutions d’inclusion financière.
Les modèles hybrides : investissement philanthropique et Partenariats Public-Privé Entre le don et l’investissement purement lucratif, des modèles hybrides gagnent du terrain. Parmi les plus courants :
  • L’investissement philanthropique : un financement patient, souvent sous forme de quasi-fonds propres, accompagné d’un soutien opérationnel rapproché. L’objectif est de maximiser l’impact tout en aidant le projet à devenir autonome.
  • Les Partenariats Public-Privé : une combinaison de capitaux philanthropiques, d’investissements privés et de financements institutionnels. Cette approche permet de réduire le risque pour les investisseurs commerciaux et de mobiliser davantage de capitaux vers des projets d’intérêt général.
Ces modèles ont l’avantage de débloquer des projets à fort impact qui seraient trop risqués pour les seuls acteurs privés, tout en assurant une meilleure utilisation des fonds philanthropiques. Vers un nouveau rôle pour les entreprises et les dirigeants Pour les PME et ETI engagées dans des démarches RSE, ces modèles représentent une opportunité unique :
  • Diversifier leurs investissements.
  • Contribuer activement à des impacts mesurables.
  • Construire des partenariats stratégiques dans des zones à fort potentiel de croissance.
L’Afrique qui abrite des centaines de millions de consommateurs en pleine transition économique, offre un terrain fertile pour ce type d’approches. Le financement du développement en Afrique entre dans une nouvelle ère. La philanthropie traditionnelle reste essentielle, mais les investissements d’impact et les modèles hybrides ouvrent la voie à des solutions plus durables et transformantes. Pour les dirigeants de PME et d’ETI, comprendre ces modèles, leurs niveaux de rendement et leurs objectifs d’impact devient une étape clé. C’est aussi une invitation à réfléchir à leur rôle dans cette dynamique : investir en Afrique et contribuer à un développement inclusif tout en bâtissant des relations économiques pérennes.
PME-ETI.fr, partenaire engagé du Salon de l’AMIF vous convie à la prochine édition
Cette année, PME-ETI.fr a eu le privilège d’être partenaire du Salon de l’AMIF 2025 (Association des Maires d’Île-de-France), un rendez-vous incontournable qui rassemble chaque année les élus locaux, les acteurs publics et les entreprises engagées dans le développement territorial. Notre présence sur ce salon n’avait rien d’anecdotique : nous étions là pour porter haut la voix des PME et des ETI face aux élus et représentants des collectivités locales. Objectif : encourager les synergies public-privé, promouvoir l’accès aux marchés publics et rappeler que les PME et ETI sont des partenaires stratégiques pour répondre aux défis des territoires. Franck Boccara, président de PME-ETI.fr, revient dans cette interview sur l’importance de ce partenariat avec l’AMIF, le rôle crucial des PME et ETI dans le développement local et notre volonté de renforcer la place du secteur privé dans la commande publique.   Tout au long du salon, l’équipe de PME-ETI.fr, a multiplié les échanges avec les maires et élus d’Île-de-France pour mieux comprendre leurs priorités et faire connaître les solutions innovantes, concrètes et agiles que peuvent apporter les entreprises de taille intermédiaire. Un rôle de facilitateur que nous assumons pleinement, dans la lignée de notre mission : créer des passerelles durables entre le tissu économique local et les décideurs publics. Mais l’aventure ne s’arrête pas là : le Salon de l’AMIF 2026 se tiendra les 2 et 3 juin prochains à Paris, à un moment particulièrement stratégique, puisqu’il fera suite aux élections municipales. Ce sera l’occasion unique de rencontrer les nouveaux élus à peine installés dans leurs fonctions, souvent en quête de solutions concrètes pour répondre aux attentes de leurs administrés et structurer leurs politiques locales. Nous invitons donc dès à présent nos adhérents, partenaires et lecteurs à s’inscrire au Salon de l’AMIF 2026. Pour les PME et ETI, c’est bien plus qu’un salon : c’est une opportunité de se rendre visibles, de tisser des liens durables avec les décideurs publics et de participer activement à la transformation des territoires. PME-ETI.fr sera à nouveau présent, fidèle à sa vocation de passerelle entre les sphères économique et institutionnelle.
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